
 
		r . E S  SARDES  
 (SAUDA.  N  )  CO  
 (PI.  48,%.  '2.)  
 Se  dist inguent  des  thons  seulenieul  par  des  dents  pointues,  distinctes  ,  
 et  assez  fortes.  
 On  n'en  connaît  qu'une,  abondante  dans  la  mer  Noire  et  la  Méditerr 
 a n é e  {Scomhcr  sarda,  Bl.,  334J,  Aldrov. ,313,  Salvian.,  123,  Bélon.,  179(2).  
 Bleue,  ù  dos  rayé  obliquement  de  noirâtre  Elle  liabite  aussi  les  deux  
 Océans.  C'est  un  poisson  remarquable  par  l'extrême  longuoin-  de  sa  
 vésicule  du  fiel,  qui  était  déjh  connue  d'Aristole.  (3)  
 J . E S  TASSARDS  
 (CVBILM.  N.)  (4)  
 (PI  48,  iig.  3.)  
 Ont  le  corps  a l longé,  sans  corselet  et  des  dénis  grandes,  comprimées,  
 t r a n c h a n t e s ,  en  un  mot  eu  forme  de  lancettes.  Leurs  palatins  n'ont  (|ue  
 (i)  .SarJa  était  le  nom  ancien  dii-lbon  
 péché  et salé dans ta mer occidentale.  
 (î)  C'est  i'Jmia  des  aiuiens  ,  et  de  
 Rondelet,  a38, le Sarcla du Rondelet,  248,  
 en  est  le jeune  âge.  C'est  aussi  le  Scombcr  
 palamilus  de  Rafinesqiie, le  Se.  ¡wnticus,  
 de  l'ail., Zoogr. ross.  
 (3)  Arist.,  Hist,  II, c.  i5.  Au  reste,  Ir  
 (hon coinmiin a la vésicule du iiel  loiit aussi  
 longue.  
 (4)  Cybium ,  nom  nneien d'une  jiréiiii—  
 ration  de  ihoii  ei  d'un  poisson  <li:  ta  l'ainille  
 des  liions.  
 ACANÏHOPI'ÉRYGIENS.  ^  '  
 des  a cus  on  velours  ras.  Il  y  on  a  plusieurs  clans  les  parl ies  chaudes  des  
 deux  Océans  ,  doni  quelques-uns  deviennent  fort  grands.  (1,  
 L E S  THYRSITES  
 (1>1.  49,  (Ig.  I.)  
 Diffèrent  des  cybiums,  parce  que  leurs  dents  antérieures  sont  plus  
 longues  que  les  aut res  ,  et  qu'il  y  a  aussi  des  dents  pointues  a  leurs  palatins" 
   Leur  queue  n'a  point  de  carène  latérale.  
 Ce  petit  sous-genre  conduit  sensiblement  aux  lépidopes  et  aux  tr.- 
 chiures.  (3)  
 L E S  GEMPYLES'«  
 L  
 (Pl.  <9, %.  a.)  
 Ressemblent  aux  thyrsi lespar  les  dents  des  mâchoires,  mais  ils  mauq 
 u e r d T d e n t s  au  p a l L ,  et  leurs  ventrales  sont  presque  .mpercept.bles,  
 ce  qui  est  encore  un  rapport  avec  les  lépidopes.  (6)  
 (,)  C.  Commasonü,  N  ,  Sc.  Commerjo/ 
 iii.Lacép.,  ou Äo""»>, »ussel, i35 i  
 C. Unedalum.  N.,  Mangelang.  Rliss., I,  
 VII,  53  ;  
 C.  guUatum,  N.,  ou  Se.  guUatm,  Bl.  
 Schil.,  pi. V,  Flngeram,  Russel,  i34;  
 C.  maculaUm,  ou Se.  maculatm,  Milcli.,  
 Trans. New-Y.,  I,  vi,  8 -,  
 C. regale,  N.,  ou  Se/regalU,  111.,  333,  
 qui  est  aussi  le  Scomberomorc phimier,  l.ilri'p,, 
   Ul,  293;  
 roissilNB.  
 C. eavalla,on  Gaarapuea^Mar^r.,  17«.  
 (2) Nom  ancien  d'un  poisson  de  ceUc  
 famille.  
 (3)  Seamier  denlaliit,  HI.  Sdm.,  ou  Se.  
 atm,  Knplirasen  ci  Lacép.,  ou  Aeinacie  
 bâtarde,  lìory  Saint-Tillcent.  
 (4)  Nom  ancien  d'un  poisson  inconnu.  
 (51  Gempjlus  serpens,  N.,  ou  Serpens  
 marìnm  compressns  lU-idns,  Sioanc,  I,  i,  
 t.