
 
		I'OlSSOiSS.  
 Mis  CIÎPJIALOPTiiUlis  
 (CEPMALOPTEBA  Dimi,).  (1)  
 (l'Innclic  rr,).)  
 Oiu  la  qnenc  grêle,  l'.iiguillon,  la  pelile  cloi-sale  et  les  peclorales  élendues  
 en  largeur  des  moiirines;  mais  leurs  dénis  sont  plus  menues  encore  
 que  celles  des pastenagues,  luiemcnt  dentelées.  Leur  léle  est  tronquée  en  
 avant,  et  les  peclorales,  au  lieu  de  l'embrasser,  prolongent  chacune  leur  
 extrémité  antérieure  en  pointe  saillante;  ce  qui  donne  au  poisson,  Pair  
 (i avoir  deux  cornes.  
 On  en  pôclie  quelquefois dans  la Médilerranée  une espèce  giga.ilesque  
 illum  ,eph„lnpicra,  Sc l i n . )  Ilmc,ji«r„„,  Uc .  V,  xx,  3(2).  A  dos  noir  
 liordé  de  violâtre.  
 CHONDROPTÉRYctENs  (le  lit  t leuxièi i t e  faniillfi,  on  les  
 SUCEURS,  
 (cvct.osTOMES.  Ditmér.)  
 Sont,  à  r%arcl  dit  squelette,  les  plus  imparfaits  des  
 poissons  et même  de tous  les animaux  vertebi-és;  ils n'ont  
 ni  pectorales  ni  ventrales;  leur  corps  allongé  se  termine  
 en  avant  par  une  lèvre  chanme  et  circulaire  ou  demi  
 (i)  C^pbahplcrc, lijle ailée,  à  panse ties  
 |iiüd jetions de leurs peclorales.  
 f?) t.a  liniefabromenRe.  t.nr..  It  v,  t-?.  
 n'est probahlenieiil  (|ti'n:i  individu  iniililé  
 de la g'toma, mais la lì. donw  de I.esueiir,  
 Ac.  Sc.  nal..  Pilli.,  parali  dilTérente  de  
 CHONUROPTÉRÏGIENS  A  tìRANCttllB  FIXES.  S'il  
 circulaire("), et  l'aimeau  cartilagineux  qui  supporte  cette  
 lèvre,  résulte  de  la  soudure  des  palatins  et  des  niandibulaires. 
  Tous  les corps des  vertèbres  sont  traversés  par  un  
 seul  cordon  tendineux,  rempli  intérieurement  d'une  
 substance  mucilagineuse,  qui  n'éprouve  point  d'étrangleniens, 
   et  les  réduit  à  la  condition  d'anneau  cartilagineux  
 h  peine  distincts  les  uns des autres. La partie  annulaire, 
   un  peu  plus solide  que  le  reste,  n'est  pas  l'ependant  
 cartilagineuse  dans  tont  son  pourtour.  On  ne  voit  
 point de côtes  ordinaires, mais les petites  côtes  branchiales, 
   à  peine  sensibles  dans  les  squales et  les  raies, sont  ici  
 fort  développées et unies  les unes  aux  autres pour  former  
 comme  une espèce de  cage, tandis  qu'il  n'y  a  point  d'arcs  
 branchiaux  solides.  Les branchies ('),  au  lien  de  former  
 des  peignes,  comme  dans  tous  les  autres  jjoissons,  présentent  
 l'apparence  de  bourses  résultantes  de  la  réunion  
 d'une  des  faces  d'une  branchie  avec  la  face  opposée  de  
 la branchie  voisine. Le  labyrinthe de l'oreille  de ces  poissons  
 est  enfermé  dans  le  crâne;  leurs  narines  sont  oucelle  
 de  la Médilumiiiée,  pt  pmirrall  èliv  
 pliilolla mobiliar, Duliiiin.,  i!e>ixième pari.,  
 iieiiïièine st'ct., pl.  17;  
 Qiiaiil aux  K.  hanksUniu-,  Lac,,  II, v.  3 ;  
 MamMa,  ici, 1, vu,  a ;  
 l^iitholus  marinus^  Will.,  ajip  ,  IK,  ¡I  
 {")  ri.  luo.iig.  ,-r.  
 csl fáclioiix  ([Melles  ne reposeul pas sur de.s  
 diicuiiii'iis bien  aullientiques.  
 Ajoiilez  le  Ci-phaloptàre  Mnssena.  i\h<..  
 p.  tô;  
 Rregoodoo-tenkce,  Iliiss.,  I,  (>,  
 (A) l'I.  lào.fij;.