3 6 8 LIVRE TROISIÈME. YER®®
L e 5Mfeg.syf.1U @f| gembra. g
{Mesdpriàre gembra ', «oE^JgjjP
î *eçm par feufclîé'o'a un «petit mésoprion un
peu moins alongé que le précédent,
et* qui, danida4iqüëu^^oat»aâuB^t^foEd.5rün ®§s 'bandés verticales
encore plus brunes. 'S^filoesalei a--des tachas brunes «èmate*ses
» rayons épineux et des points bruns entre «les autres. Le b(<4r‘d,infé-
xieuf^fe son anale esk'noir.
‘ 16- vVj/5: l '
n ^ ô u ÿ ô n tp g fait croire -que ^ s tn u n ^ p g isg ô n p n iv ib ^ t * 1
B lo cb a représenté {S js tT p o s th ., pl. .5 1- é|r;p ..^ f | f |^ | iu s
le -nom (ïalpftestes sambra* ou g em b ra . O n en retrouve
absolument to iis ljïë$ câraèWréVHiahM?4^t#^^dïfîd\rfmais
nous nen^croÿonè pas moins que ce l individu e s f un jeune
et peut-êtïîe! d’u n e J dès f^ ^ ^ c ^ lj^ é ^ 'T io u s s'£y(sÿ^ytécïlt-ês
précédemment. .
Suivant«Blocfi, le g em b ra v e n a it jie ÎPmii^®éîfe%r^Il dé monte
rivières, atteint une - l ig u e u r d’un ^ ie n ^ -e t
pasS^Aÿ ® ù f un manger SÉpgureüX.
L’autre "alphestes de Blouh^VpAL p o s th ., p. adw^gu^îl
.a^k.?.d’abprd mommé « ep in ep ^ eh c s^ f^ v 4s]4- oâ^jr^^^oiü..
grand ouvrage-^ étant*un -véritable: serran, fegenre alphes tes
doittüomber'uLe/üaractère^sur lequel il. re^fesaitr, d^é caille s
operculâireS plus gran^ës^que' céltës de la fôùLf ësfî^ès-
légOr, et y* ferait rapporter une infinité (Je poissons fort
étrangers Jêsmns aux autres. '
I ÇaA.P; XIY. M-ÉStOPRIONS. 3 6 9
L e MêtotriW trëïllissé.
(MesëipFtfâji deoussafusi £ . et V. II.)j
Lnfiil, MM. Ruhl et Van Hasselt ont envoyé de Java un
dont le préoperêule, finement dentelé, a une échancrure large en
forme de. sinistrés-peu profond. *
Ses1 dents. Whiles sont fortesUn haut; celles de' la mâchoireinfé-
I riéilre'le-’Sont aussi' un peu. Il a lès .‘dents palatines et vomériennes
en Yetonrsftrës-Én e.f 'àî peine visibles.
Ses pectorales sontloiigiaiÊà et)pointues ; son anale est un peu plus
'baute^W^sâ'dSîsïe jisa caudale ést taillée eil croissant peu profond.
D. 10/^3; JLm | p -, P. 16;
’ Lie. fondrdfe sa^C'dMétfr ’estVoIiiâtre ‘Ver-S *le dos, jaunâtrevaux
#àni?Q - pm'els<àîiiis W ventre, .ÇmgkJ)^^es. longitudinales i«iskes. sont
«rqi r a f f i tafgft,jbandes brunes verticalesi^Muÿie, descendent pas
à des flancs, eil forment ainsi',Üev long du dos, deux séries
~ dp^ftT-Tys, nliyp,yqn jaunes. I f y a une tache noii*fcd|jùfli.J.<|u<- .roté
dela,«ueu.e,,La de L .’dorsale et dé, la caudale es|^t)irâtre.
“ L’individu est long; de dût puucjgs.
’ T ’Bilà les m-ësppiioïis que nous avotfs observés parfifclis-
mlmllPJll convjènt inaiptëninY,^^^noüs,mflions dës^ois-
SoBis debrits et -représenté par d’autres .auteuig, qui nous
palissent devoir appartenir à oâ.gèÉre.
Il enÉg§§ deux que nous nepouvons dfdé d’après
BusséOqui eïi a fait des sparus; m ^ y y omme il dit |p è
leur palcuf;®Bt rude, et'comme s£ü .figures montrent aiâx
opercules les icafra'clères^e ,nos mésop^pns, nous* eroyons
pouvoir les placer sans erreur à la suite du rangoo.