
 
		PorssoNS.  
 vertes  par  un  seul  trou  au  devant  duquel  est  l'oriiìce  
 d'une  cavité  aveugle  (i).  Leur  canal  intestinal  est  droit  et  
 mince  avec  une  valvule  eu  spirale.  
 LES  LAMPROIES  
 (PETHOMYZON.  L.).  (aj  
 {Pln.che  lao.)  
 Se  reconnaissent  aux  sept  ouvertures  branchiales  qu'elles  
 ont  de  chaque  coté. La  peau  se  relève au-dessus et  au-dessous  
 de  la  queue  en  une  crête  longitudinale  qui  tient  lieu  de  
 nageoire,  mais où  les  rayons  ne s'aperçoivent  que comme  des  
 fibres  à peine  sensibles.  
 LES  LAMPROIES  proprement  dites.  
 (PETROMYZON.  Uiiiii.;  
 ( l ' I .  120,  I  et  2.)  
 Leur  anneau  maxillaire  est  armé  de  fortes  dénis,  et  des  tubercules,  revêtus  
 d'une  coque  très  dure  et  semblables  à  des  dents,  garnissent  plus  ou  
 ( i )  C'esl  ce  que  les  auteurs  i  
 m a l - à - p r o p o s  évent.  f'oj-ez  en  général  sur  
 c e t t e  famille  ,  Diiméril,  Diss,  sur  les  Poiss.  
 Cvcloslomes.  
 (2)  Lamproie ,  Lampreda,  Lamprej ,  
 norris  corrompus  de  Lamprela,  (jiii  liiii 
 n c m e t s l  modenieel  vieni,  à  cc  <|iie  croieni  
 ']iicl(|iies-tins,  (le  l.nnihriulo peirns,  Pclro- 
 C 1 1 0 . > J D l l 0 r T É R Y G l E N S  A  R R A N C H I l - S  FIXES.  3« I  
 moins  le  disque  intérieur  de  la  lèvre,  qui  est  bien  circulaire.  Cet  anneau  
 est  suspendu  sous  une  plaque  transverse,  qui  paraît  lejiir  lieu  des  inlermaxillaires, 
   et  aux  côtés  de  laquelle on  voit  dos  vestiges  de maxillaires.  La  
 langue  a  deux  rangées  longitudinales  de  pelltes  dents  et  se  porte  en  avant  
 et  en  arrière  comme  un  piston  ;  ce  qui  sert  à  l'animal  à  opérer  la  succion  
 qui  le  distingue.  L'eau  parvient  de  la  bouche  aux  braiicliics  par  un  canal  
 membraneux  particulier  situé  sous  l'oesophage,  et  percé  de  trous  latéraux,  
 qu'on  pourrait  comparer  à  une  trachée-artère.  H  y  a  une  dorsale  en  
 ¡vvant  de  l'anus,  et  une  autre  en  arrière,  qui  s'unit  à  celle  de  la queue.  Ces  
 poissons  onl  l'habitude  de  se  fixer  par  la  succion  aux  pien-es  et  autres  
 corps  solides,  ils  attaquent  par  le  même  moyen  les  plus  grands  poissons,  
 et  parviennent  à  les percer  et  à  les  dévorer.  
 Lu  a BAN DE  LAMPROIE  [Peiromyzon  marinili.  L }, Bloch.  77.  
 Les dents  mieux.  I.ac  I,  i,  2.  
 Longue  de  deux  ou  trois  pieds,  marbrée  de  brun  sur  un  fond  jaunc'itre;  
 la  première  dorsale  bien  distincte  de  la  seconde;  deux  grosses  dents  
 rapprochées  au  haut  de  l'anneau  maxillaire.  Elle  remonte  au  printemps  
 dans  les  embouchures  des  fleuves. C'est  un  manger  très  estimé.  
 La  LAMPROIE  DE  RIVIÈRE,  PRICK  A  ,  SEPT-OEIL,  etc.  {Petronvjzon  
 fltwiaiù.  L.),  lil.  78,  I.  
 Longue  d'un  pied  à  dix-huit  pouces;  argentée,  noirilUe  ou  olivâtre  
 sur  le dos  ; la  première  dorsale  bi fn  distincte  de la  seconde;  deux  grosses  
 dents  écartées  au  haut  de  l'anneau  maxillaire.  On  la  trouve  dans  toutes  
 les  eaux  douces.  
 La  PETITE  LAMPROIE  DE  RIVIÈRE,  SVCET,  etc.  {Petr.  planeri.  Bl.),  
 «iesncr.  71)5.  
 Longue  de  huit  ou  dix  pouces  ;  les  couleurs  et  les  dents  de  la  précémyzon  
 en  ost  la  Iradiictioii  grecque  faile  
 p;ir  Arlédi .  Il  es!  >ingulier  c|iio  l'on  soit  inr 
 e r t a i i i  du  nom  ancien  d'nn  poisson  eslini  
 cl  coi;.niim  dans  la  MeJilcrrunrc.  
 - l i .