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 Le BRUANT  DES HAIES  (Emb.  cirlus.  Lin.), Enl.  653.  Naum.  102.  3.  4.  
 Pl. 33,  fig.  1.  
 A la  gorge  noire, les côtés  de  la  tête  jaune.  Niche  dans  les taillis  au  
 bord  des champs,  (l)  
 Le BRUANT  DES  ROSBAUX  {Emb.  schoeniclus,  Lin.),  Enl.  247. 2.  
 Naum.  105.  
 A sur  la  tête une  calotte  noire,  des  taches  de  même  couleur  sur  la  
 poitrine,  et  le  dos  roux.  Niche  aux  pieds  des  buissons,  le long  des  
 eaux,  etc.  (2)  
 Le plus  grande  espèce de  ce  pays-ci  est  
 Le PROYER  (Emb.  miliaria.  Lin.),  Enl. 233. Naum.  101.  1.  
 Pl.  33,  fig.  a  a, b.  
 Gris-brun,  tacheté partout  de brun  foncé. Il niche  dans l'herbe, le  blé.  
 Le plus  célèbre, par  la  saveur  de  sa  chair,  est  
 L'ORTOLAN (Emb.  horlulana.  L.), Enl. 247.  1. Naum.  103.  
 A  dos  brun-olivâtre,  à  gorge jaunâtre,  les deux  plumes  externes  de  
 la queue  blanches en  dedans. Niche  dans les  haies ; est commun  et  très  
 gras  en  automne.  (3)  
 ( 1 )  On y rapporte aussi Y Emb.  passerina;  
 et  peut-être  les  Emb.  provinéialis,  énl.  
 656,  1,  et  lesbia,  ib.f  a,  n'en  sont-elles  
 que des variétés  accidentelles.  Voyez  Roux,  
 p.  176  et  178.  
 '(2)  M. Wolf  croit devoir y réunir  Y Emb.  
 chlorocephala  et  Y Emb.  badensis.  
 (3) VEmb.  melbensis,  Sparm. Mus. Caris.,  
 i ,  ai ;  n'est qu'un jeune  ortolan.  ...  
 Après  tous  les doubles emplois que  nous  
 PASSEREAUX.  145.  
 Le sud. de l'Europe voit  aussi  quelquefois  
 Le BRUANT  A  TÊTE  NOIRE  (Emb.  melanocephala.  Scop.),  Naum.  101. 2.  
 — Fring.  crocea.  Vieill., Ois.,  tab.  27.  
 Fauve  dessus, jaune  dessous ;  à tôle  noire.  
 Et  le  BRUANT DES  PINS  (Emb.  pithyornis.  Pali.), Naum.  104.  3.  
 A gorge et  un trait  au côté de la tète, d'un  roux  marron.  
 M. Meyer  distingue  sous  le  nom  de  plectrophanes  ,  les  bruans  qui  
 ont l'ongle  du pouce  allongé  comme  les alouettes.  
 avons signalés, il  faut encore  éloigner  de ce  
 genre  Y Emb.  brumalis,  qui  est  le  même oiseau  
 que  Fring.  citrinella,  en.  658.  a ;  
 E.  rubra,  le même que Fringill.  erythrocephala, 
   *enl. 665,  1,  a ;  
 Toutes  les  veuves,  comme je  dirai  cidessous; 
   
 Emb.  quadricolor,  enl.  101,  a;  
 Emb.  cyanopis,  Briss.  III, pl .vm, f ig.  4.  
 Emb.  coerulea.  id. ib.,  XIV,  a,  le  même  
 que cyonella,  Sparm.  Caris. Il,  4?>  43,  qui  
 sont  trois loxia  ;  
 Emb.que/ea,  enl. a a 3 ,1  ;  
 Emb.  capcnsis,  enl.  i58  et  564  ;  
 Emb.  borbonica,  eul.  3a t,  a ;  
 Emb.  brasiliensis,  ib.,  1, qui sont  quatre  
 moineaux  ;  
 Emb.  iris,  enl.  158,  qui est  une  linotte  ;  
 Enfin Emb.  oryzivora,  enl.  388, qui  a  le  
 bec des  linottes,  sans  compter  les  espèces  
 que je  u'ai  pu  examiner.  
 Mais il  faut vraiment placer dans le  genre  
 des bruans : le  Br. commandeur  (Emb.  gtibernator, 
   T.,  col. 63).  le même  que  le  Br.  
 huppé  (Emb.  cristatella,  Vieil.,  Gai.  67);  
 Emb.  striolata,  Huppel. Av.,  pl.  ro,  a ;  
 Emb.  coesia,  id.  ib.,  6 ; les  Tahagra  cristatella. 
   
 Gramínea,  
 RuficolUs, Spix, 53,sont  aussi des bruans.  
 Les embérîzoïdes,  Te m . ,  col.  114,  paraissent  
 des bruans à  queue  longue  et  élagée  
 et  dont  le  bec se rapproche  un  peu  de  
 celui des  moineaux.  
 Les  emdbrizoïdes  de Tem.  sont  devenus  
 les TAR01V01.A de M.  Swîiinsou.