de rattention pouf l’en distingue®.n Kuhl lapait môme envoyé
au1 Cabinet de Leyde sous ie> nam .é& cliacope x a n -
thozona.
Le bord méjjtaait du préopercule a une fine, dentelure j l’angle
en â ub^^h^fertejét èipari'ondij aû^ï^ùs ^'Itnest
sinuosité rentrante. L’opercüle se terminé en deux po^ntea arrondies
et plates. L’os siirscapulaiire est dentelé, mais non'celui de l’épauk.
Le museau, les SjOqs«-orbitaire& qt le^ os des mâchoires manquent
d’éçailles: ’Les, canines supérieures de devant et -les latérale^ ,d’en
bas sont tortës et pointues.
La couleur de ce poisson, comme celle de la due «nous
lui comparons, 'paraît d’oinjàuhe plusjou moins u^nze, changeant
eh' argenté vers le ventré, et il;y‘ à "de mênie'une’tâche ndirélsur"
lahgne latérale et vis-à-visde milieu de là pa^üe'-meftle-dé la dtarSalC;
■des lignes plus obscures régnent le Jongide chaque rahg'd’écàilles.
Les nombres des (Eayonssont les memes que dël® la plujiart des
diacopes.
D. lïfMj A. 3/8-j|G. 17; P. 16 j V.’l ^ f jh
1 Çést incontestablement le doondiawah de Russel (.1.1,
-Cet auteuf; ajoute^ijee que, nos individus nous,
montrentque
le fond de la couleur est teint de reflets pourpres vers fa eê&è et
verdâtres vers le dos , et que les.nageoires sont d’un jaune.roüssatre.
C’est exactement l ’enluminure que Renard ( 1. 1, pL 3 1,
fig. 172 ) donné à son carriboto d’Amboiné, qui d’ailleurs
ofire tous les caractères de fespèce actuelle et que nous
croyons en conséquence devoir y rapporter.
'LfôMaÉsopRion «si;: J ohn.
(( Mesopnion Jo h n ü 3jp.ob.-, A n th ias Jo h n ii, Bl.) 1
Un nfiésopriôn des Indes, qui' ressemble beaucoup, au
précédJën^Si'^^ln est le memé, <e’èst Xaràhïas jo lin îï de
Bloch'(pl. 3 1 of) ®et;f à nfeque ‘nbus'croyons, le coïüs çatus
de Bucnânari(laissons'pp Gange, pl. 3 8 , fig. 3o).
Ses formesses; détails,, les. moiqbres çh ^es rayons, sont exactement
pareils..
■ D. 1«/14; k. 3/8; t . 17iTP. 17'; v i ®
Les seulésêdifférencés tiennent a eeque, cïan^les mdivïdhs’ représentés
paiîicls deux auteurs sur un fond argenté et rayé d’autant
djë, séries de petites tadhesprises -ow hoii4tres} ^u’il y à dé séries
d’écailles, on voit du ,côté -du dos quelques bandes verticales ndi-
éâtre's et ià-vcésÊr’ois, quatre mfpahq, selon les iridiviqüs, dont
une seule, celle qui est au-dessous des dernières épines 'dorsales et
; .^deS' premiers rayqn^ moqs^se change én une tache poire bienypro-
"fn6ncéès,
mais mes bandes nuageuses et fort lavées peuvent tt?C.s-biën
ne ‘Wtre pas montrées ..flans, les- individus dessinées par
Russe! et par Gommerson, .et .avoir disparu dans ceux que
nous* aivona sQus le§. y®®x.
M. Buchanan hésite « encore sttr l’identité de Xanthias
Jo h n ii avec son coïus catus, parce q&e, daits’ceïluiécl, la
yfiinlmle se teèmihe^hu pointpftm en ’filet que cette
circonstance n’est; ;pas moquée dans la figure cbe Bleüch;
mais rien de plus naturel que de croire que ce filet avait
été tronqué dans l’individu envoyé, ; à Bloch. Quant à
1. Coïus catus, Buclian.