des Zoopermes dont les uns ont nié
l’existence, tandis que d’autres voulaient
y voir les embryons vivans d’un
être futur. Dans une sorte de monstruosité
, des écrivains trouvèrent
une perfection qui plaçait la pudeur
dans la conformation même des demi-
brutes de l’Afrique méridionale , tandis
que certains observateurs soutenaient
que sous tous les rapports, les
Hottentotes étaient faites comme nos
Européennes : les uns et les autres
se trompaient.
Jusqu’à la nubilité les Femelles de
quelques races appartenant à Fespèce
qui nous occupe ne diffèrent guère
des autres Femmes par la conformation
de leurs parties secrètes. Mais
ensuite il arrive aux nymphes la
même chose qu au sein où vient af-
Huer une surabondance de graisse liquide
contenue entre les lames du
tissu cellulaire que cette graisse écarte.
Vaillant, en considérant l’extrême longueur
de ces parties difformes, a cru
que les Hottentotes contribuaient à
leur allongement en tirant continuellement
avec les doigts les grandes lèvres,
et Peron a fort longuement disserté
à ce sujet sans résoudre un problème
dont Cuvier a trouvé la solution
en disséquant tout simplement cette
femme du Cap, renommée par son
affi ■euse laideur, et qu’on montra
comme une curiosité aux Parisiens
sous le nom de Vénus Hottentote. Il
est résulté de l’examen qu’on a fait de
cette hideuse créature, qu’il n’y a rien
de plus extraordinaire dans les parties
de la génération de ses pareilles que