560 LIV-RE TKOISI'Èr&E. PERCeï^S.
le dos, blanchâtre,sorUdé Ventrë, et a partout-un§ teinte argen^le.
Toutes ses nageQir^^oMjèiunâtre^ ain§i que-fon iris.
D. l ' p î j a73/9j C. 17; P. 17*?/1/5.
Cest un bon mahger. *
Le ’
(Mesopnion TubeUus$,&&iï$&ti:
Une autre espèçp de la même mer, nommée simplement
karva, ^ m n t .< ^ i f|'pife'3S>
;Ses>écailles sontplus petites,plns nomhreuseS);ses.p.e.ctè'ralesiplùs
: faibles, pius,cburtes à proportion que daùs le’.raécédentj)Sfi,s,idents
plus pèpesLBan^îl’étSt fcaisÿ selon M. L e s d ie ^ lt,a® e s i marbré
de rouge-Ct dé blanc; chaqueiécaille ayant la base rouge et..le bout
blanc: Le ventre est blanchâtre et Paris rougeâtre* I
cD , 11/13; A, 3/9;. G. 17;• -P. .17*5^1/5.- M
Notre individu est long de*treizë pttt&es; A,
M. Ehrenberg en a rappprté'un fout se a^ ïab le^ e la
mer Ronge, et qui a salement un rafbh épineux demOius
et un mou de plus I l ia dorsale. Du reste, il l’a vC d-Une,
belle couleur dq vermillon-, et le bofd de çhhque écaille
blanc. Il l’avait nommé diacope macrolepis.
Ge nom de karva ou kànvah parait s’appliquer à^plu-
sjeurs pGmons. I ^ ^ | e n sdpnne un, pl. 8% mais qui, n’ayant
point de dentelure ni d’arc rentrant au pfépperculu , est
probablement un lethrinus.
Cfl AP. EÉMÉraBl OPRIÇmS„ 561
Le I^Çésoprion çillao.
( J \ £ e ê @ p r i o r t iÆ ^ q xQÇLf nobA t
Le sillaqojie ;Rus|el&pL'Loa, ressemblerait davantage à
noM:ëJ esmé^Cpî^pdâite \ mais.eeh autèur lui attribue des
côuteüis u irp eu différeii$,C^v
le 4orp1t^la' poitrine “rougeâtréS; le dos cendré; des
ijaéhésjawes sur un fond clair aux jfjujflf du rouge aux nageoires
câùdal'e elf anale er Sûx ventrcdes.’ Gepeftdâht Kr forme1 est la" même
et lês ra'mnres^è^es^Wo®'^e'difffeieliYponiï de linoeHdiî dé
M. Ehrenberg. C’est au moins u n e ‘espèce très-voisine,
m 10/14 ; A?$/$'; « b / i s /p /
Russel dît que1 la caudale ^çs,fc quelquefois d’un, rouge
fonCé^ efyâ! chaque lobe tachetqsde jaque j ^ a i s peut-être
a-t-ilipris^en^p^e* çqt|g 4çirGpusjapc^sqr ùne autre espèce.
Le 'Meso PMU>Be#ROissAwr.
K (MestifjËfioTk lunulatuê^ nobA ,,,,
L e pêrca îunulata de Sumatra,-s déprit par Mungo-f/ark
(Tram.de; la .S,o,c.. L in n ^ t: I I I , , pl. 6*);,ou le. lutjan
croissant, dejM. d e Lacépèd;e ,IV,i p^jaj53'l,.^est aussi
un m éîsOp^Mmïmte très-voisin de cetix elêpt nous^enons de
rapporter les desGriptiôcis.. r
gn, iCe.poissoh.est représenté d’une couleur) rougeâtre, avec une band@
Séirâtre, un pemarquéfe sur-la base dë.la caudale, S§^forçâtes et les
nombres de sçs •ray^îrs sont- encore' les mêmes.
^ B. 10/14 ; M é p fè ic l ' ■
1. La figure donne D. 10/15, A. 2/9; mais le texte porte les nombres ci-dessus.
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