
 
		eiracùes,  brunes  cl  blaiicliâlres.  Quoiqui;  |ietilc,  on  l'esthiio  |ilus  b  Paris  
 que  la  plie,  parce  qu'elle  suppoi'le  mieux  le  Iransporl.  (I )  
 MAI.ACOPTÉRYOIENS  SUimilACHIENS.  
 LES  TURBOTS  
 r.ES  FLÉTANS  
 (HlPrOGLOSSUS.  Cuv.)  
 O i i l a v e c  les  nageoires  et  la  forme  des  plies,  les  nwlehoires  el  le  pharynx  
 armés  de  dénis  le  plus  sonvenl  fortes  et  aiguës.  Leur  forme  est  généralement  
 plus  oblongue.  
 La  mer  du  nord  en  produit  un  qui  devient  énorme,  et  atteint,  dit-on,  
 six  et  si  pl  pieds  de  longueur,  et  trois  ou  quatre  ci^nts  livres  de  poids  
 C'est  
 Le  gianil  FLÉTAU  ou  UOLISUTil'l.  llippoglossus.  L.)  Itl.  47.  
 Il  a  les  yenx  à  droite;  la  ligne  litérale  ariiuée  au-dessus  de  la  pectorale. 
   On  le  sèche,  le  sale  et  le  vend  pai-  morceaux  dans  tout  le  nord.  (2)  
 La  Méditerranée  en  a  de  plus  petits,  dont  quelques-uns,  ont  les  yeux  
 à  gauche.  
 Un  d'entre  eux  (/>/.  Macrolephlal,,!,  1!1.,  100,  on  Cilharns.  lîondel.,  
 314,  se  distingue  par  des  écailles  plus  grandes  à  proportion  iiii'.»!  auciui  
 autre.  Il  est  oblong,  e t a  la  ligne  latér,ile  ilroite.  
 ( . ) A j .  P/n/r.  planu,,  MiUliill.;  
 Plenr.  siellalus,  P.ill  ,  Mém.  di> j'Ac. de  
 tV'Iersb., m ,  X, r.  
 (a)  Les  P/.  UmiwtloïJ^s,  ïi!.,  i36,  on  
 Citkarni  oijt^^f Itondt'l,  3i5i  et  l'iit^tnif  
 l'idjL'r,  Isis,  tome  XXI,  p.  p.iraisseiil  
 aussi  des  Ilt-laiis  du  N'ord,  Aj.  Pl,tiir.  cni- 
 W',  bl.,  Scliii.,  ou  at/alah,  Uiis.d,  i,  
 69;  
 /'/. nnlaka,  N.,  ou Nor^a naiuka,  litis,  
 sel.  7-,  
 (KHOMRUS.  Cuv.)  
 Ont  aux  mâchoires  et  au  pharynx  ,  comme  les  flétans,  des  dents  en  
 velours  ou  en  carde  ; mai s  leur  dorsale  s'avance  jusque  vers  le  bord  de  a  
 mâchoire  supéricnre,  et  règne,  ainsi  que  l'anale,  jnsque  tout  près  delà  
 caudale.  La  plupart  ont  les  yeux  à  gauche.  
 Dans  les uns,  ces  yeux  sont  rapprochés,  et  leur  intervalle  a  une  crête  nn  
 peu  saillante.  Telles  sont  les  deux  grandes  espèces  de  nos  côtes,  les  plus  
 estimées  de  tout  le  genre  pleuronecte.  
 Le  TURBOT  {Pl.  maximus.  L.),  Bl.  49.  
 A  corps  rhomboïdal ,  presque  aussi  haut  que  long  ; hérissé  dncOté  brun  
 de  petits  tubercules,  et  
 La  BARBVE  {Pl. rhombus.  L.),  111.  43.  
 A  corps  plus  ovale,  sans  tubercules,  se  distinguant  en  outre  parce  que  
 les  premiers  rayons  de  sa  dorsale  sont  h moitié  libres,  et  ont  leur  extrémité  
 divisée  en  plusieurs  lanières.  
 UTARGEVR  {Pl.  pmwtatus.  lîl.  1S9),  W.  terà.  Sliaw.  Pleur,  hirtus,  
 Zool.  dan.,  pl.  103.  Kilt  (les  Anglais  ,  Peim.  ,  pl.  41  ,  Rai,  syn.  ,  pl.  1.  f-  i- 
 Duhani.,  sect,  ix,  pl.  v,  f.  4.  
 Est  beaucoup  plus  rare  sur  nos  côtes  ;  ovale  comme  la  barbue,  il  n'a  
 pas  de  lanières  à  ses  rayons.  Ses  écailles  sont  rudes  ;  ses  dents  très  (mes,  
 sa  joue  garnie  comme  d'un  velours  ras,  et  il  a  des  taches  et  des  ponits  
 noirs  sur  un  fond  brun.  (1)  
 m  if  
 i r i  • i:!  
 (i).J"ai  lieu  lie croire  que le Pl.  wiimacuialas, 
   llisso,  doiixième  éd.,  f.  35,  est une  
 variéié  du  sexe du  tarueuv.