ainsi qué l’anale, qui est de..moitié: moins longue., mais un peu plus
haute. |*a, caudale est aussi aprotadiBiîLes écailles sont larges, lisses;
leur bord, a.peine visiblement ciEéf est mou et comme membraneux;
çlles sont à peu près aussi larges que longues > et ont .de huit
» douze crénelurê#a leur base. On erf dompte quarante-ôinq depuis
1 ouïé’jusqu aux peUtbsîlê la caudale, et dix-huit sur -une^liügnW'vîi'r-
tiçal&fil y en a beaucoup de ce§ peutes^sur-les- nageoires verticales
;MgsWf^Pps., ligné' latérale est plus- près du dos dans son: commencement
quç dans, le reste de sa course ; elle -çst> marquée par pies
tubes simples, et: règne jusqu’amhout de la. caudale. /Les foeeto-
rales sont petites ; ‘les ventrales peu plus en j'arrièrq* et
les dépassent d’un tiers.
B. T; A. 8/91 df.iV; P . ' 1 6 ^ ® | S
Ce poisson çst à peu,près de la couleur .d’une jprpe; d’un gris
doré; des lignes brunâtres suivent le milieu^dps.^cailles de chaque
rangée ; longitudmalé. ;1 ) '
individu est .long de néid\pôde$l<et haut deideux. et
trois quarts.
L e B ar d u J a po n .
(L a b ra x ja p b n ic it smob.) T s
Les mers du Japon possèdent aussi un bar bien caraco
térisé, qui en a été rapporté^par M. de .Langsdorf.
Son préopercule a cinq petites épines recourbées en avant, dont
tyots a 1 angle et deux seulement au bord inférieur. Les dentelures
du bord montant sont excessivement fines. L’épine supérieure ; de
l’opercule est très-obtuse : sa première dorsale a onze rayons, et
elle s’élève beaucoup plus que dans le bar d’Europe; car son quatrième
et son cinquième rayon, qui sont les plffs 'élevésy,ont les
trois quarts de là hauteur du corps : la deuxième a treize ou qua-
torae rayons mous. I/anale a aussi la deuxième et la troisième épine
bien plus longues qu’a notre bar; elles égalent presque celles de
•la première dorsale et tes?^»beïriiers fayôns mous. Ceux-ci sont
aftî %MlnbrC'de -huât.
’ D. 41 —i f s OU 14 J 0, « ; P. 16 i Æl
! . Ti/mv(lbidu:^jue ijpusùolé^iâ^ms,' et qui appartientàu’ Musée de
l’univeis^^me dërlin, esulon g dp] onze pouces. Il paraît sur
4 ” voir’uns quelques «0 t iches, njmsnéytjui heçaracbéfîse principalement
soiiMe'r^^ o’ri; dëM^^mpwyc’ésï qde Iamemhrane de
' ■ sa ' prémîèéé Hcèrsalê^'âf ddri^îraT itftéf villes des rSyonS ® î taches
i ( rondes‘et/'ËrMîiés.''Il y enfæ‘t&usiâ, mais de- moins nettes, SUT la
- ‘".deuxième.; La membrane de’la Gaudale est brune,} l©restedp corps,
■ >, ' aptant, qu’pjâÿen; ,p eut <j ugeçfà» l’étsÉÇ. jsee, ^ paraît ^iféihêté, argenté.
L e Dom*ja!|î#^a|sî #è5<è‘e''^dîS<!Îii^^S sitsùMi '
L e petit B ar d’A mérique. .
1 • ' (iJabrax-mubjîbnatusynoh.y"'
, LAmjfriqueï.ppssède aussi un b a r lignes ni bandes
n o ire s^
—-Cepoisson ressemble davantage,, par son. port, à la perche qu’au
bar A’Espopçfy il ,qst mêqa,e unpep. plus haut plus- qpatk,que la
.. perchef jsal tête,Sstjplus -petite^ tses dorsales sont plus hautes et $e
. touchent par le bas,;-ses* écailles sont assez1 grandes et plus lisses
qu’aux^''â^tré4 bars ji^^gs’^règnent sur toutes ses' pièces ©pereu-
• la ii^i or’dnênie sur,» scs*>os ’maxillaires,, sur son- crâne et 'entré ses
yëux; mais il|||hmn a point sur' Jb*mus|Sa plus bas que les yeux,
ni àxla mâcbpfeè inférieure. S» nageoire an.ilc a^K11ûs‘,|^nes qui
sont fortes, ainsi que ceue^biAosl L’épine de/saTsed^dodorsale
ù ^iMprës:^ ®41 aussi' longue que le||àremîef 'm y cS mou qui du suit.
Le' préopercule "a tout aùtourluhe dentelure trèifqfne^et à peu près
égale; mais les autres.pièce^sonf crilreies. L^d^fflg&u'adeuxpointes.
Les 'côtés de ladangue s(oau âpres. Par tous c’è^ détails il ressemble,
comme on voit, au bar. Il lui resse.rhblefaussi .par les nombres des
rayons :
D. 9 — A. 3/9 ou 10, etc.