
— Elles ont un tronc principal ¿1 l’exception d’une seule espèce,
et chacune de leurs ramifications est terminée par un cil. — Leur
organisation ne diflere pas entièrement de celle des autres
conièrves. — On les rencontre à peu près toute l’année. — •
Reclrerches sur leur mode de reproduction.— Les germes sont
de petits grains blanchâtres répandus sur toute la plante, — -
Ces grains ont été originairement des anneaux. — Comment
se développent-ils ? — ■ Tous les anneaux fournissent-ils des
germes ? — Usages auxquels pourraient être destinés les cils
qui terminent les rameaux. — Les grains reproducteurs se
découvrent à la vue simple. — Les espèces de batrachospermes
sont adhérentes aux pierres des ruisseaux. — Depuis la page
104 â 1a page 112.
E S P È C E S D E C E G E N R E .
P R E M I E R O R D R E .
B a t r a c h o s p e r m e s r a m i f i è e i .
i". B a t r a c h o s p e rm e à collier.
■s.’ -------------------------en plume.
3- ° -------------------------en houppe.
S E C O N D O R D R E .
B a t r a c h o s p e r m e s a m a m e l o n s '.
4 ' B a t r a c h o s p e rm e fasciculée.
f - ------------------------ pelotonnée.
Depuis la page 104 jusqu’à la 11 g.
r a i s o n n e e . 2yy
S I X I È M E F A M I L L E .
P r o l i f è r e s .
F a m i l l e des Prolifères. — Pourquoi les conferves de cette
famille ont reçu'ce nom. — Leur mode de reproduction n’est
pas rare parmi les végétaux. ■— Les prolifères n’ont rien de
remarquable au premier coup-d’oeil. — Elles sont simples. —
Leurs filets sont très-allongés. — Comment se forment les bourrelets
qui les reproduisent et les filets qui en sortent. — Nouvelle
manière de se reproduire propre à la conferva rivularis de
Linné. — Il ne faut pas confondre les conferves qui se multiplient
par bourrelets avec les conferves parasites. — La même
conferve peut être prolifère et donner naissance à des parasites.
■— Ces conferves parasites forment une branche nouvelle de
la science. — Caractères qui distinguent les filets d’une conferve
parasite de ceux d’une conferve prolifère. —■ On peut lever
toute équivoque par fobservation. — Exemple de conferve parasite
développée sur la conferva glomerata de Linné. — Les couves
prolifères peuvent elles-m êm es être parasites. — Ouelle
idée on doit se former de la multiplication par bourrelets. —
Il n’y pas de différence essentielle entre les reproductions par
bourrelets et celles qui ont lieu au moyen d’un germe. — 11
n’est pas facile de découvrir le germe dans le bourrelet. — Il fest
encore moins de voir dans les prolifères les organes sexuels
qui appartiennent aux autres végétaux. — Raisons pour lesquelles
j’ai donné moins d’attention à ce genre qu’aux précédens.
'— Mais j’ai rendu un compte fidèle de ce que j’ai vu. — Les
espèces de ce genre ne sont pas toutes nouvelles. — Depuis la
page 118 jusqu’à la 129,
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