L e S erran é c r it u r e . '
, (S erran us sc rib a , nob:; P erça scriba ' Lin. VO;
.. L a première e§nècél.se reconnaîtà?son museau pointu ,
ïl.sqçi pro fil rectiligne e t„,m^a ie jin peu concavç^ et’ à-des
lignes ou des traits irréguliers, qui forment surdon c r â n e i
sur .son museau et sur s a jp u e , comme unje sop |ed e caractères,
d’écriture inpoHimé. Çommé elle noüs sèrvira d e typé
p o u rv u ., n om fir e p x sô u ^ g e n re , il convient que ncms en
décrlyioMS |é§Jprmes en rdétail.
La loâgüeur de sa tête fait plus du tiers de salojaguépr -totale. La
piüs igrande -^hauteur de son corps fjesf à. peu près. au-dessus du
milieu desipeotorales ,, ,et fait plus du quart de cette même hm;guéu r
totale^Spü épaisseur,,est les deux cinquièmes de-sa^lrauteur. L’ceiLa.
son bordpostérieur àyreu.. près au milieu dé ladonguciiOpla têiej
et la distance d’un oeil ajJE’âutre est. égalé- à leur diamètre* ", '
La bouche est fendue obliquement jusque, seras le bord antérieur
de l’oeiL Quand elle “ësi 'fermée , la mâchoire irfferiéûïë ^éfHplus
avancée que l’autre ; - etrc’est elfe qtd forme la pointe du museau. Le
1» Elle,n’est_représentée d’uae manière un peu caractérisée que par Saïnani,
p. 227/ fig. 92.^ sous le nom' àepifycis; mais peut-être est-ce
auteur a représentée p. 225, fig. 89. Elle est confondue arec les autres sous, le perça
marinade linpæus; maisp’est-elle aussi que Linnæus décrit plus pârticujièrêment
sous le BQ,rn ,d'e perça scriba. Brunnich l’avait évidemment sous -les jeux quand il
a .décrit.son jj. marina , et La Boche pour-son holocentrus marinus. O11 ne peut pas
dputer. non plus qpe ce ne soit .d’elle, que JVT. Spinola (Jinn. Muse) aff fait son
hol. argus.^Nous( ne doutons point .que Yhpi.^fascîatus, de Bloch, pf Mo) n’én.
spit.ùn dessin fait sur un.individu desséché ;W décoloré, et nous nous .somïnes
assuré a Berlin que<son Aol. maroccànus, est encore de la même espèce. Enfin,‘ irest
bien sûrement aussi le lutjan lcriture de Risso, t.xe édition, p.'zoÿ Dans sa 2.''édition
il reproduit cés êspècés' qùé nous croyons factices, sous les noms de serranus
argus, fasciatus, scriba, p, 3 j 3 ~ 3j3.
dessous, dë/ses braneh:esv ést -lisse. La mâéhoire supérieure est peu
pfhfrâotil'é'j mais la bouche esft-susceptible de beaucoup de dilata-
tro.n. Les 4'ëyreâ1, peuvcharnues,' se dilatent néanmoins-vérs la commissure
enmembràhe'S assez lsrg'e'si' Le ihaxHiaire est large et tronqué
1 carréirièn^Ji son exfrémitSétÿ©s®gïië1a|‘e. U n’a point décailles,
nôn plùâ-,qùe*li!l'mùseâu, l'es|mS©h.pires et*l*e sous-orbitaire. Gelui-ci
sansFoshtelures.. etînestfecoisiVre pas le maxillaüé
présidé lairébraatioh; deS-tiéf^hoirest 'Les riarines Sont plus près qe
l ’oéil' q u e c l u mùsèau: Leu* ouverture, antérieur fort
"«râp-ptéehéfeïde l’autre, très-petite, un peu lubuleusëy et gajeipe d’une
très-petite" membrafe'àm’filâmerit pointu. La derrière du
crâné et les pièces, opérculairès -sorîti,écaïlàeux.f Le préopercule est
arrondi^êts6n**bord très-finement eépresqnré^égalemiii.t- dentelé, si
,celh’ésii'lMis^s deux tiers,antérieurs <^pa>;,parüeiinfériéu,E&;* eût il
est entier/Le bord mèriihràneuXfde l’^éVcWeîifinit enipointe un
jÊeu?m'où^; maâssà partie oss|èuse.se terminé pan €r©is!épi,neSjplates
èt ’aiguès. Les oüiesfs'ont extrêmement fendues ^ffiirém'émbrane a
sept rayons,’ dont léjMpërieurstest plats et*dilaté.^ Les dents sonp en
-velourI4-8M$i®pK>mâch©ires, sur une’bande un peü pfas large'dans
-ïép milieu;--et qui>sé rétrécit vers là êbï4missi}re.apta mpehoire
supérieure ;de rangi eitéràeûr/eséplus fort eVert|®o®be||;surtout les
deux ori,-iSfois anterieures de’ehaque côté’- et il y en a de plus, derrière
elles jtdèui^u trois^autresëencôre plus fortes. A la mâchoire
#nfénéure ihÿ>a.aussi un rang de. dents èh^creeheiis-qui s’élèvent
parmi^^iaütres ; mais,cé-‘Sont les, latérales qui y sont les plù^ifcirt'es,
‘an norrihre^de trois : ou quatre. Au palais ,idès dents fines ah un ve^
d'dui^ls'ôné^S^'^ééf-sûr ,une petite plaque en forme de chêvron^sur
le devant du v o te r et sur une bande-longitudinale étroite, à -chaque
palatin. La langue estdpngûey pointue, très-libre, et sans
aucunes dents; mais les "râtelures des branchies*son# âpres, et les
pharyngiens sont armés de dents^ emVéloursi L’os surscapulaire est
peu distinct et finement dentelé‘'-àtu,'-B^|'kft|S' hûméfàl^n’â point de
dentelures ni d’épifîës.; Le ;coà?acoidien se,montre derrière l’aisselle
dé la pectorale, comme une lame Vevtièale. ensforme de faux. Les
écailles sont de grandeur médiocre. XDn en compte environ soixante-
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