fondeldr qu’il sé tient fdê5ÿp«élférenoe;^" ce qui le tend plus
dijficiles àipreidië que fapérbhe; il préfère les fonds de
sable, set .né répssit que dans des’ eaux pures’; la vase, les
moindres^ dissolutions gypseuses,, lui îSont nuisibles. Il n’a
pas la vie si dure "que la percke ; quand il est renfermé il
ne mange p o in tâ t onfJa même de la peine’ àdfercônserver
long-temps dans deshvasesy em sorte qu’il est difficile a
transporter vivante G>èÿ, probablement ce qui a empécbî
que l’on n’essalyât ide multiplier <thëz nous nn pbissOn qui
donnerait à nos tables une ressource nouvelle et des plus
agréaèpkdLa tentative mériteraitbién d’en être faite; no\re
climat n’aurait rien ‘qui is^opposâtr,.ea>r il habite et-plus
a>îé:hi)rd;;e.É plus au midi. •"
L e premier sandÈé qui ait étéldlèc%M avait été envoyé' à
Gesnéibde Bdhèm^BKét venait probablement dê'FE2be|'i
mais!il y>en à aussi-dans le Danube, dans l’Oder et dans.
toU|^|,( lâcs qui communiquent avec ces fleuves,. L ’espèce
est ^Ê:^n^ùne,^ns, les grands lacs dfe-' Suède, '*où on la
nompieig'ï®r^3'ides -ISforwégiéns, qui la possèdent aussi*; lui
doàheM le mêmènom; maisales Danois lappéllêdt .mn-
d«rtÿ êomme les Allemands- Marsigli l’â^Me èh’fïlbngrie, où
on la nomme silo 9. Elle abbùdudahs' tous les fleuves^aè la
Prusse y ainsi qüe dans le Ftisch-Haf 'l't WCurisch - Haf.
B o ck assure que les mar'dhés 'dé Dantzig èt de Koeriigsberg
sont qumqueïbis encombrés;<mM|f p:oi¥s<ffi’’aû point que
lés plus pauvtés gens .peuvent's’en repmrè ^.'^FischerJ dit
que le sandre est commun dans topftesdes rivières de L ivonie4.
Les Mùssës ïe:-cdnnaissênt soüs1 les noms de sudak
•1. Para/*]?., p. 28. — 2. Marsigl., D a n u l : 3. Histl nàt. de Pi^sse^lV'/^.SjrSJ
■ t Hist. oat. de^iyoaiej p. 247.