
 
		D'aulros  oui  U\ quoue  eii  ct oiss;mt  ou  foiircliuii.  (i)  
 LES  ANAlMPSÈS  Cuv.  
 (l'I.  S; .  IIb  2.)  
 O n l l o u s l e s  caractères  des  girolles,  si  ce  n'esl  que  leurs  inidioircs  
 n'oiil  chacune  que  deux  deiils  plaies,  saillaiil  liors  île  la  bouche  el  recourbées  
 en  dehors.  
 Ou  n'en  couiiail  qu'un  ou  dcli\  de  la  uicr  des  liules.  (2)  
 LES  CRÉNILABRES,  
 (l'I-- «7.  fig. 3.)  
 Qiic  iioiis  separons  des  Inijaiis  de  liloch,  poiir  h^s  nunener  ä  leui-  vraic  
 j)lace,  Olli  tous  les  caiaclere»  iiUeiicurs  cl  cxlei  ieuis  des  labies  proprciiicntdits, 
   elnes'endistinguetil  que  par  la  denlelure  du  bord  de  lernpreopercule. 
   
 On  en  prend  quelques  uns  daiis  les  mers  du  Nord  ;  lels  que  Lutjnnus  
 (i)  Gitelles ài|ui"iie en ci'oissantcu foiii'»  
 cliiie:  Lahre¡idbvaiqne,  Lacrp.  III, xxix, 3;  
 Laims  hifasdalus,  Bl., 283  j  
 L. lunaris, L , Cruu,, Mus., 11, vi, 2, cop,  
 Eiicj'cl.,  iy6  ;  
 L. luiiaiis, ri., 281,  qui  csl différenl. el  
 pourrait nictne n'èire  qu'un  individu  allere  
 tie ia gireHe  tuvquc;  
 !..  •viridis,  151.,  'iSa;  
 L.  hrasiUcnsis,  Bl.. aSo ;  
 Juliscoeriilco-ccphnltis, N., an  Girelle Dupi 
 rrcy, Voyjige  de Freycin.,  Zuol.,  |il.,  f.  
 33 J  ;  
 L.  argenté, Lac.,III,  xviu.  
 N.  Ii.  Lc  Scarits gallus  de  Forslial  esl  
 pr(il)al)lt'i;iciil  Je nièmt; que le Lah. lunaris.  
 (•i)  Lahrus tvlrodon,  151. Selm.,  26};  
 ÀnampsFS  Cuvicrt,  Qnoy  el Oiiimai'd,  
 Voyage  de  Freycin.,  Zool., pl.  1 v,  i'.  1,  
 ACANTllOPTl'UYOIENS.  190  
 rupeslHs,  H!.  250;  fauve  h  bandes  nuageuses,  verlicales;  noirAtres.  
 Lut.  I^orvcgicns,  kl.  256;  brunâtre,  laclielé  et  marbré  irrégulièrement  
 de  brun  foncé;  Lahr.  Meloj>s-,  orangé,  tachele  de  bleu  ;  une  tache  noire  
 derrière  l'oeil,  pl.  xxi,  fig.  i;  L'ibr.  cxoletus  ou  L.  jìaUoni  Ac  Risso,  
 remarquable  par  les  cinq  épines  de  son  anale.  (I)  
 La  Médilcrranée  en  fournit  un  grand  nombre  des  plus  jolies  couleurs,  
 dont  le  plus  beau  est  le/.air.  iainna,  Forsk-,  argenté,  à  trois  larges  
 bandes  longitudinales,  formées  de  points  vermillons;  les  pectorales  
 jaunes,  les  ventrales  bleues  ,  etc.  (2).  Il  y  en  a  aussi  beaucoup  dans  les  
 mers  des  pays  chauds  (3), et  ])lusieurs  espèces,  laissées  jusqu'à  présent  
 parmi  les  lal)rcs,  doivent  encore  être  ramenées  ici.  
 r . E S  SUBLETS  
 (COUICUS.  Cuv.)  
 (l»l. 88,  fig.  I.)  
 Joignent  aux  caraclêres  des  crénilabres  ,  celui  d'une  bouche  presque  
 aussi  protractile  que  celle  des  filons.  
 (i)  A.  IMI). gil'bus, Penn.,  xi.vi,  copie  
 Lncycl.;4o3;  
 Lutj.virescfns,'ï^{.,75k-,  >- 
 (a)  M.  Risso t-n a décrit  plnsicnrs  dans  
 sa première  édilion, sinis le  iiuni  de  Luijaiis; 
   dans  la  seconde,  il  a  adoplc  noire  
 ijenre  cRÉtiiLAbRE, et  il  en  perle  le  nombre  
 à viiijit-luiil ;  mais  une  |.arlie  do  ses  
 espèces  renlrenl  les  unes ilans lesaiilres, ri  
 sa sjimnyir.ie  est  quelqnelois  lia.sarilée.  ]|  
 j  aura  lion de  comparer  ses  espcoos  a\ec  
 celles de  r.rnnnicli,  de  Bloeh,  elc.  lnbr.  
 Vf/iofiis, r.riinn.,;  
 Ln/ir. fusait,  lïriinn. j  
 f^nl'r, iinimaculaltis,  llrnnn.;  
 iMij.  ro^traiiis, Bl.,  254,2,  pi'Ul-clrele  
 Cr. liuca, Ri.ssii;  
 Lahr. Ò^maculatus, 151., 291,  2,c.>it  le  
 Civinl.  Roissaì, Risso;  
 Liifj.  Indens, Hi.,  aSi,  
 Labr. mcditerraueus, l'rnim  ;  
 Lahr,  rubens,  Tìriinii.;  
 Ltdir. l'ofo,  Priinn;  
 Labr.  spalaU/isìs, Br  ;  
 La/>r.  tinca, hr. ;  
 Lobr.  oce/hitiis,  Forsk.,  on oVu-accus,  
 r.ninn.,  de.  
 Nous  devons mcllre  cn  Icle  le  l.ul~  
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