LES LOTTES
(LOTA. Cuv.)
(Pl. .06. iig. 3.)
. l o i j j i i e n l à deux na^'eoiri's dorsales el mie anale, des baibilloiis plus on
i i o i i i s nombreux.
U U^GVE oti MOHVË LOYOUE {OADIUY MULOA. L ). 151. P9. ;i)
De Iroisà quatre pieds de Ioujî; olivâtre dessus, aryentée dessous; les
d e u x dorsales d'égale hauteur; la niAchoire inférieure un peu plus
c o u r t e , portant un seul barbillon.
Ce poisson, aussi abondant que la morue, se cons e rve aussi aisémeni,
< l fail un article presque aussi important de pèche. (2)
L a LOTTE COMMilSE OU DE RIVIÈRE [Gadus Lola], ht. 7 0 .
(l'I. roli, fig. 3.)
L o n g u e d'un e ldeux pieds ; j a u n e , marbr é e de b run ; un seul barbillon
;iu m e n l o n ; les deux nageoires d'égale hanlt-ur. C'est le seul poisson de
c e genre qui remont e avant d.ins les eaux douces. Sa tête un peu dépi im
é e , et son corps presque cylindrique, lui doinienl un aspect particul
i e r . On estime fort sa chair, et sur tout son foie, qui est sitigulièrement
v o l u m i n e u x . (3,1
( i ) Lwnga, lituge^ "oms dt; ce
poissoii «Il divers |ia}s Jn Nord. Molvo,
coiriipiioH di: morrIuKi, a|>iili(|Ui'; ii citle
l'Sjici'c pur Cliiii k'toii.
(3} Aj. (iailus bacchus, Forstel',aji., iU.,
Selm., à3 ;
Lola don gala , Ui>>;(. lie úd., i:
('{) .\j. Cinlus iiiacii/osiis, l.i'siiiiir, Ac.,
Sc. nul., t'Iiiiail,, I, |). 83.
MAI.ACOPTltKYr.IEN.S SÏMU'.K .\niir.NS,
On pourrai! encore dislingner parmi les lottes
LES MOTELLES,
: M O ï E L L A . Cuv.)
Dont la dorsale antérieure est si peu élevée, ((u'oii a peiiie à l'apcrc
e v o i r .
La MUSTÈLE VOMMi'lVE {G. Mustfia. L.), Ul. 165, soiis le nom
lie G. Iricirrhahift.
i i r u n - f a i . v e , à laches noirâtres ; deux barbillons à la mâchoire supér
i e u r e ; nn ÌX l ' inf é r i eur e . (1)
LES BROSMES
( i m O S M l U S . Cuv,)
N ' o n t même point de première dorsale séparée, mai s une seule et longue
nageoire, qui s'élend jusque tout près de la queue.
On n ' enconna i l que dans le Nord- L'esv-ècela plus connnune (G. broswc,
C.m.) l 'enn. , IW i t . zooL, pl. 34, ne descend pas plus bas que lesOrcades.
Il parait qu'il y en a encor e en Islande une espèce pins grande. {G. luh.),
nonv. Mém. de S lockh. , w , pl. 8. (2)
T o u s ces poissons se salent et se sèt-henl.
(1) Ajoiile/. mix nioleIlfS le Gadtis cim-
/;»;c'H.sSrlin., |.l.9;oii G. quwqiiecirrhatus,
IVnn., l^rll. Zool., i>l. 33, nomnié mal ¡i
pnijiiis muslvla |iiir Rloclt el Oniel. Com-
Jini'i z aiiiisi les Mustela maciilaln e( fuscn,
l'.isso, (Ifiisièmii Ci!., p. 'iiS, ot les r.lenl'I
lupus el lafiruu Jliifiiiesipu', Ciiralt.,
II, f. 2 et 3.
( ï ) ( ) i j donne aiis.si aux hi-o-îmes, en iihisieurs
caillons, !es noms de li ligues et de
darseli. Voyez l'enn , !oe. cil. et 01a!spn,
voyage en lai., tr;id. IV., pl. 29 cl a8.