Bloch en a donne une figure â'atas,st)U IV.e-vo-
Itunê^^imprimë en 1 79,7/ pb :3 'rS ^ et1 ce qui estsbien singulier,
il oublié èiitièrëmëht que déjà il en afkît don^ië une
en 17 9ra u.nf- ,au tr e .n,6m S ^ ap re s Jé , dessmJétivQy e'par
ï ^ W L d u n individu pris .à Gibraltar, oubliJ d’autant
plusfjfr^riOfdiMir#;, que cette figure es^-bien meilleure
que celle du grand ouvrage.
Bondelet est aussi celui qui a imaginé que ce.pouvait
etre lun des poissons nommés anthias pardês-'ancie-njsj et'
qui seu rapporterait à d’assurance avec laquelle; iBlé eh et
ceux qui l’ont suivi attribuent à'ee barbïer les habitudes
que lès* ancrehs r o u t e n t dé fours anthias, croirait sans
aucun doute que l’application d e è e . non* est in chiites^
tablé/-étique *1 anthias est anssi^ertaânènïent ConUu que*
la torpille ou la pastenague. Cependant rien n a hasardé
jdus fo'gèfcmentyët même, èi quelqueGhôse^enidètte îiha-
tièâré pëüLêjtre shfSc^itibté de preuve^ c’est qu’aucun des
caractères. attribuée a dés ranthiàs n'ê-hôïi'vïeht au barbietef
^ Sfelôn M is to te l’anthias, autrement nofoæfiu aul&pim3*}
vit en troupe, et jette ses oeufs l’é té l Les pêcheurs d%pbilgé§
le nommentÿpozhyora satré;p$rce qtie'là o ^ i e M , ilVÿ~
a pas de poissons voracës,-et l’on peut plonger e # s iie të i5
; Mais pour les plongeurs du temps de'Pline, ¥;#taiënt?]?eS-
plat#>qui étaiëùtsitetëS, et dont L-présémée-lèUr
garantissait qu’ils ne seraient pas* 1 dévorés par les mohsttfês
maifUs1.^ • ;
1. Les ventrales et le ' lo ti U fé iî& r '^ ¥ is(j4etlé-j 'soÈrf trojï co^fts f fH H f l f i
TOiLpag.l_es pi quans deFopercpIe. ni lesçâBÎE«& * • "
#Jj* PercaJPemapii, Ecrits à s-Ia ^ /d e s naturalistes de Berlin, X , pi. 7 l& T .
■*^-.‘lHiM:anèn.,l. Y îr ei%&, — 4. L . J I , L/IX,c. 0y’PlMe
1. IX, c. 46- ■B*i <•! '5 ' -1 i k ''U}L~i r ,, '"'-'v *
èi^^uant/à lantjiias, PliuSfes® borne k en rapporter deux
traits singuliers.*- Lers p^chews dés oles iGhélidonies usent
dè’.beaùcoup de« précaution pour le prëndrék -ettifepprL
yoisp&'t.en quelque, »sorte en se présentant plusieurs’ jour à
de suite vêtus deda mfême maniéré/ et l’habituant à' rëce-
-vôir deux du paiuy daiis lequel ils finissent par ca-ôher
l’hameçon^ mais• sitôt qu’un authiâs !:est-çsl§|: les autres^
pour-le délivrer, viennent avec les épines en formé de
«foy;don tï four dos est aifcaê^ çoiiper la corde qui fofotient.
des Halieutiques d’Ovide'qüe Pline avaÎL-emprunté
|eë defcnier détail3 qu’Ëlien rapporte un peiiK autrement.3
aussi devoir rapporter- à< i’anthiâs Un-passage
defofaussès Halieutique^Ooù il-est dit-que Yantheris a lé
.corps; fcéauÆreomme une fleur, et que dans sou énorme
y'entBffijséltrouve une pierre bleue marquée d’étoiles dofëês»,
qui, arrosée de sang deahouettesya la propriété de rfendre
In v is ib le .4
Jfk Â'SS'ufémnM;>On ne voit dans eèsl éj|ptes ridicules rien
i. L.IX,c f% r •
2. Anthias his tergo quoe non Adel utitur armis.
Vim spinas nooitque siub yersoque, supinus 111
* Cgrjffl’e liha secat fixumque intercipit hamitm.
f m / . , vers'
3. Hist. anim., liy,!^jphjapi^j >"! i
4. Antheris est tergpppopfis jlprenif dqcg/ws, |
Hiyiis ih’immensa tesidet lapis abditus oho
■ r' Cceruleus , stellasque gerit velui aureA)coeB \ '
, Tficia micant, ,posiquam Phfobus.cava tattqrd adinl,
Met curru nocturm volat Pheebelt niiinte
Hunc si cecropice suffusurn conde volucris
, Quis gerat hie potent medios impune vagari
Per populos: inesdentem non ulla videbunt
Lumina nigranti veluti reS eCere septas.
Hal. alt. r<jeis 92, sq.