188 OISEAUX.
Dans quelques-uns les deux pennes du milieu sont plus allongées dans
le mâle. (1) .
Òn peut distinguer encore ceux dont le bec est droit, ou à-peuprès.
(2)
LES ARACHNOTHÈRES, Tem.
Pl. 42, fig. 6.
Ont le bec long et arqué des souï-mangas, mais plus fort, sans dentelure;
C. caffim Edw., 347 ';
' C. superba, Vieilt., 22 ;
C. lotenia, enl. 2 et 3 ; Vieill., 84 ;
Amelystina, "Vìeill., 5 et 6 ;
Chalybcea, enl. 246, 3; Vieill., 10,
i3, 18, 24, 34, 80 ;
• Omnicolov, Seb. I, -69, 5 ;
Cuprea, Vieill., 23 ;
' Purpurata, Edw., 265; Vieill., f i ;
Cyanocephala, Vidlt¿, 7 ;
• 1 Zeilonica, enl. $76, 4; Vieill., 29, 3o;
Duina, Vieill., 81 ;
Senegalensìs (a), Vieil., 8 ;
Sperata', enl. 246. 1 ,2; Vieill., 16,
82, dont lepida, Spam., 35, est la fémelle;
Madagascariensis, Vieill., 18 ;
Curruca ria, enl. 576, 3 ; Vieill., 3i ,
Rubro-fusca, Vieill., 27 ;
Fuliginosa, Vieill., 20;
Maculata, Vieill., 21 ;
Venusta, Vieill., 79 ;
Gutturalis, enl., 578, 3;
Nectarinia solaris, Temiti., col. 341, 3;
Esimia, T., cól-. i3S, r, « ;
Pectóralis, id., cól. i38, 3 ;
Lepida, Lalli., eoi. 126, 1, Vieill., gal.
I H
Masselli, T., col. 376, 3 ;
Goccinogaster, T., col. 388, 3 ;
Cimi, eaues, Less. et Garn. Voy. ile la
Coquille, pi. xxxi, f. 1.
Jdvanica. Zool. ili., 121.
' Oiseaux dont quelques-uus ne sont probablement
que des variétés les uns des
autres.
~-"[i) Ceithia famosa, L., enl. 83, 1 ;
C. pule/iella, eul. 670» 1;
C. violàcea, ÈNL. 670, 24-
Le Sucrier cardinalì Vaili., Afr. 291;
Le sucrier figuier, id., 293, f. 2 ;
Nectarinia metallica, Liclit., Ruppel.,
pi. vii, et col. 347, 1 ;
Ned. mystacalis, T., col: 126,, 3
N. Kuklii, T., col. 376, 1, 2.
(2) Cinnyris elegans, Vieill., gal. 177 j
òii Ccrth. rectirostris, id., t)is. dor., II,
(«) l'I. 42, fig. 5.
PASSEREAUX. 189
leur langue est courte eL cartilagineuse; on n'en connaît que de l'archipcl
des Indes, qui vivent d'araignées. (D '
LES COLIBRIS.
. ÎTROCniLUS. L.)
Planche
Ces pet i ts.oiseaux, si c é l èbi e s par l'éclat métal l ique de leur
p l u m a g e , et surtout par les plaques aussi brillantes que des
p i e r r e s p r é c i eus e s q u e f o rment à l eur gorge o u sur leur tête des
p l u m e s écailleuses d'une structure particulière, ont un bec
l o n g et grêle, renfermant une langue qui s'.allonge presque
c o m m e celle des p ics et par un mécanisme analogue, et q u i se
d i v i s e presque jusqu' à sa b a s e en d e u x filets, que l 'oiseau emp
l o i e , dit-on, à suc e r le nectar des fleurs. Cependant les colib
r i s v i v ent aussi d e pet i t s insectes , et n o u s en avons t rouvé leur
• ( r) A radino thera longi rosira (a), Temm.,
col. 84,. 1 ; ."
Arachn. inornata, id,, ib., 2.
N. B. Après toutes ces distinctions, il
faut encore éloigner du grand genre CERTHIAJ
les C. lunata, Vieill., 61 ;
C. Novoe-HolUindioe, J. Wliite New.,
S. W., pl. xvi et LXV; Vieill., 57 et 71 ;
C. australasiana, Vieill., 55 ;
C. carunculata, Vieill., 69, 70 ;
G. auriculata, Vieill., 85;
C. cocincinica, eid. 643, Vieill. 77, 7S ;
G. spiza, enl. 578, 2, Edw., ¿5 ;
C. seniculuS, Vieill. 5o ;
C. graculina, Vieill., 871
C. goruch, Vieill., S8 ;
C. coerulea, Vieill., S3 ;
C. xanthotis, Vieill., 84 ;
C, mellivora, Vieill. 86, qui sont tous
des PHILÉDONS par leur bec échancré, et
leur langue en pinceau.
(a) PL 42, fig. 6.