cet ébranlement dans tout le fyftème
fenfible.' Vol. V I I , t i .
Sensibilité ( la ) naturelle eft peut-
être plus (tire , mais toujours moins
grande que la fenfibilité acquife.
Vol. VI I , 9.
S e n t im e n t . Effets du fenriment
dans les êtres animés. Vol. V , 185.
En quoi confifte fon effence. Vol.
V I I , 1 1 .
Serpens. Pourquoi les ferpens font
moins ftupides que les poiflons.
Vol. I I I , 3 6 1 .
S e r v a l , nom que les Portugais
de l'Inde ont donné à un animal
fauvage & féroce, qui eft plus gros
que le chat fauvage, & un peu plus
petit que la civette---- Defcription
de cet animal, fon naturel, f i ■ férocité;
là légèreté , &c. Vol. X I I I ,
233 & 234. Le ferval nous paroît
être le même animal que le chat-
tigre du Sénégal & le chat - tigre
du cap de Bonne-efpérance, il eft
aufll' le même que celui qui a été
décrit par M.” de l’Académie des
Sciences, fous le nom de Chat-pard.
Ibid. 2,3 5.
Sexes. Les parties fexuelles, c’eft-
à-dire du mâle & de la femelle, ne
font au fond que les mêmes organes
plus ou moins développés. Vol. I I ,
347-
Sibérie. Raifon pourquoi la Sibérie
eft plus froide que les autres régions
du Nord de l ’ancien continent, fous
la même latitude. Vol. 1, 3 70 .
SlFAC de Madagafcar, paroît être le
même animal que le doue. PW.X IV ,
299 & 3 00.
S j j u j a F o r ç a r i a d’Ariftote.
Voyei Babouin. Vol. XIV, 5.
Simple, ce que l ’on doit entendre
par le fimple & par le compofé.
Vol. I I , 2 1 ü “ fuiv. Nous prenons
par-tout l’abftrait pour le fimple ,
& le réel pour le compofé ; dans
la Nature au contraire , l’abftrait
n’exifte point, rien n’eft fimple &
tout eft compofé. Ibid. 22.
Singe , eft un nom générique qu’on
a appliqué à un grand nombre d'ci-
pèces très-différentes entr'elles. Vol.
I X , 9 3 . Le finge proprement dit
appartient à l’ancien continent & ne
fe trouve point dans le nouveau.
Ibid. 9 4 . Les finges fans queue
appartiennent tous à l’ancien continent
& ne fe trouvent point dans
le nouveau. Ibid. Toutes les efpèces
de finges de l’ancien continent ne
fe trouvent point dans le nouveau,
& réciproquement toutes celles du
nouveau continent ne fe trouvent
point dans l’ancien. Ibid. 9 j . Naturel
des finges en général. Vol. X I,
3. Pourquoi le finge eft fupérieur
par l ’adreffe aux autres animaux.
' Vol. X I , 3. Naturel du finge, défauts
réels & perfections apparentes de cet
' animal. Ibid. 3 & 4. On a entaffé
fous le même nom de finges une
multitude d’animaux d’efpèce très-
différente ; définition des animaux
auxquels on doit donner le nom de
finge. J ’appelle finge un animal fins
queue , dont la face eft aplatie ,
dont les dents, les mains, les doigts
& les ongles refîêmblent à ceux de
l ’homme, & qui comme lui marche
debout fur fes deux pieds. Vol.
X I V , 2. Les Anciens n’en con-
noifîoient qu’une feule efpèce, les.
Grecs l ’appeloient Pithecos St les
Latins Simia.........C e pitheque eft
très - reflêmblant à l’homme tant à
l ’intérieur qu’à l’extérieur, mais il
eft beaucoup plus petit. Ibid. 2 &
3 . Efpèce de finge appelé Orang-
outang (homme fauvage); il eft
aufllhaut,aufll fort que l ’homme...
il eft aufll ardent pour les femmes
que pour fes femelles ; il reflèmble
prefqu’entièrement à l ’homme. Ibid.
3. Il n’y a que trois efpèces d’animaux
auxquels on doive donner le
nom de finge, fâvoir l ’orang - ou-
tang, le pitheque & le gib b on , &
cette dernière efpèce paroît être
monftrueufe. Ibid. 3 & 4.
Singes. Ordre dans lequel on doit
les ranger. Vol. X IV , 7 . D e dix-fept
efpèces auxquelles on peut réduire
tous ces animaux dans l’ancien continent,
auxquels on a donné le nom
commun de finges, St de douze ou
treize efpèces auxquelles on a transféré
ce même nom dans le nouveau
continent, aucune n’eft la même
ni ne fe trouve également dans les
deux continens. Vol. X I V , 13.
Caraélères généraux & particuliers
qui féparent les finges, les babouins
& les guenons des fâpajous & des
fagoins ; le premier eft d ’avoir les
fefîès pelées & des. cailofités à ces
parties ; le fécond eft d’avoir des
abajoues, c ’eft-à-dire des poches au
bas des joues, où ils peuvent garder
leursalimens; le troifième eft d’avoir
la cloifon des narines étroite, & le
quatrième eft d’avoir les narines
ouvertes au-deflous du nez comme
celles de l’homme. Ibid. 14 . Tous
les animaux de l ’un & de l’autre
continent auxquels on a donné le
nom commun de finge, peuvent fe
réduire à trente efpèces avec plu-
fieurs variétés. Ibid. 1 6. En difle-
quant le f inge, on peut donner
l ’anatomie de l’homme. Ibid. 28.
Raifons pour lefquelles on voudrait
fe perfuader que f’efpèce du finge
pourroit être la même que celle de
l’homme ; réponfes à ces raifons par
d’autres raifons plus fortes. Ibid. 3 1
ë ë lii