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Nous passons maintenant à des PERCOÍDIÍS qui ont plus de
sept rayons aux branchies. On en connaît trois genres qui
ont aussi tous cette particularité, que leurs ventrales ont
une épine et sept rayons mous ou davantage, tandis que, dans
les autres acantlioptérygiens, les rayons mous n'y sont pas
au nombre de plus de cinq.
LES HOLOCENTRUMS (Artedi). ( )
Sont de beaux poi s sons à écai l les brillantes et dentelées, doni ropercule
e s t épineux et dentel é et dont le préopercul e non-seulement est dentelé,
m a i s a à son angl e une forte épine qui se dirige e n arrière. On e n trouve
d a n s les parties chaudes des deux Océans, (i)
(I) N. N. NOUS RÉDTIISOI>S CE GENRE AUX
CSIIÈEES QUI RÉPONDENT À LA DÉFMITION (¡N'EN
AVAIT DONNÉE ARTEDI, SEB., III, AD TAB., XXVN,
I ; ET NOUS DONNONS COMME LUI À CE NOM
NUE TERMINAISON NEUIRE, POUR QU'ON NE LE
CONFONDE PAS AVEC LES Holocentrus DE BLOCH
ET DE LACÉPPDE , DANS LESQUELS OU A MÊLÉ
BEAUCOUP D'AUTRES ESPÈCES ET SURTOUT DES
SERRANS.
[•i) lîolocentrwn longtpinne y NOB., QUI
EST XHol. soglio, R.L., 232 ; CL SON liodianus
peiitacanlltus, OU LE Jagiiaraca DE MARGR.,
I47 ; C'EST AUSSI LE Scioena riibra, BL. SCLNI.,
CALESL)., II, LI, 2 ; ET VAmphiprion malciudo,
LIL. SRLIN., L'ARRA, XRN, 2 ;
liol. orientale, NOB«, STIB., III, XXVII, T;
/W./-«¿N/M, BENUOT., POISS. DE CT^YL.,
PI.TV;
IIol. leo, NOB., KEN-, I, XXVN, 148, TRÈS
MAUV. LIG. ;
Scioena spini fer a, FORSK ;
II0Ì. hastatumy CUV. ET YAL., LU, RJX;
Hol. diadema, LACÉP., III, TX, 3, OU
Perca pulchella, BCIMET., JOUR», ZOOL.
angl., III, IX, 3;
llol, snmmara, ON Scioena samrnara,
FORSK., OU Labre anguleux, LACCP , III,
XXN, T ;
KL LES AUTRES ESPÈRES DCCRILCS DANS NOIRE
FNIISIÈME VOLUME.
ACANTHOPTÉRYOIENS.
LES MYRIPRISTIS (Cuv. Val.)
PLANCHE 14, ßG- 2-
Ont tout l'éclat, les formes, les écailles des Holocentrums; mais leur
p r é o p e r c u l e a un doubl e rebord dentelé, et m a n q u e d'épine à son angle.
Ce genre est r emarquabl e par une vessi e natatoire divisé e n d eux , dont la
partie antérieure est b i lobée, et s'attache au crâne par d eux endroits où
il n'est fermé que d'une m emb r a n e , et qui répondent aux sacs des oreilles.
On e n trouve aussi dans les parties chaudes des deux Océans. (1)
LESBÉRYX (Cuv. Val.)
Pl. 14, fig. 3.
D i i ï è r e n t des myripristis, parce qu'ils n'ont sur le dos qu'une nageoire
peu é tendue, où l'on n e voit que quelques petites épines presque cachées
dans son bord antérieur; leurs ventrales ont jusqu' à dix rayons mous. (2)
(I) Myripristisjacobus, CUV., DESMAR ,
BIEL, CLASS, D'HIST. UNI. ;
Myr, japonicus, CUV. ET YAL., III, LVRN;
boiche, NOB., KUSSEL, IO5 ;
Myr parvidens, NOB., ID., 109 ;
LE Ltiljan hexagone^ LACT'P., IV, 2I3 ;
SOU Holocenlre Thunberg, IB., 36; ; SON
Ci'Miropome rouge, IB., 278; LE Scioena
murdjan. FORSK,, APPARLIENNCNL AUSSI À CE
GENRE. YOYEZ-CN L'BISLOIRE DANS LE TROISIÈME
VOL. DE NOTRE ICLILYOLOGIE, ET SUPPL- TURN.
YLL, P;IG 4S6 ET SUIV.
(2) Heryx decadactylus, CNV. ET YAL.,
Iir, 2Î2;
il. Unealus, IB., 22G, ET PL. LXX.
n. dvlphini, YAL. PL. 14, FIG> Â.