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INTESTINAUX.
O n e n connni t u n (Toenia lancéolé, Chabert; PoUjstoma toenioUUs, Kud.,
-H.st.,II, XII, 8-12; P.ntastoma , id. S y n , 123), qui alteinl jusqu
a SIX pouces de longueur. Il se tient dans les sinus frontaux du chien
et du cheval. (1) _
C'est ici que paraît devoir se placer
LE PRIONODERME.
( P R I O N O D E R M A . Rlld.)
( Pl. 29, fij-. 5.)
Dont le corps et les intestins sont fort semblables, niais qui
a la bouche à l'extrémité antérieure, simple et armée de deux
petits crochets.
On n'en connaît qu'un du silure ( CucxdLanns ascarides), Goetz pi
VIII, f. i i - i i i , Rud., Hist., Il, xii. (2)
Je crois devoir placer à la suite des intestinaux de
cet ordre, mais comme une famille assez différente, et
qui devra être divisée eu plusieurs genres quand on en
aura mieux détaillé l'économie,
( i ) -V. B. La bouche des likguatules
de Froelich , est eolièrement semblable à
celle de ce penlaslome. Je suppose donc
qu'elles sont du Dième genre, quoique je
n ' a i e p u , à cause de leur petitesse, observer
leurs intesliiis. Tels sont, Toenèa caprina
. Cm. , ou Poifsl. denticulalnm ,
Rud. Zool., dan., III, ex, 4, 5;
Lingual II/a serrata, G m . ; Pol. serra-'
turn, Rud.;Froelich, nat.; Forse))., XXIV,
IV, 14, i5 ; le même que le tktragui,e ,
Bosc. , Bulletin des Sc., mai 1811, pl. n,
fig. I. M. Rudolph! fail maintenant de ces
vers son genre i-emtastoma , Syn., i-a3.
M. de Blaiuville préfère le nom de lin-
(iUATUf.E.
Le Porocephalus crotali, Humboldt ,
OI)s. Zool., pl. 2G, y appartient probablemenl.
(2) M. de fiiainville fait de ces deux
genres son ordre des KNroMowoAim-s f ronts
ONCJIOCÉPUAI.ÉS.
CA"Vn'AlKES.
LES LERINÈES,
( L E R N ^ A . L.)
( P l . 3o, 3i, 32.)
Dont le corps a à-peu-près la même organisation intérieure
et extérieure que dans les intestinaux cavitaires, mais est prolongé
en avant par un col de substance cornée, au bout duquel
est une bouche diversement armée, et entourée ou suivie
de productions de diverses formes. Cette bouche et ses appendices
s'insinuent dans la peau des ouïes despoissons, et y fixent
l'anima!. Leslernéesse distinguent encore par deux cordons,
quelquefois médiocres, quelquefois très longs, ou même fort
repliés, qui pendent des deux côtés de leur queue, et qui pourraient
être leurs ovaires, (i)
LES LERNEES propres
CPl- fig. i.)
Ont un corps oblong, un cou long et grêle , et des espèces de cornes
autour de la tète.
- La plus connue est celle qui aUaque la ujorue et d'aulres gades ( Lcrtioea
branc/ualis, L.), Encycl., Vers, LXXVIII, 2, longue d'un à deux
( i ) M. Surrirey a trouvé dans les cordons
d'une leniée des oeufs qui lui ont paru
contenir un animal analogue au.\ crustacés
, et fort différent de la lernée ellemèuic.
Ce fait, compar é à ce quo INÎM. Audouin
el Milne Edwards ont observé sur la
nicolhoé du homard, lait penser à ces naturalistes
que les lernécs pourraient bien èlrc,
pour la plupar t , des crustacés devenus monstrueux
après qu'ils se sont fi.vés. Les mâles
demeureraient toujours libres , et cela e.xpliquerait,
selon eux, pourquoi ou ne trouve
jamais que des femelles (Anu. des Se. nat.,
I X , 345, pl. xLix ). Mais pour consacrer
ceUe opinion, il faudrait pouvoir retrouver
ccsniàles, (a)
(n) P'oj-ez [il. 3().
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