L e WJÿ^OPRiPiNi' R^E^E^e
J tésopridn 'afcà, ftoft) ^
M. Ripord a rappprtié de ^ajnt-Domingue un mêsoprioh
que %ji| y Appelle sarde rouge de haut fo n d , eüyqubres-
semble beaucoup1 * ^Lbuccanella
par’ sascÔTiféu^emperém'ent d’un ÎTeau rçÆg^cannCffPiVëffGres 'bords
>* argentes ailx^^Sïï^l^âais ses’derrts,- surtout les latéralessont beau*-
■y’ feoup plus petites, et iîfntÿJa^pbint de laehe noire suMfe pectorale.
Sà .tiibèrôâtê et;l’arc -rentrant de sôn préopercùle sooit .as^ezé-marqués;
pas assez.-toutefois, pour quïon le rapge pajàni les^ diâpopps.
... Notre individu a' bien certainement quatre épines a l ’an^e.^w
. .D. 40/14 ; b L & d A
5l Ife poison deyient grand. ®@u£’ënav©ns, un de vingt-
huit jUJd'êés, ét-ÏUn en* prend de plus eonsidiéraMés^Cest le
pliiR* eérimii devons ceux que ÏOn mangéuu PortvâU-Princé.
Tout. Uottsrrfàit' cr©ire que *fc’est; i-ée*' poisson qui aïtéfeé
déerit; par Mafcgikve (^Mras:, 'p- i6^®^fc68ï)rJs<|ffls le^tiom
d'acara ayctj et qui est dteyeriU le bodianus ctfa' de Bfedh
^pjr. figure du prince Maurice, qui’esteassembêconnmssable,
uété' altérée dauf ta* copie-grdssiie que^J^cb en
donne. On y a surtout transformé en épine'ce qui dans
roMgfeÉasfe pouyait??nlÉit’e que le lobe' alooge de lopercule.
La gravure dè Marj^avéWa point cé défaut, et représente
f o r t 1 bien notre sarde rouge.
Margrave dit que pé poiss^ri ^e nomme aussi guranha;
qu’il âtteiiit trois pieds dé i'PngE^nTi qüé Sà^ pbair est
bonne à manger et qu’on la conseprg, au moyen du sel.
1. Bodianus ara, Bl., pl. 227; Bodian aja, Lacép.
(iMWçpriori (MrjsurUsPucm. J 1 '
autre espetëfei^eime^te sïâ Martinique- ave<5 ‘les pré-
csd a (j«v^F t quiP I t peu||jPtT(■ üan 'mu monbin9 dont
paflfe Duhamel,;
'^ a ï es fourches dç sa queue’plus fçfnguesfit plus^omtnesj.sés crô-
'"^cbLoEv ajî; ifonmre Jde quatre à la mâchoire supérieure', excèdent
peu séb.’àutrës dents-. -
D. iÜ j îQ iL f r y h . '&■, P .l’4 iT . l/§." •
Dans son^étataâdion ^ihçî\R>fei'.[)eine quelques restes1 de lignes
et d’bAîab'h-èfeiOne bande longitudinale verdâtre «st icèiqui s’y çvoit- le
mieux. Mais- un individu envoyé prfeâque frais par M. Âchard, a
'' prë'^edté des couleurs-très-bèllfâ^et'très^|Yes. 'Au-dessus ‘d^'îla/ligp.e
latéràle sop!.,î(®àest^riis£e|re,, rayé; obliquement de* japifp''doré; au-
desMu's il$est d’une Belle’ Cj^ûlèSir purpurine très-vive, ^ ê e trpis
riiSjpngitud'inâtés doreé’s. Lk ï^ ^ è ^ e rié u rê fp â ^ è 'p â r'l^ milieu
du cq ^ ^® f4 st mus large qùe'léstautres'- elle' se'ÿroIdbge''“étiV la
' ' têtè,liis'/|‘ii’atî* bYrat du"museau,’ehpassatït1 àtridéssoûs de Toeil ; le
reste de la. jOufe^s^gris cP&rgent, marbré de^TOsjs ’è r de jau-û'ë'HPôr.
Là TOrsale eîTanale sont ikune-olivè; l#eaîudaie '^Mjaune'brillaiit,
bordée en" dessus'et en d&ssotfl%e deux^riaits^rose j leS'peëfoTales
’ sonl'rosé'^et' les ventrales orangées'.
Il paraît que ces. couleurs varient quelquefois,
M. Plée le décrit rbléy la 'caudale et la dorsale- jaunes^ deux
bandes longitudinales de même ^mnëùf.'sûr’Ies flancs j un peuFde
1, Spams chrysurus, Bl. Spare demi-lune, et Spore queue d’or, Eacép. j Anihias.
rabirrubia, Schn.; Grammistes chrysurus, Bl., Schn, .
" ‘ 12. Nous ferons remarquer cêpeindant que le nom de Monbin, qui! vient de la
icoUleur semblabte à celle'du fruit de ce nom, se ddnne'ïaussi à Un holacanthe.