
 
		MALACOPTliKYGIESS  ABDOMINAUX.  Ï 7 I  
 111  L E S  AU  1 , 0 PES  
 ( A U L O P I Î S -  Ciiv. )  (I)  
 llcuiiissaiil  des  caractères  de  gades  ù  drs  caraelcrcs  de  saumons.  Lcui- 
 Sucide  fsl  bien  fentliie;  leurs  inleniia.\illaires,  qui  eu  l'ornieui  loid  le  
 bord  supérieur,  sont  garnis,  ainsi  que  les  palaliiis,  le  bout  anlcricur  du  
 v o u i e r e t  la  m:\choirc  inlcneurc,  d'un  ruban  éiroil  île  dcnls  en  cardes;  
 mais  la  langue  n'a  que  quelque  ¡Iprelé,  ainsi  que  la  partie  plane  des  os  du  
 palais.  Les  maxillaires  soul  grands  et  sans  dtn  »,  comme  dans  le  grand  
 nombre  des  poissons.  I.eurs  ventrales  sont  presque  sous  les  peetoi  ales,  el  
 ont  leurs  rayons  externes  gros  et  seulement  fourchus.  La  première  dorsale  
 répond  à  la  prerni.'re  moitié  de  l'inlervalle  qui  les  sépare  de  l'anale.  
 11 y  a  douze  rayons  aux  branchies;  de  grandes  écailles  ciliées  couvrent  le  
 corps,  les  joues  et  les  opercules.  
 La Médi terranée  en  produit  une  espèce  (AV/wo/¡¿^imenfoiui,  1ÌI.;,  lîei  l.  
 •Scbr.,  X,  IX,  2.  
 L E S  S T E R N O P T Y X ,  Hermtin.  
 (l'I.  .Oi,  llg.  3.)  
 épineux  anlèrienrs,  et  derrièie  cetle  nageoire  se  voit  une  petite  saillie  
 uiemhianeusc,  qui  représente  la  nageoire  adipe.,se  des  salmones;  leurs  
 maxillaires  forment  les  côtés  de  leur  bouche.  
 Nous  en  avons  deux  espèces  qui  pourront  former  un  jour  les  types  
 de  deux  genres,  
 l,c  STERlSOPTyX  D'IlERillAS  (Slernapltjx  diaphanu.  Herman  ,  Natiuforsclicr, 
   fascic.  XVI,  |)l.  8,  copic  Walbaiim  ,  .\rtM.  rcnov.  tome  Ml,  pl.  l.  
 lig.  2.  
 A les  dents  en  velours  et  cinq  rayons  aux  ouïes;  sa  torme  est  singulièrement  
 oblique,  sa  boiu'.he  revenant  môme  au-delà  de  la  verticale.  
 L e  STERSOPTYX  D'OLFERS  iSlmio-ptljx  Olfersii.  IN.)  
 Aies  dents  en  crochets  et  neuf  rayons  aux  ouïes;  toutes  les  deux  se  
 trouvent  dans  les  parties  chaudes  de  l'Océan  Atlantique.  ( l )  
 L i t  cltwntiènie  famille  des  Ma l a c o p uVy g i e t i s  abdoniin 
 a u x ,  oit  celle  
 D E S  CLUPES,  
 n t  
 Soni  de  pelils  poissons  a  corps  haut  el  Irùs  cninpi  iint',  soulenu  par  les  
 còles,  à  bouche  dirigce  vers  le  ciel  ; doni  les  huiuéraux  loniient  en  avaul  
 une  créte  tranchante,  terminée  eu  has  par  une  pelilo  épine  ;  les  os  du  
 bassin  en  lonnenl  une  autre  aussi  terminée  par  une  pelile  épiue  eu  avant  
 des  ventrales,  qui  sont  assez  peliles  pour  avoir  écliappe  au  premier  observateur  
 Le  long  de  la  créte  du  bassin,  de  charpje  còle,  est  une  série  de  
 petites  fossettes,  que  l'on  a  regardées  couune  un  jili  ieslonné  du  sternum,  
 ce  qui  a  donné  lieu  au  nom  de  slcruoplyx.  En  avant  de  leur  première  
 dorsale,  est  une  créte  osseuse  ou  membraneuse  qui  appartient  aux  inter- 
 S e  r e c o n n a î t  a i sément  e n  ce  q u e  n ' ayan t  point  d'adip 
 e n s e ,  sa  mâ c h o i r e  siipérietn-e  est  formc-e  comme  dans  
 l e s  t rui tes ,  ait  tniliett  |)ar  des  inter raaxi l lai res  s ans  pédi- 
 (,)  Nos  ,lesc,-¡plions  so„l  fai.i'S  d'nprc.,  bo.u-g, monl.e  les  uns 01 lo.s a.,1res.  Ncis  
 „mm-.,  llemi.™  .ctnsai.  an  sien  des  on  U'ailn-ons  plus  ,n  Jélail  Jans  noire  
 rayons  au.^  ouiis  fl  dos  vw.lrales;  io«i<  »,  an Je  lii.loirc ik-s poissons,  
 son  individu,  qui  existe  ci,co,e  a  SIras