propres & particuliers a 1 ancien :
énumération de ces genres & de
cesefpècesifolées. V ol X IV , 35^
«y fuiv. Les animaux propres & particuliers
de l’ancien continent fe ré-
duifènt à huit genres ou familles,
& à cinq efpèces ifolées : énumération
de ces huit genres & de ces
cinq efpèces. Ibid. 36 1 & 3 6 2. Les
animaux propres & particuliers au
nouveau continent, peuvent fè réduire
à dix genres, & a quatre efpèces
ifolées : énumération de ces
dix genres & de ces quatre efpèces.
Ibid. 3 62. & 3 63. Rapports éloignés,
qui paroiflèntindiquer quelque chofè
de commun dans la formation des
animaux des deux continens, & qui
conduifent à remonter à des caufes
très-anciennes de dégénération. Ibid,
D e dix genres & de quatre efpèces
ifolées, auxquels on peut réduire
tous les animaux du nouveau monde;
il n’ y a que le genre des tigres &
l ’efpèce du pécari qu’on puifïè rapporter
aux animaux de l’ancien continent
d’une manière évidente. , . .
L ’efpèce du lama & les genres des
fàpajous, des fâgoins, des mouffettes,
des agoutis & des fourmiliers ne
peuvent eue comparés que d’une
manière aflëz éloignée aux chameaux,
aux guenons, aux putois, aux lièvres
& aux pangolins ; & enfin, les
efpèces du tapir & du cabiai, & les
genres des philandres, des coatis,
des tatous & des pareflèux ne peuvent
être rapportés à aucune des
efpèces de l’ancien continent. Vol.
X IV , 3 7 2 & 373.
A nimaux , propres Ù“ particuliers du
nouveau monde ; leur origine ne
peut être attribuée à la (impie dégénération..............
Lorfque les deux
çontinens étoient contigus, les espèces
qui étoient cantonnées dans
ces contrées du nouveau monde y
ont été probablement renfermées
par l’irruption des eaux , lorfqu’elles
divisèrent les deux continens. . . . .
Poffibilité de cet évènement. lbid,\
373 & 37.4-
A nimaux & V égétaux. II n’y a
aucune différence abfolument eflèn-
tielle & générale entre les animaux
& les végétaux. . . . L a Nature def-
cend par degrés ou par nuances
imperceptibles,de l’animal qui nous
paroît le plus parfait à celui qui l’efl
| le moins, & de celui-ci au végétal..
Ainfi les animaux & les végétaux
font pour la Nature des êtres à peu
près dù même ordre. Vol. II, 8 & p.
Anta pu Ant , c ’eft le même animal
que lé tapir : origine de ce nom
anta ; on appelle auffi cet animal
ma'ipouri ou manipouris. VoI.a i , 44 J.
A ntilope , efpèce de gazelle qui fe
trouve en Barbarie, en Arabie , &c.
fa defcription. Vol. X I I , 215.
Defcription de fes cornes. Ibid,
21 6. Variétés dans cette efpèce.
Ibid. L ’antilope des Indes eft une
efpèce plus petite que les autres. Ibid.
2 1 7 . Les grandes antilopes font plus
farouches que les autres gazelles.
Ib id. 22.6.
Apar, efpèce de tatou qui n’a que
trois bandes mobiles , fà defcription
& fes caraétères fpécifiques. Vol. X ,
206. Quand l’apar fè couche pour
dormir, ou que quelqu’un le touche
& veut le prendre avec la main, il
rapproche & réunit, pour ainfi dire,
en un point fis quatre pieds, ramène
fà tête fous fbn ventre, & fè
courbe parfaitement en rond, en
fdrte qu’alors on le prendroit plutôt
pour une coquille de mer que pour
un animal terreftre. Ibid. 20 7. Sa
chair eft auffi blanche & auffi bonne
à manger que celle du cochon de
lait. Ibid. 22 6.
A PE , eft le nom que les Anglois ont
donné au finge fans queue. Vol.
X IV , 67.
Aperea. Notice au fujet de cet animal.
Sa defcription, fis habitudes naturelles.
. . . C e pourrait bien être le
même animal que le Cori. Vol. X V ,
160 ér fuiv.
Arabes , manière dont ils exercent
leurs brigandages. Vol. X I , 221 .
A Rabie, peinture des défertsd’Arabie.
Vol. XI, 220. Defcription des fables
& des défèrts brûlans d ’Arabie. Ibid.
2 2 0& 221 .
A r AIGN ÉES, dévorent indifféremment
les autres efpèces d’infeétes & la leur.
Vol. V I I , 5.
A rbres , l'accroifîèment des arbres fè
fait par l’addition de parties fembla-
bles au tout. Vol. I I , 2 5. Manière
dont s opère l’accroifîèment des arbres.
Ibid. Sont compofés de petits
êtres organifés fèmblables, & l ’individu
total eft formé par l’afïèmblage
d’une multitude de petits individus
femblables. Ibid. Plus un arbre eft
âgé, & plus il produit de fruits. Ibid.
69. Explication de la formation du
développement & de l ’accroifîèment
du bois dans les arbres. Ibid. 559.
Caufes naturelles & générales du dé-
périffement & de la mort des arbres,
c ’eft la trop grande folidité que le
bois acquiert avec l’âge. 7AV. 5 68,
L a plupart des arbres ne portent
abondamment du fruit & des graines
que de deux années l ’une. Vol. V I ,
- 51
'A rchipel Indien, la terre & la
mer font fi*mêlées dans l’Archipel
Indien, qu’il paroît évidemment que
c ’eft un pays inondé, duquel o u
ne voit plus que les éminences & les