i ' - i POISSONS.
lolale. Sa dorsale esl plus avancn', son anale plus longue cl appi ocîiaiil
davantage do la caudale. C'est un très polii jioisson de la plus belle
c o u l e u r d'argent, avec uue petite lâche noire sur lo bout du museau, (l)
L e l'ILCUAÎiD (les Anglai s , ou le CÈLMS ilc nos eûtes [Ciupco piichardu-i.
lit. 400), et n)icii\ Will. pl. I, 1'. 1,
A-peu-près de la taille dti hareng, a les écailles plus grandes ; le subo
p c r c u l e coupé carrémenl ; des stries on rayons au préoperenle, et sxu'-
tout à Fopercule; sa téte est p lus courte, à p ropor t ion, qu'au hareng, et
sa dorsal e plus avancée : e n sorlc que la dislance du museau à la dorsale
n ' a t t e i n d r a i t pas la caudale. Les venh aies tialssent sous la iin de la dorsale.
Son anal e a dix-huit rayons; deux écailles |ihis longues se portent
do chaque còle sur sa caudale. Il se pèche plus tòt que le h a r e n g , et surtout
sur la còte ouest de l'Angleterre.
L a SARDUSE {Clupea sardina. N.), Diiliani. sccl. 111. |il. x v i . f. 4.
(Pl. m.',. Cf.. 2.)
Est tel lement semblable au pilchard, que nous ne lui trouvons de
diiFérence que dans sa taille moindre. C'est le poisson célèbj-e par l'extrême
délicatesse de son goiH, dont on fait des pèches si abondantes sur
les côtes de Bretagne. On en p r e n d aussi beaucoup dans la Méditerranée,
où le hareng n'est pas connu. (2)
(i) Espèces voisines de la blauquelte palles
formes: le CaUleu, Diihain., secl. Iir,
pl. xxxr, f. 3 [Cl. clupeola, N.);
L a Sardine de la Martinique (C/. humeralis,
?i.), Duham-, ib., f 4;
Cl. melannra, N., Lacép., V, xi, 3,
sous le nom de Clupanodon JtKsiett, mais
la descriplion se nipporlcà la fii:. xi, 3,
nommc'e variété du ctnpanodon chinois.
CL covai, N., Kuss., i86, elc,
(2) On pourrait encore séparer des harengs
proprement dits le Jangarloo, Russ
e l , igi , on Clupea mclastoma. Selm.; et
son Dkchcec, 192, (¡ni oui la dorsale pins
en arrière que Ins veutrnìes el une lougne
a II il le.
MAI.ACOI'IKIVYGIKNS ABDOMINAUX.
iiäj
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t . : •
I.KS ALOSES
(ALOSA. iN.)
,Sc ai^l ingu.ul l.a.cnss piopicncnl cl.ls L,„C cd.ancrure an
, „ | | ¡ „ „ de la ,nàc.l>oi.-c supóricure. Klks o d ' , c l du «.slo luus 1.-S c a r a c l u c .
des ]iilcharJs f t des saidines.
\:,U.OSE |,ro|.rcmci.l Jilc (Cl. alom. I..1, Duliam. secL LU. pl. 1. I. i.
Q„i devient beaucoup plusg.aude et plus épaisse que le Uareng, et
„ t e i u t jusqu'à foi s pieds de longueur, se distingue l-'.
dents sensibles et pa,- une taehe inéguliiee noue, dernere les orne.
E l l e , en,out c au p. lnteu.ps dans les .-iviè, es, cl est alors un excel eut
n,an..e,- Quand on la prend en urer, clic est sèche et de mauvais goût.
iii'
• MO
, a m t ! ' . Cl,nn.„ /h,la. Cl. f cU, . l-ac.), v m i l des Hau, au, I s , .WO.^r.
,1c l,„mhar.lit, UCIIU , .IhACIII.I, d l lal io, elc:.
Est plus allongée <,ue l'alose, et a des dénis très marquées aux den,
n.ilehoires, et einq ou six taebes uo.res le long du liane. On la retrouve
jusque dans le ISll. So.i goùl est de beaucoup ni teneur. (1)
(i)Hloeh., pi. 3o, ne douuii sous Ic uom
il alose (pi'nne Finfc, doul le Ints veiKre
(jlait depoiiiilc de ses miilles.
Aj. CL vcrnalis, Milcli., V, y ;
CI. aistivalls, id., V. (i;
Cl. menhaden, id., V, 7 ;
Cl. ma(o\val<a, id., V, 8 ;
d. pahtsalc, N , Kussel, ;
(Y./'t/tr, id., iy'>; Cl'ipano:loii
Hainill. Knchanau, XIX, 78;
Chipan, champóle, If. Rncli., XVlll,
94 ; et ses autres espèces, p. aA^-sSi.
Les genres I-OMOLODUS , DOROSOMA, NOTEMiüotf(
Js de M. Kafmesqnc (Poiss. úil'Üliio)
doivent se rapprocher plus ou
moins des aloses, et maïuincni de dents -,
mais nous ue les connaissons pas assez bien
poiu- les jilacer déiiuilivemenl.