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 KCHINODKRMÏÏS  
 El  même  où  il  est  presque  orbiculaire  (les  LIGANUH,  Klein.  ).  (()  {a)  
 LES  FIBULAIRES  Lam.  
 ( ECHmoCYAMüS. Lcske. )  
 (Pl.  i6,  fig.  3.)  
 Ont,  avec  la  rosace  des  clypéastres,  le  corps  presque  globuleux,  et  la  
 bouche  et  l'anus  rapprochés  dans  le  milieu  du  dessous.  Ils  sont  d'ordinaire  
 fort  petits.  (2)  
 Au  contraire,  lesSPATANGUES,  Lam.  (SPATiSGus, Kl.) ont  avec  la  bouche  
 latérale  des  ananchites,  des  bandes  de  pores  incomplètes,  et  formant  une  
 rosace  sur  le  dos  (J).  Il  n'y  en  a  ordinairement  que  quatre  ;  celle  qui  se  
 dirige  du  côté  de  la  bouche  est  oblitérée.  
 Quelques-uns  ( les  BHISSOÏOES. Kl , ,  ont  le  test  ovale,  sans  sillons.  
 C3)  
 {i)  Echinus  orbiculatus,  liourguet,  Peini., 
   Lin,  35a;  
 Eck.  laganum,  Seb.,  XV,  »5,  
 Ech,  subrotundus ?  Scill.,  Corp.  mar.,  
 Vin,  r,  3;  
 Ech.  orbicularis,  Gualt.  test.,  CX.,  B;  
 Ech.corollatus,  Walcb.,  MOD.  dil.,  II,  
 E.,  II,  8.  
 (2)  Echinus  nucleus,  K.I.,  XLVIII,  2,  
 a-e.;  Enc.,  i53,  24-28;  
 («)  PI.  i6.  fig.  2,  
 Ech.  lathyrus,  Kl.,  XLVIII,  i,  
 Enc^cl.,  i54,  6,  10;  
 Ech.  craiiiolaris,  PalL,  Spicill.,  
 IX,  I ,  24;  Enc.,  154,  1-5, etc.  
 (3)  Ech.  teres, Seb.,  ni ,  xv,  
 Enc.,  ISQ,  5,  6;  
 Ech.  hrissoides,  Kl.,  XXVII,  B.  
 259,  4;  
 Ech.  amygdala,  KL,  XXIV,  li.  ¡.  
 iSg,  8  ct  10.  
 I'l.  C7,  fig.  2.  
 a-e,;  
 Zool.,  
 >8-  Î9;  
 ;  Enc.,  
 .;  Rnr,,  
 PÉDICELLÉS.  35  
 D'aulres  ont  un  large  sillon  plus  ou  moins  marqué  dans  la  direction  de  
 la  bande  oblitérée  (I).  Quand  ils  conservent  d'ailleurs  la  forme  ovale,  ce  
 sont  les  BRissus,  Kl.  ;  mais  quelquefois  ce  sillon  s'approfondit,  et  le  test  
 s'élargissant  en  même  temps  de  ce  côte,  prend  la  figure  d'un  coeur.  (2)  
 Nous  en  avons  dans  nos  mers  de  ces  deux  dernières  formes.  On  leur  a  
 observé  autour  de  la  bouche  des  tentacules  branchus  comme  aux  lioloihuries. 
   
 LES  HOLOTHURIES  
 ( H O L O T H U R I A .  L . )  
 (Pl.  i8,19  et  20.)  
 Ont  le  corps  oblong,  coriace,  ouvert  aux  deux  bouts.  A  
 l'extrémité  antérieure  est la  bouche,  environnée  de  tentacules  
 branchus  très compliqués,  qui peuvent  rentrer  entièrement  
 à  l'extrémité  opposée  s'ouvre  un  cloaque  où  aboutissent  le  
 (1)  Ech.  spataiigus, Scb.,  Ill ,  xiv,  3,  4,  
 5,  6, X,  22,ab.  ig,  ab.;  Enc.,  i58,  7-1  i,  
 159,  I,  2,  3,  etc.;  
 Ech.  radiatus,  Kl., XXV,  Eiic-,  i56,  9,  
 Spat,  suhorbicularis,  Ciiv.  el  liroag.,  
 Fnv.  de Paris,  2°  edit.,  v.  5;  
 Spat,  ornatus,  ib.,  6.  
 (2)  Ech.  purpure us,  Müll.,  Zool.  dan.,  
 VI;(«)  
 Ech.  flavcsce.ns,  id.,  XCL  auxquels  se  
 vapporlent  probablement  plusieurs des tests  
 rassemblés  sous  Ech.  lacunosus ;  tels  que  
 Séb.,  III,  X, 21;  Encycl.  i56,  7,  8.  
 (a)PI.  17,fig.2.  
 EOOL'NYTES.  
 (A)P1.  i8,fig.  i;pl.  I9,fig.  i,etc.  (i)Pl.  18,  fig.  I,.  
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