fut repoussée plus tard vers le cercle
polaire par des peuplades de la race
Germanique, et voyageant sur des glaçons
comme les a Ours blancs de leur
climat polaire, ou sur des traîneaux,
le long des cô te s , quand leur patrie
se rattacha au continent asiatique, elle
s’étendit jusque dans l ’autre hémisphère.
Une terre immense , l’Asie centrale,
avait du paraître dès avant le continent
Japétique, et l’île Hyperboréenne.
De grands lacs intérieurs, dont quelques
uns, très diminués, subsistent
encore, et dont les plus vastes sont représentés
par des déserts salés, inhabitables,
y durent demeurer interceptés.
L ’enchaînement de ces la c s , ou plutôt
de ces mers intérieures, y intercepta
de même trois espèces d’Hommes abo-
L HOMME . jnJr
ligènes. Des racines de l’Altaï et du
13élour descendirent, vers le N o rd ,
avec la L en a , la Jeniseï et L ’Obi, et
vers 1 Ouest avec le Sarasus et le Dgi-
houm, les Hommes de l’espèce S cythi-
qu e , n° 4 » Du petit et du grand Thibet
séparés du 1 Altaï par la mer aujour-
d hui devenue le Shamo, les Hindous,
n° 3 ; et les Siniques, n° 5 , s’étendirent
sur les pentes, méridionales de l’A sie
naissante, o ù , sur les rivages accrus,
1 une e t l autre espèce se trouvèrent en
contact avec les Neptuniens Malais,
n ° 7 a ? à mesure que, la diminution des
mers incorporant au continent les îles
dont ces derniers étaient les autochtones
, la terre prenait la figure qu elle
présente de nos jours.
G est encore un fait avéré et que
nous pensons avoir démontré dans