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 POISSONS.  
 c l e , , ^ ;  les  , ,eu.  dorsales  co,u,«„ëso„  ..éu„l«.  Ello  habi l e  aussi  „„s  eaux  
 L E S  M Ï X I N E S ,  L.  
 (l'I.  >  3.)  
 N  ont  qu\ i„e  seule dent  au  l«ul  de  l'anneau  n,axillan-e  q.u  
 m-meme  est  tout-à-fait  ,ne„,branenx,  tandis  que  les  d^nte- 
 Un-es  latérales  de  la  langue  sont  lortes  et  disposées  su.  deux  
 rangs  de  chaque  côté,  en  sorte que  ces  poissons  ont  l'air  de  ne  
 porter  que  des  mâchoires  latérales  connue  les  insectes  ou  les  
 nereides,  ce  qu,  les  avait  fait  ranger  par  Linnau.s  dans  la  classe  
 Jes  vers;  mais  tout  le  reste  de  leur  organisation  est  analogue  à  
 celle  des  lan,proies  (.)  :  leur  langue  fait  de  même  l'effet  d'un  
 piston,  et  leur  épine  du  <los est  aussi  en  forme  de  cordon  La  
 bouche  est  circulaire,  entourée  <le  huit  barbillons,  et  à  son  - 
 bord  supérieur  est  percé  un  évent,  qui  communique  dans  son  
 •nterienr.  Le  corps  est  cylindrique  et  garni  en  arrière  d'une  
 nageoire  qui  contourne  la  q.ieue.  L'intestin  est  simple  et  droit  
 mais  large  et  plissé  à  l'intérieur;  le  foie  a  deux  lobes.  On  né  
 voit  point  de  traces  d'yeux.  Les  oeufs  deviennent  gran.ls  Ces  
 singuliers  animaux  répandent  parles  pores  de  leur  ligne  laté- 
 ( 0  N.  s.  La  fi^'.  tlu  Pianeri, D[.,  
 ii'esl  (lu'iin  jeune prida.  En  rcvoni lie, je  
 pense ([ne les pÉtrom.  sitce!,. Lar.,  u  i,  3;  
 I"  IV,  .IV,  el  le  Kdr,  ¡I).,  a,  
 ne son! <|ne des  vnriéri.s  J,i /,/„„„.;  ;  
 Mais  l a %  L u .  I, sous le u™, de  z,„„_  
 pryon  [Pclr«m.  l.rmMh),  ,.e|„.ésenle  
 uue  espèce parliculiòi.e  Je ce  jcju-e  el  UÜII  
 un ammocHt.  Je  ne  vnis  pas  de iUrfÎTenre  
 cci'lalne  enlre  le  Pel,m.  argaileiu,  l;l.,  
 4i5,  2,  el  le  fluviat'u,  
 (M)  ^oycz  le  niéu.üiie  d'AIjild-aar.Jl,  
 Kerilsdelii.Sm.. des  nar.ile  llerliji,  lumeX,  
 I'.  •9.1.  
 ClIOMDKOPrERVGlIiNS  A  iîKANCHlES  FIXES.  ."05  
 raie  une  mucosité  si  abondanle,  cpi'ils  semblent  convertir  en  
 gelée  l'eau  des  vases  où  on  les  tient.  
 Ils  attaquent  et  percent  les poissons  comme  les  lamproies.  
 On  les  subdivise  d'après  les  orifices  extérieures  de  leurs  
 branchies.  
 L E S  H E P T A Ï R È M E S ,  Dumér.  
 Il  y  a  encore  sept  trous  de  chaque  côté  comme  dans  les  lamproies.  
 On  n'en  connaît  qu'un  de  la  mer  du  Sud,  le  Guslrohranchc  Dombey,  
 Lac.  I,  xxm,  i.  Pclromyzon  cirrhalus,  Forster,  Bl.  Schn-,  p.  1,  533.  (1)  
 Dans  
 r . ES  GASTROBRANCHES,  Bloch.  
 Les  intervalles  des  branchies,  au  lieu  d'avoir  chacun  son  issue  particulière  
 a u  dehors,  donnent  dans  uti  canal  commun  pour  chaque  c<Ué,  et  les  
 deux  canaux  aboutissent  à  deux  trous  situés  sous  le  coeur ,  vers  le  premier  
 tiers  de  la  longueur  totale.  
 On  n'en  connaît  qu'un  de  la  mer  du  Nord  Mi/xinc  glutinosa.  Linn.  
 Gnstrohrnnohus  coecvs,  HI.  413.  
 L E S  AMMOCETES  
 (.\M\IOCOETES.  Dumér.)  
 Out  toutes  les  parties  qui  devraient  constituer  leur  squelette  tellement  
 molles  et  membraneuses,  qu'on  pourrait  les  considérer  comme  n'ayant  
 (c)  l'oyez  le méiiiuire  de  sir  Everaril  Home, clans les Trans.  Pliil.,  de  v8 ib.  
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