
 
		U-S  WIiMJKES,  
 ArAN l HOl' l lU\Yr,IK>S.  li'7  
 I.a  dixii-nie  famille  (les  ACANTiioprEHYGiENS,  eonipL-eml  
 lit]  petit  iioiiilire  île  genres,  distingués  par  des  
 (l'I-  tg. 3.1  
 Plus  allongés  que  les  nasons,  et  sans  conie  ni  loupe,  u.ais  
 a v e c  les  mêmes  rayons  branchiaux  et  ventraux,  ont  la  queue  
 armée  de  chaque  côté  d'une  lame  unique,  carrée,  Iranchaute  
 sans  boucl ier  ;  leur  boucl.e  est  très  petile,  et  ils  ont  les  dents  
 très  grêles  (i).  
 L E S  PRIODONS  NoI,.  
 Réunissent  les  dents  dentelées  des  acanthures,  les  li-ois  
 rayons mous  aux  ventrales  des  nasons,  et la  queue  nou  armée  
 des  sidjans  (2).  
 I'I,vu,  151.,  .Sdm.,  1,1.4,, Masse,,.,  
 it.  pal., 332 j  
 ^^as.  tandock,  ReiiaiJ.,  I,  iv,  -jS;  i^t  
 Valent.,  5|8;  
 Chat,  umcornis,  Forsk.;  tliffm-t.t  de  
 noire j)remiére espère.  
 iVflf.i/-ewi?i/m,N.,Ren., I, XXIV, i3o;  
 Arti,  tumifrons,  IV.,  m.-il  riiiidii,  Ren.  
 I, f.  178;  
 encore moins liien, (.  7 , probal.l. F^w«.  
 l/ntri,s  /uir/jurax,  .Shaw.  ;  
 (")  l'I,  74.  C;:.  3  
 A'tf-f.  carolinarum  , ^i.,  Q(|,iy el Oaini..  
 7.Ü0I. di>  vo\a^e de Fivvrin., pl. fi'J, r. 1  .  
 A'fl.v.  tuhf,-  Coniniurs. ,  ou  Na,oi,-I.Qu¡„. ^  
 l-acép-,  III, ui,  3, oil  Acanti,  uvas  nAius  ,  
 Shaw, Renard., I.  f. 7,) , Valent., n" i t,,.  
 el 47S.  
 {1}  Axìiiiinis  ihyiiiiüidvs,  Nob., iioiivcj'r  
 espèce <1.1 havre Doré, à la Nouvelle-Giiinc.-,  
 i nppoi'Ic-e ])ar M.M. Q.ioy cl GaiiiiarJ. (-î)  
 (»)  Pnoiloii  unuuUu  is,  Nob., e.spccc 11.mvt'llt! 
  (le Tiitior, i;i)![ioili'<-piir les im'iiir>.  
 PHARYNGIENS  LAB^RINTHll  ORMES,  
 C'est-à-dire  qu'une  partie  de  leurs  pharyngiens  supérieurs  
 sont  divisés  en  petits  feuillets  plus-ou  moins  
 nombreux,  irréguliers,  interceptant  des  cellules  dans  
 lesquelles  il  peut  demeurer  de  l'eau  qui  découle  sur  les  
 branchies  et  les  humecte  pendant  que  le  poisson  est  à  
 sec,  ce  qui  permet  à  ces  poissons  de  se  rendre  à  terre  
 et  d'y  ramper  à  une  distance  souvent  assez  grande  des  
 ruisseaux  ou  des  étangs  qui  font  leur  séjour  ordinaire,  
 propriété  singulière  qui  n'a  pas  été  ignorée  des  anciens  
 (i},  et  qui  "fait  croire  au  peuple  dans  l'Inde,  que  
 ces  ])oissons  tondient  du  ciel.  
 LES  ANABAS  
 (l'I.  73. (is.2, ctvl. 71, %. I.}  
 vSon!  ceiiN:  qui  ont  ces  labyrint l ies  porlés  an  \)\i\s  liant  degré  
 d e  complication  ;  néanmoins  les  li'oisièmes  pharyngiens  ont  
 ílíilh'  ;  
 (1}  Ihèiiphraslo,  dans  son  Trailé do'^  
 p()i>soiis (|iii \ivi'ril an .'^l'C, parle di-  lu-iil.«  
 poisi-ons fpii soriciil drs rivii'ri's ]iiinr i]iii-l- 
 (|iie ti'nips. ri  (|iii y reinnrnrjiI-riMiilc,  1  
 dit ipt'ils ressemlilrnl à  drs niii^rs.