OISEAUX.
en u„ tube couché sur le dos de la mandibule supérieure;'
leurs pieds „ont, a u l leu d e ^ MN .
dans le talon. Ce sont, de tous les palmipèdes, ceux qui .se
tiennent le plus constamment éloignés des terres :'aussi, quand
une tempête approche, sont-ils souvent obligés d« chercher
un refuge sur les écueils et sur les vaisseaux, ce qui leur a valu
e nom d Oiseau de tempête : celui de Pétrel (petit Pierréfeur
Vient de 1 habitude de marcher sur l'eau, en s'aida,H de
eurs ailes. Ils font leurs nids dans les trous des rochers, e,"
lancent sur ceux qui l e s attaquent un suc huileux, dont il
paraît qtiils ont toujours l'estomac rempli. Le plus grand
nombre des espèces habite les mers du côté du pôle antarctique.
< 1
Buianct3ioule iHntérieBure esSt tronBq uée. B i W K Ê - u x dont I
H . « , , . 4 ^ - , .
t a plua graBde espèce , H U H — I „,., —
i o , (PROFIT. „ „ „ , * , ( „ ) , Gm.), Lath., S.vn. III., pl. 10„ , ,,.h a b j t e 1 1
les mers australes, et surpasse M e en grandeur. Son p l u m ^
noirâtre..]! y en a des Variétés plus ou moins blanches.
On trouve dans les mêmes mers
L , PÉTREL DU GAP , PISTADO, ETC. yirae, cipatsitijl -
"Enl. 904.
•• fig. ,. a i - ..
I M B S B i o-rd, tacheté en dessus de noir et de blanc,
blanc en dessous. Les navigateurs en parlent souvent.
Nous voyons quelquefois sur nos côtes
Le PÉTREL GRIS-BLAWÙ, on FULUAR, PÉTREL DE SAWf-KLLDA '
• IP r o c . glaciatis), Enl. 59. Bri|. MM., pl. M, 1.1.
Blanc, à manteau cendré, à bec et pied¿jaunes, de la M i e d'un g,»s
PALMIPÈDES.
canard. Il niche sur les côtes escarpées des iles britanniques et de tout
le nord.
Certaines espèces, petites, à bec un peu plus court, à jambes un peu
plus hautes, à plumage noir (les thaussidkoma, Vigors) sont surtout
connues des marins sous le nom d'Oiseaux de tempête.
La plus commune (Proe. pelagioa), Br ss., VI, m i , I ; Wils., Am., VII,
i j x , 6 ; Edw., 90, n'est guère plus grande qu'une alouette, haute sutjambes.
toute brune, hors le croupion qui est blanc, et un trait blanc sur
le bout des grandes couvertures de l'aile. Quand elle cherche un abri sillies
vaisseaux, c'est un signe d'ouragan. (2)
Nous séparons, avec Brisson, sous le nom
DE PUFFINS
(ÎTJFFINUS), (3)
M. 91, fig. 3.
Ceux où le bout de la mandibule inférieure se recourbe vers le bas avec
celui de la supérieure, et où les narines, quoique tubuleuses, s'ouvrent,
non point par un orifice commun, mais par deux, trous distincts. Leur bec
est plus allongé à proportion.
. Le PUFFIN CEl\DRÊ (Proc p>tffinus. G m.),, Enl. 90S.
Pl. 91, fig. 3.
Est cendré dessus, blanchâtre dessous, et a les ailes et la queue
noirâtres ; le jeune est plus fonCé. Sa taille est celle d'un corbeau. On le
trouve dans presque toutes les mers. (4)
.--, (i) Ajoutez le Petrel hartie, Temm.,
col. 416;
"Le Petrel Bérard, Freycin., 3.7 ;
Proc. cinerea, Làtli. ;
Proc. désola ta, id. :
Proc. turtur, Fors t.
(2) La fig. enl. 99$ est une espèce très
voisine des mers du Sud (Proc. oceaniça,
Forst.|
Ajoutez Procell. Leachii, Temm., Ac.
de Phil., VI, pl. 9, f. i ;
Proc. Wihonti, Chl I'.ortap. 5 Wils.,
Am., VII, xxx, 6, Id., Ac. dé phil., VI,
pl.-9, f. 2 ;
Proc. fregatta, Lath., Rochef., Autill.,
p. i5a ;
Proc. marina, Viêill., gai. 292. .
(3) Puffin, nom de notre 2e espèce, sur
les côtes d'Ecosse.
(4) Ajoutez Procell. obscura, Vieill., gai.
3oi ;
.Et Proc. pacifica ou fuliginosa, Whitc,
2 52, qui n'est peut-être pas différent du
Procell. cequinoctialis, Edw., 89.