au-delà. Enfin, le troisième rayon de Tanale est dè près du dôuble
. jjplus long gué le deuxième; njais les n,om^res de ses rayons et w
les autres details de (ses_ parties sont-les mêmes.
>D* *ï ou 8 — 1/12 5”A. 3/8 ou 9 y etc, v.
M. Leschenault,, qui nous a envoyé un fort bel individu
de cette espèce, dit quelle est abondante'aux embqu-
cbures, des ,rivières ^qu’elle atteint quatre pieds, de longueur,
que les indigènes de la cote de fôçromandel la
nomment kodouva. Il ajoute qu’on 1 estime -êMëz peu
comme alimént.
M. Russel, dans^son Histoire dès poifftfns de "^isàgaf-
patam, donpe, tome II, fig. f 3a , un p^lsslin' qui4 n|^pâraît
absolument le même que le peche-naire, à quelques* différences
près dans lés épines du preoperculu,1 qui peuvent
avoir été. dessinées avec peu de .soin. I l .le^dlïa^em^^es
pectorales d’un jaune pâle et lès ventr^esjaun jaune loi/ca»
Les naturels «dé la côte"d’Orixa Rappellentpandou-rninoû!,
et lés Anglais de Calcutta cockup. Cest;"ajoüte-t-il, le meilleur
poisson que l’on puisse?sérvir dâns^cettè5 ville. Il ‘f
parvient >à_frois pieds de longueur;' mais ©^xMdJumî^ îd
et demi où de* deux sont d’un‘’goût’ plus ’agrèâMé. Il est
plus rare à Vïsagapatarh, ou on lui préfère d’autres poissons.
Cette dernièfé remarqué C^lcorderait ayUMelfe de
M. Leschenault, sur le peu de cas que l’on en fait
côte* de Coromandel.
M. Hamilton Buchanan, dans son Histoire des poissons
du Gange, meparaît encçre donner la mêipè espè^sous
le nom de coïus-svacti , .qùi , dit-il ést jç; cockup, du'cq|a-
mun des Anglais de Calcutta $ et l’un dîes; mets que l’on
y estimé le plus. Les difféférîëp què M. Bue hanan||| cru
voir entre ce poisson et celui jd,e Russel, ne. viennent