256 LIVR É,®lïoà’SÎÈ MET B'ER'CDÏDESr
hblm, irp0Êt. Xl^spliJ ï^ fîgilè^, et qu’il noîilme /îerca
septemfaSciata.
Si la tête et les nageoires étaient tachetées, nous ne balancerions
g pas kie,regarderjKomme de la^même..espèce.
Les nooebre^ „ suivant Thunberg,; j sont :
D. 1(^5 • A. 3/9;. <3. 19; P. 18j T , 1/S..,; ,
“'^Now-trôtivoiiis âussfodans rimprime-j5|foiïEiis que idiÿüs
âvdüs (ïéja^mtô^ün p Ôïssjân ]Wès-v.oîsin cfe^'élui cfe Thun-
berg, si ce p’e stle meme. Sur un fond yeyaa^e^te^oerps
èst traversé par cinq bandes brattfè&sEj’espaîQ^pupëJlp^
bândiés.vc^ tacb^e^te i points brans. On v^&fe ceî même
poisson { figuré dans lïEùbyclopédie japonaise;îetîM. Abel
Remusat a bien voulu nous dire qn’ii%ynest désigné.paE un
nom "qui équivaut à celui de perche.
L e M é r o u sa em o n o ïd e ..
(jSerranus salmotioiâes, nob. j Holocentrus sahnonoides,. Lac épfî
; '> Le méro« ;${rfmonofiflifo% été rangé par M. dçj^aeépqde
(t. III, pi. 34, fig- 3) dans son genre bc^o^npe,( sou,s, lq
nom'd'holacentre salmonoïdé: G-est d’après'un. dessin de
Comteéreqn qu’il en â établi les caractères; mai»Commer-
son en â^ann laissé plusieurs individus S£fçs^ nous {,avons
pu iR^4 ^psiirer que ;si(/çe dessin,/ait.ppnnaitre^ê^à^p^
ment la disposition des cpuleurs, le pré4|>ercule y Mit
marqué incorrectement, en ce que te dessinateur en;âftrop
arrondi le contour, et qu’il a négligé; d» faire sentir les
trois ou quatre épines fortes qui sont à d’angle de cette
pièce operculairp.
La longueur de la tête du mérou salmonoide est un peu plus
x u . s itoA N S g , ■■ 2 5 7
,f; ,grande que le tiers desl$$J<||a>gpeurs pois^pap. La forme du
■n front, du bpût‘dî§ lJ|iï^jchoire.ioféi!ieüi^^'gpnt;li|^rnêI}1cs,que «fans
lé jrnéROu. .LêSi,mg|idibülaires sonti'égalûmqQ^,i^P)^rts v-§> pelâtes .
!fî, écailles. Lei boJ^l„ montant ^i^pSéope^ïtt^ éS%médiqfi^mént dentelé,
et.|js,oit| angle il y^ÆOis dents plus fortes,' ^gale^distance
Les. épines supérieur^ ets infeT^enre > de l 'Opercule sonttès-peu
?;>sénsiblesall-y aiquelqmé^ru'g^siiés as&ei jbtîe^à Tangl^^lÉûénr de
l%iteroper9^e..L^e^age©^es?s0ai>- àà©ndii|S'-d jjjM
, Xia? cquleur paraît"^src4'r cé6é* un brun. t^èsnf®udé?3,Jôs^PrPs* et hs
uhnageoires,sont'entièrement»■ parsemés dé, points;, ifoÿrs;^ix a, sept
bandes vertioalési noifâtresi.'traversniïtrt le oorps 1 W première- pâsse
■ suivda tête!, à traveratte^préopêi^ule ; la dernièrof eat-5süç la queue,
près de l’attachépêe% caudale.
f ,, D. 11/16 : A. K 3 8 B B E
ai. Goqunerson avait pbtènu cette^efsnèjg4& l’Isle-dq-Rran,cp.
M. 'Dussumier vi^kde^ n.ouSj- pn r app,pite^ d,es,, S é cbelles
un trMdipl^individu long de «J
Elleltyÿù aussi dans la , mcj^ Rouge. M. . Geoffroy payait
tjfouvéq à Suez, et M. Ehrenbeimenya donné aé! Cabinet
dn.Rgiidun des beaux; .et nombreux individus qu’il avrap-
portës de cette mer.
L e MébHG gujÆMAKA, v
(S erran us summana, n o h .p P èrca summana, Forsk.) 1
C’est encore au zèle éclairé-et a la gédérostté de M. Ehrenberg
que nous sommes red ev^l^.c |u perça summana,
que Forskal avait pùtôt indiqué que décrit. Ses affinités
avêC'le précédent sont tôèsfgrandes. . ;
1. Pomacentré symman,'lAcèp., t. .III-, p. ..osiri«.
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