nohs ne trouvons pas ce nom Sans Ylamin g , ni dans ses
copistes. Renard et Yalentyn^.-
L e Mésoprion d.u Malabar.
{Mésoprion malabaricus, nob.; Sparus malabaricus, B l., Schn.):
Le sparus malabaricus de Bloch (édit. de Schn., p. 27,8,
h.° 34)5 que noûs àvçy^î examine nous-m ê me s , est un vpti
mésoprion, et doit se avpp^es |pxiécédensv , j
^ !Lès deux rangées de grandes réèâfnêl«s & la nuque eir celle qui'entoure
le dessous de'Torbite, plus o'u moins dîMimctes mois tous
les mésoprions, sbnt mieux prononcées dans celui-ci- que ‘£ddns
aucun autre et autant que dans la diacope Seboe. Sâ "ddrsâlè^snlèVe
«n peu en arrière, et sa caudale est coupée càrrémêntf II a le museau
assez court, les canines de force médiocre ; les déntélmres
du bord, montant de son préopercule sont siilmessqukinflesï voit
à peine; mais, au-dessous de lare-rentrant,'l’angle acrondkpâdes
crénelures qui vont jusqu’à moitié du bordtanféjeieur.. v
b. t |; d. 11/14j- a: sp f& è : iTj.p. i64
il paraît avoir eu1 désalignés"obliques sur le,at|s, commentant
d’autres espèces au genre Jet, qui .descendent mêmeJau-dessousMe
la ligné latéralej mais, dans son état de dessèchement, il iÿ>ÜTe
plus guère qu’une teinté générale’ grisâtre.^
j. ,;L’individu est long de huit pouces.,. .
B lp c h l a reçu-dé la cote d é ’Coromandel, et otfhSè'yoit
pas trop pfedrquoi il ln f â donné l’épithète de fiïà w b à -
r iq ü è .'. ’
1. Bloch, loc. <kt. , dit B’. 8; mais c’est une erreur qui vient'de ce que le.rajon
ÿttpéiieur a un sillon- sur sa longueurs I
M é s o p r io n . ra-n g o o .
h rangus ’ pon.)j,
L a feutré*(hft^^^Èa^déhpro'dù-if urfd\iître espvèce èàns
taeflt|Équi d p¥fbnV.' ph»fflran.A^v a fe les individus que
l’on p'èfss^eh.li||«M^Gé^eHt^. fflé«^Ptr|^R^tés?fetî*repré-
çentée fort? e,®actemenlrq>arrBu^Splfipaxmi sés? Rqiss,ons,, de
Yizagapatam.^g.^4l)5 $<§usde nom àe^angopa e l MM- R,uhl
et Yaiÿ Hasselt çm ont individus vde Java au
MÆseu«I?oval des Pay«vBa_S..
Sa tâdlp’et t^ut^àsesÆi^f-ràppellentnotréSmWp’MwyUoJora
d’Amérique- SeidementAe^rang-oo’ a( l-aïfâiirSaile i^^peuSplus,avance
■ ioupki^tffittterâtne eblh nuqu^uïî<peu.pluslèdiid<ts’lMqlr'®|)l)jBliùn.-<,La
- . lomgipÿlp d e sa >t êtefM^ifei sa ‘ hauteur* etVé^SaÈS|piïisei tr oisj. fois' et
demie ^a^fngq^frj«S<es{-dai|s -sont en vsel‘qT^s-ri£Fès-sân!!,.au^‘
t mer, aigrmalalàns % aux 6n. ont.tqut au-
* tour un rang, de plu-> fortes s ^téu^outre^sa
h mûr-h0I1& superieuffefâ dteux fo d ^ ^m ie s , eritmlesquelles^|qpt
'<3eux hùtres petitésnie^l^TOmtairéV^Aapaz-Mand, M ie p r é o -
përcule -Hhemfènt dentele au f l l rM a o n S t , eppmcre ^ par un^arc1
fi ès-pVu' prdfmid ef^rtdiiu rif deuté^'a 1 <i/igivü'fjj’11 ^
l^o^rèum sont écaifleui ; l’opernule' sé tp^uufépar un angf^)^us>j
les pectorà^^^nt lor^j^s^e^l^p^Sçtgs, la cai^dale>^^jjg^,jj*iU,X{^ï
ment j la li'gueî? latérale dï-èilte; mlp ébâjllesiJlljsse^.qy de.. grAn^léq^.
nà^fpne.. »
Dans la Kqueufe. ethans l’étîjq^ci s,jb.c^uçm paraît jaunâtre su^
le corps et noirâtre sur- lfe^ ^ ^ t ^
h u ^ l,l< ^ r ra ?u V|r^ S i t q ^ ^ ^ f a c e ^ ^ d ^ d u n p ^ ip r e
’draps? qu^é iles ' éé^ls^ et * devlèh^nëm r<^pëax|é&-f^ie da
- pectorale esh-drangée etr l^'^-Mutres na>ge'oirëâf"'d-d'®^pôurpr'A plus
jclair que ,1e ,4 ^ j enbn^jqjuqjÿ/bq^d^é la qau^|fç ,é^^jdjUn rouge
brun.