presque toutes ses dents latérales , d’en bas ressemblent aussi a des
canines. Sa caudale, comme celle des premières..espèces de dp genre,
est taillée*çm peu én croissant Dans la liqueur sa couleur parait
brune j'toutes ses écailles ont .un éclat doijé,' et leur bord est'argenté.
1 - Selon Parra, elles offrent dans l’état frais des teintes brtmesret;jeunes,
agréables à la vue^ et la dorsale a des reflets^ cramoisis ^slîr un
fond brun. &6*1- * \ ,
• ■ Un individu, Tenu pr&sq*|é frais dé Sabit-Domingue, avait le doR
Utant sur rbra®gê, le ventréblànc, et du jaimé^érdâtre suptoutés
les 'nageoires et -siir toutes les parles latérales. Ces teintes jaunes
l’ont fait appeler dans cette île sarde mulâtresse.
| - D.40/14 ; A. 8/9} G. 11 ;0 16 ; T$M$; . k
Parra en parlé comme d’un poisson trësrSaVoüreux^t
due l’on peut manger sans crainte de la siguatera.
Le MÉsôPRiois j o s ï j ? .
{Mesoprion jo cu , nob.-.ytnlhias jo c u , 111., S'ébn.)
lies Antilles ont*une espèce très-Vo.isine et qui parait
devenir aussi grande, ipais qui s’eu distingue
par une suite de points argentés, ïiéérés de brun, régnant-sur laqoue
ét-sbus fceil. .
M. Plée, qui nous l’a envoyée de la Martinique, ÿui
dorme le nom de sarde à dents de chien, commé à la précédente.
Il dit dans ses notes,,
que sa couleur générale est rël^§Ràis quei l^pectprâles èM^ep-
• téesj ses nagepires' sont jaunâtresj que les tacbes' de 'sa jôue ‘sont
d’un gris blanchâtre, et qu’on en1 pêche de1 douze a quinze livres.
Parra, dansTsêsJPoissons cÈeja Havane:' la
représente très-bien sous le nom de jo c u , et. c’est Y an-.
thias jo c u de Schneifde&-('p. 3 rd ; n.^yap^ Selon le premier
dénués auteurs!,' dans l’ét?atdrêîs |||
o'^Souleur dej^têt^îet d’une ga^e ^ g.fc^P's ejst d’un rouge d’qere
vif êtle 'rpstf] d’un jaune d’9^3|
Il V'en a"4 e tr'è'sT^aMs /.mais ceét*urf désjpoikpwqui
$^é%M%nent lé p lus*facd’éfriènt ce^qiledeF^fo'tys esp*a-
gnols-nommié^plâ siguaterajw*
■ D.
L é MÉJSOplabN A RAIE. ;
( Mèsôprien litura^nohéf bj
M, Polteau noluy'â 'en ^ y ë de Cayenne un j^K.^très-^
semblable au jo c u y
inai's.datii. leqqfebau lieufde. points, il, nl^â^f la j?que.qu’iing ligne
continue. Peù^tye n!eftkqf
i P-
~ Nous le croyons d’autant piifs^ qu’il s’en«sésti, trouvÀd&ps
les ^collections' "dè. M. Plée un: tBoisièm^^49b^^4%intTl
Thomas^Joù,.'>une ligne , en par tiêtAPOntinue \ 0 en» partie
divisée , règnepdepuis le., milieuïydu souÿorbitairë: et; en
p assantvs ous l ’oeil jus qu’à ; l’angle | duipréoperculoob
D^près les n o t e s l ’acdo^agnaierit,‘ cèfpdiis'ô'n’,' frais*, est
| » d’une belleFtfoùleuf rôùgèj la ligne ét léU^âché^som^M'éiïes.^ï'
- L’espèce devient* très - grande et pèse de vingt à tijente.’livres.'’ >
D. 10/15; A. SÜ/9;îCLlT? P.16j