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jjjgfEJn individp. de prèSjjd^fdi^huit pouqes^que M. Savigny nous
^ rapporté ,de Naple.s,|est brun , ^ e o taqhes.,^|s^gran^es, ej;
gris,âtfe$. Le dss^ms dp venire Wnaunâtre. JLes nageoifes,,|qnt noi-
ratres.^Hn.,individu, (^environ u n ^ n ie d j^ ^ plus fon’ee^ et d u n
Brun presque uniforme tv jdes^ETgeoirfjS nônâttesr Uir troi-
fsikiîît?, qui'Il plus de deux pieds‘,^t^qùi ncMi' étfe e i k j r b y ê de Sicile
{ ) à ^ i# ,é î ] ^ B n ^ l ^ ® ^ ' ê kï e ‘p r em 'î e fP i^ brun marbre de
-grisâtre.1^1?i’
Les,intestins .(Ju mér®u*s0nt plus ainplest que ceux des g®lit§ sgr^
î^qps^ et ^nombre-de .^r?agpendices,coe£alte| va j i dix-neuf ou
vingt. LejÇtjl-fle-saei.^le,son estojnaC'iqst rourt,,
parois sjont fort .épaisses, M^e^pHsiiptéri^urs H | ^ 3 E n | ^a Bran”
,'deur etj^la forcé^dfes ^^^ ^ e^f^mjs^eletté*^^m mei^e ^ltd
des serrans. Il a aussi dix vertèbres' abuïmi>nàl'es',èt quâto'rzé caüdaleS.
Des Sérrans étrangers qui ie<-rapprochent d u M é r o u <. jj ;
1 B H auÈipns bien$$®ulu pouvoir
série, d’espèfees .dont nous,allons, parler, d’aprb's^ quelques
c a f aptères pris d^]le^^|?ÿnesj ï^ais il qjg en, a poipÆ$ass^z
fixes; pour remplir p
Bl^efij, à, ^>^é;rité y divise les ® | ïs p n s ’5que nous jegar-
donsf comme |4®s ?serrans,, ;;gn six genre||jg|t qui.^en rap-
p.QrJtQKait aux-.caractères- qu’il -leur, assigne j,scrqiraitj,cette
division fo$fr régulière. ïîrois* de ce|fgetiire§ ont le mus,eau
sans écailles | et trois autres'. Jonf*||cailleux. Pafrçni^s prq^
miers, les fiolocentres ont des denteluros.au préopercjjile;,
des; ,épines à l’opercule j les bodians ont Éé'jJ préopqrcule
entie'b et;, l’opercule épineux ; les lutjans, le pqéopercule
d.entelévè-t l’opercule sans épines» Les memes distributions
ont lieu parmi les seconds : ?le(s épinépfiéfus. auraient les