les demi-métaux , les criflaux, les
pierres fines, & les cailloux en petites
maffes,6£C. Vol. 1 ,3 2 5 . Matières vi-
trifiabies & caïcinables ; énumération
de ces matières. Ibid. 3 2.6. La matière
la moins organifée ne laiffe pas
d ’avoir en vertu de fonexiftence une
infinité de rapports avec toutes les
parties de l ’Univers. Vol. 11, 3. La
matière .inanimée n’a ni lèntiment,
ni fenfâtion, ni confcience d’exif-
tence. Ibid. La divifion générale
qu’on devroit faire de la matière ,
eft matière vivante & matière morte,
au lieu de dire matière organifée
& matière brute ; le brut n’eft que
le mort. Ibid. 89. L a matière domine
quelquefois fur la forme ,
exemple à ce fujet. Vol. VI.., 87.
II .exifte une quantité déterminée
de matière organique vivante que
rien ne peut détruire, & en même
temps il exifte un nombre déterminé
de moules, capables de fe
J’affimiler__C e nombre de moules
ou d’individus quoique variable
dans chaque e fp è ce , eft au total
toujours le même ,. toujours proportionné
à cette quantité déterminée
de matière vivante ; fi elle
étoit furabondante , c ’eft-à-dire, fi
elle n’étoit pas dans tous les temps
également employée & entièrement
abfbrbée par les moules exiftans,
il s'en formeroit d’autres, & l'on
verroit paraître des efpèces nouvelles.
Vol. X I I I , vüj & ix. La matière
brute qui compofè la maffe de
la terre n’eft pas un limon vierge.,..
Tout a été remué par la force des
grands & des petits agens, tout a
été manié plus d’une fois par la
main de la Nature. Ibid. x.
M a t i è r e organique que l’animal
aflimile à Ion corps par la nutrition,
n’eft pas abfolument indifférente
à recevoir telle ou telle modification....
elle retient quelquefois
des caractères de fon état précédent.
Vol. V I , 88.
M a tr ice . II arrive un changement
prompt & fubit à la matrice dès
les premiers temps de la groflêffe....
Delcription de ce changement. Vol.
I I , 3 2 5 . La matrice eft. pénétrée
dans fes dimenfions intérieures par
. la liqueur feminale du mâle. Ibid.
La matrice, daris le temps de la
grofîèflê augmente non-feulement
en volume, mais en maflê, ce qui
prouve qu’elle a alors une efpèce
de vie végétative. Ibid. 3 26. La
matrice prend un allez prompt ac-
croiflèment dans les premiers temps
de la grofîèflê ; elle continue auffi
à augmenter à mefure.que le foetus
augmente ; mais l’accroiflèment du
foetus devient enfuite plus grand
que celui de la matrice , fur-tout
dans les derniers temps. Vol. II, 3 8 7 .
La dilatation de la matrice eft le
plus fur indice pour reconnoître fi
les douleurs que relient une femme
groflè font en effet les douleurs de
l’enfantement. Ibid. 388.
M a Y p o u R1, eft le même animal
que le tapir. Vol. X I , 4 4 5.
M a.z a m e (le ) d’Amérique eft le
même animal que le chevreuil. Vol.
X I I , 3 18 .
Mécan iq u e rationnelle d f pratique.,.
La mécanique pratique n’emprunte
qu’un feul principe de la. mécanique
rationnelle. Vol. 1, 60. La
confidération des forces de la N a ture
eft l’objet de la mécanique rationnelle
, celui de la- mécanique
fènfible Tt’cfl que la combination
de nos forces particulières , & fè
réduit à l’art de faire des machines.
Vol. X I I I , xvj. La mécanique rationnelle.
eft une fcience née , pour
ainfi dire, de nos. jours............On
avoit toujours mal raifonné fur la
nature du mouvement ; on avoit
toujours pris l’effet pour la caufe,
on ne connoiffoit d’autres forces
que celle de l’impulfion ; on vou-
loit y ramener tous les phénomènes,
quoiqu'elle ne (oit qu’un effet particulier
dépendant d’un effet plus
général. Ibid, xvj & xvij. .
AlECONIUM. Caufê de l’évacuation
du méconium. Vol. I I , 4 10 .
MEDECINE vétérinaire, devroit être
autrement cultivée ; exhortation à ce
fujet. Vol. IV , 25 7.. .
A ÏE jfl 1 N A , nom du chevrotain de
Ceylan & des Indes orientales ; il
y a piufieurs variétés dans cette
elpèce, tant pour la grandeur que
pour les couleurs. Vol. X II , 3 1 6 .
M e n s t r u e l . Le fàng menftruel
paraît être néceflûire à i’accoinplif-
fement de la génération , c ’eft-à-
dire à l’entretien, à la nourriture &
au développement du foetus ; mais
il n’a aucune part à fa première formation
, qui fe fait par le mélange
des deux liqueurs • également prolifiques.
Vol. I l , 8 1.
M E R. II y a des endroits dans la
mer dont nous n’avons pas pu fonder
les. profondeurs. Vol. I , .70. Le
fond de la mer eft parfèmé d’éminences
& d ’inégalités comme la
furface de la terre. Ibid. 7 1 . Flux
& reflux de la mer. Ibid. Coùrans
de la mer. Ibid. Gouffres de la
mer..................Calmes & tornades.
Ibid. 7 2 . L e fond de la mer
reffemble en tout à là furface de
la terre habitable.. Ibid. 7 3 . Le
balancement des eaux de la mer
n’eft point, égsl ; il produit un
mouvement continuel des eaux de