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q u ' a u x autres per roquets. Elles marchent à terre, el cherchent leur nourr
i t u r e dans les herbes.
On place communément parmi les grimpeurs deux
oiseaux d'Afrique très voisins l'un de l'autre, qui me
paraissent avoir aussi quelque analogie avec les gallinacés
et nommément avec le genre des hoccos.
Ils ont les ailes et la queue des hoccos, et se tiennent,
comme eux, sur les arbres; leur bec est court et la
mandibule supérieure bombée; leurs pieds ont une
courte membrane entre les doigts de devant ; mais il est
vrai que le doigt externe se dirige souvent en arrière
comme celui des chouettes. Leurs narines sont aussi
simplement percées dans la corne du bec, les bords
des mandibules sont dentelés, et le sternum (au moins
celui du touraco) n'a pas ces grandes échancrures ordinaires
dans les gallinacés.
(r) t's. formosus {a), Vaill., I. Sll., Caris., aS ;
Mise., 228 ; Ps. conmlus, Lath., Svn. Suppl. III.
Ps. Nova - Zelandioe, Lath. , Mus. pl. vin.
,(it) Pl. 56.%. 4. S.
GRIMPEURS.
Ces oiseaux, dont oh a fait deux genres, sont :
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LES TOURACOS,
' (COIIVTHAIX. llijj.) (l)
- '- ••
Dont le bec ne remonte pas sur le front, et dont la tête
est garnie d'une huppe qui peut se redresser.
L'espèce la plus commune
(CUÇULVS PERSA, Lin.), Enl. 601, Vaill., Proro., elc., 16 el n ,
Pl.Jlv c8 . i .
H a b i t e aux environs du Cap, est d'un beau vert, avec une partie des
p e n n e s des ailes cramoisi. Elle niche dans des trous d'arbres, et se
n o u r r i t de frui ts. t2)
LES MUSOPHAGES,
( m u s o p h a g a . ïsert.)
pi. 57, fig. 2.
Ainsi nommés parce qu'ils vivent surtout du fruit du ba-
(t) M. Vieillot a changé ce nom en opoetlius.
.
(al Ajoutez le Touraco -géant, Vaill.,
promér. et guép., pl. 19 ;
Le Touraco Pauline, Temm., col. 23,
OISEAUX.
ou Opoetkus, erj'throlophus, Vieill., galer.
49»
Le Touraco brun (Pkasianus afrlcanus,
Lath.), Vaill., 20, ou Musophagc 'Varie,
Vieil., galer. 4g.
B