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partie de leur accroiffement.
V I , 7 8 .
P o l a t o u c h e , vulgairement IVrer«''/
volant- V o/.X , 9 5. Ses reffemblançes
& lès différences avec l’écureuil» le
loir & le rat. Ibid- qô- Le poLlQU-
che n’eft pas fujet, comme le loir,
à l’engourdilîèmeut par laélion du
froid. Ibid- Il fe trouve également
dans les parties feptentrionales de
l ’ajicien & du noiivc&u con^inont.
Ib id , Habitudes naturelles du poja-
touche. Ibid, 9 7 . Ses convenances
avec la chauve-fouris. Ibid- t®,o.
I l e ft, pour ainfi d ire , engourdi
pendant le jour , & ne prend de
i’aéUvité que lé foir- Ib\d. L ’efpàce
en eil peu nombreufe , quoiqu’il
produife ordinairement trois ou
quatre petits. Ib id . TOI.
P o u t ç s s E- Origine de la politeffe
des. m«u.rs. Vol- I I , S 5 5 •
P o n g o & J o e K O , font les noms que
fo n donne à l ’erang-owtang fur (es
côtes occidentales de l’Afrique.........
C e font de tous les finges ceux qui
reffemhleot le plus à l’homme. V ol.
X IV , 43 & 44.. Le Pongo ou grand
orang-outang eft au moins auffi
grand que l’homme & fouvent plus
grand & beaucoup plus fo r t .... H
marche toujours debout ; il té coaaft
trust une hôte, un abri contre le
fylgii 4 b pluie; il fe nourrit de
P O
fruits, & 11e mange point de chair.
Vol. X IV , 48. Les pongos vont de
compagnie ; ils tuent quelquefois
des Nègres dans les lieux écartés ;
ils attaquent même l’éléphant, qu’ils
frappent à coups de bâtons pour
le cbaffer de leurs bois ; on ne peut
prendre des pongos vivans, parce
• qu’ils font fi forts, que dix hommes
ne fuffiroient pas pour en dompter
un foui ; on ne peut attraper que
les petits tous jeunes. Ibid. 48 &
4 p . Ils tâchent de furprendre des
femmes pour les violer , ils les
gardent avec e u x , ils les nourrif*
, font, &c, Ibid| 50 & 5 1.
Porc-Épic, n’eft: point un cochon
chargé d ’épines ; fa defcripdon &
fes différences d’avec le cochon.
Vol. X I I , 403 . Ses reffemblançes
avec le caftor. Ibid. L e porc-épic
n’a pas la faculté de lancer fos pi-
quans comme en le croit vulgairement.
Ibid. 4 04 . Seulement, lorf-
qu’il eft irrité il remue fos piquâns,
Si il en tombe quelques-uns de ceux
qui tiennent le moins à la peau.
Ibid. H eft originaire des climats
chauds, & cependant il peut vivre
dans les climats tempérés. Ibid. 406.
II fo trouve allez communément en
Italie, fur-tout dans les montagnes
de l’Apennin. Ibid. L e porc-épic
n ’eft ni féroce ni farouche, il eft
feulement
T a b l e
Vol.
P O DES M A T I ÈRES. P O ccxvi)
feulement jaloux de là liberté, &
perce 1a porte de là loge pour fortir.
Vol. X I I , 4 0 7 . Sa nourriture dans
l ’état de liberté & dans celui de
captivité. Ibid. 408 . Ses piquans
font de vrais tuyaux de .plumes,
auxquels il ne manque que lesbarbes.
Ibid.
Porphyre calcmable. II y a dans un
lieu appelé Ficin près -de Oijon,
une pierre -compofëe comme le
porphyre , mais -elle eft càlcinable
& n’a que la dureté du marbre.
Vol. I , 2 9 2 & 2 9 3.
P orphyre (le) rouge, eft com-
pofé d’un nombre infini de pointes
d ’ourfin. . . . elles font pofees allez
près les unes des autres & forment
tous les petits points blancs qui
font dans le porphyre : chacun de
ces points blancs laiffê voir encore
dans fon milieu un petit point noir
qui eft la feétion du conduit longitudinal
de la pointe de i’ourfin.
Vol. 1, 2 9 2 .
Position. L ’analyfe des polirions eft
un art, qui n’eft pas -encore n é , &
cependant cet art feroit plus nécefliire
aux .Sciences naturelles que l’art de
la Géométrie , qui n’a que la grandeur
pour objet. Vol. I I , 3 7 5 .
P »O u c , efpèce de rat qui fe trouve
dans quelques pays du Nord, & qui
eft plus grande que celle .du rat
Tome XV
domeftique. Volume X V , 143 .
P o u l e . Defeription de la matrice de
la p o u le , de l’ovaire & des oeufs
qui y font attachés. Vol. I I , 9 8 .
Raifon pourquoi les poules celïènt
de pondrelorfqu’elles couvent. Ibid.
308.
P o u l e t . Defeription d e la formation
du poulet dans boeuf. Vol. I I , 104 .
L e poulet crie avant même qu’il ait
cafté la coquille de l ’oe uf qui le
renferme ; explication de cet effet.
Ib id . 3 9 4 & 39 5.
P o u LS. La fréquence du battement
du coeur & des artères eft d’autant
plus grande que î ’aiïimal eft plus
petit. . . . L e pouls d’un enfant ou
d’un homme de petite ftature eft
plus fréquent que celui d’une per-
fonne adulte, ou d’un -homme de
haute taille ; le pouls d’un boeuf
eft plus lent que celui d ’un homme;
celui d’un chien eft plus fréquent,
& les battemens du coeur d ’un •animal
encore plus petit, comme d’un
moineau, fe luccèdent fe promptement
qu’à peine p eu t-o n les
compter. V ol. (H, 470 àr fuiv.
P o u m o n s (les) du foetus qui n ’a
•pas refpiré vont au fond de l ’eau ,
au lieu que ceux de l ’enfànt qui a
relpiré , furnagent. Vol. I I , 39 4 .
P r é s u r e naturelle dans l ’ejtomac du
Veau, dont on fe fert pour faire
e e .