2 4 6 l iv r e , t ro i^ m i;. ç e r c o ïd e s .
ne trouvons pas iuââquiée dans Jes^npiuenolateurs| aura
sans doute ^ ip o n fo n d u e .par^eux.’a ^ c ’ le merra. Elle
paraît aus$t commune quede/merra, et doit venir, comme
lui, des^mers de llndè-Commerson en a laissé plusieurs
individus pris sur|es' H|^s^e l’Isle-de-France. M. lîe l^ e -
nault én a rapporté de ■ Ceylan, où ï’esp^ç^W nomme
pou li kaïava.
Ses formes sont Gdl^s du merra ?î£t la couleur de ses taches est
la même ^mais .elfes^ sont 'autrement ùisposé^s.jLeur nQmbre1 est
^omdréj leür lareeurjjgt gûmOEVil n y^n K u S |p Y u s
de seize sùr'une Kghe longitudin^èd'dfepiM q u e ®
eües sont presque toutes hexagonales, et forment s f i rW iU s du
poisson un réseau semblable à’ un gâteau d’abeilles. Le long île la
base de la dorsal;e:§n^en voit quatre >gicjsSes, plus fb ^ cë e i^ e l e l '
autres, et une impaire sur le dos de
I>. 11/16 5 A'. 3/8 ; C. 17 j P.
Longueur, dix. poncés.
L e M érou a taches ‘hexagones,,,.
heæag^natus^ noÊ ) 1
. Copqnefson ây^it laissé, parmi^s^ ppjs|pips, la
peau-dune espece très-voisine des deux précédantes,
que les naturalises de l’expédition de M. Duperrey! ont
rétrouvée à Me Borabora, et à l’îJéld’Oualan:
Le corps est 'coüvert dé tachés nombreuses et serrée^ le plus
souvent hexagonales. Elles sont séparées par un réseâu d j points
ou de lignes blanchâtres. Le long de la base de la dorsale on voit
quatre grosses taches noirâtres' de chaque coté, une impaire au-
1. Perça Kexagonata, Forater. ; Holocentrus hexagonalus, Bl., Schn.
CIïAP. XI. SERRANTS. 2 4 7
devant de la nageoi-ré^et une antre derrière, sur le dos de la queue.
Les nombres' son$ peu différens.
D. II/I65 A. 3/8-;, €. 17*; V 19; V. V S .
Le second rayo’nfde (l’anale est long et pointu.
Nous en ayons de&indiyidus de neuf pouces.
Noust,a!ÿô'ÙÿTOUtdîiéu fa.e'bVcfïré’ qUe ^Tes^ce poissônqu©
Foirstér at :d:écrit^Otaïti%oné le ndm de p erça 'ïteæ&gê-
nata, çt dont Bloch a fait un holocentçie’. Ce voyàgeut
dit que Le -corps-^st $pmé,K|e< tpsêhes jaunâtres hexagonales,
et qu a chaque angle, bn voit un point(^lancuyerdâtre. Les
nombres-s’efécordentt-bien. Les insulayes^d’Otaïti nomment
fespècp* terao.
L ë M éro ü a t ro is tâ ch e s .
\i\ 'i.(S,erranus trimaculatus, nob.)
Cp’e'Sfèyà'-côté’ dhàcétte' espèce que UoW'devons parler du
poisson que nó^^oyons' figuré à la planche'64,*fig. 2,
dans l’atlas du Voyage autour du monde, côflâ anda par
l’amiral Rrusenstern. Il s’y nomme epinephelus du Japon.
Le corps est brun-rose, sous un reseau brun noirâtre. Deux
tadhêS;noiresTsônt à la base de la partie mollèide .laî.dorsale, &£ une
impaire fcür le dos'de la queue. La gorge,’ ledimbe du prébpercüle
et lès' hageoires: dorsale, aàale etpectoralfe sontâàuneA ,
Autant que l’on en pen| j ï ^ r pâi î|i figure, les nombres sont:
D. 9/1&; A. 8/10. ™