Décembre ; les loups & les renards
en Janvier; les chevaux en été; les
cerfs aux mois de Septembre &
d'Oclobre ; prefque tous ïes infeéles
ne fè joignent qu’en automne, &c.
Vol. 1 1 , 3 18 . Caufes occafionnelles
du rut dans le ce r f & dans quelques
autres animaux. Vol. V I , 9 2. g
S a b l e . C e que l ’auteur entend
par le mot de fable. Vel. 1, 2 74 .
L e fable vitrifiable & la glaifê, qui
n ’eft que du fable vitrifiable dé-
compofe, eft la matière'commune
dont le globe eft compofé ; & tous
les rochers, foit du genre vitrifiable,
foit du genre calcinabie, font également
appuyés fur la glaifè ou fur
le fable vitrifiable. Ibid. 5 66. Inondations
de fable. Ibid. 607. Les
fiables vitrifiables ne font que des
fragmens de verre. Ibid. 258. Le
fable, en fè décompofànt, produit
les paillettes talqueufes, & par une
décompofition encore plus complète
il devient glaife & argille.
Ibid. 260.
S a ï , petite efpèce de fàpajou , qu’on
appelle aufîî pleureur, dont il y a
deux variétés . . . . leur defcription,
leur naturel , leur nourriture. Vol.
X V , 51 & 5 2. Caraétèresdiftinétifs
d e l ’efpèce du faï. Ibid, y 3.
S a ï g a , animal qui fait une elpèce
intermédiaire entre les chèvres & les
gazelles. Vol. X I I , 198. Defcription
de fes cornes & fès convenances
avec les gazelles. Ibid. O n fè fert
de la matière de fès cornes comme
de l’écaille ; çette matière eft belle
& très-tranfparente. Ibid. 200. Le
faiga reffemble plus aux gazelles
qu’aux chamois & aux bouquetins
par les habitudes naturelles. Ibid.
S aÏm ir i , petite efpèce de fàpajou,
appelé vulgairement fapajou aurore;
c ’eft le plus joli des fâpajous. . . . fa
defcription & fès habitudes naturelles.
Vol. X V , 67 & 6 S. Caraéières difi-
tinèlifs de l’efpèce du faïmiri. Ibid.
68 St 6p.
S a i s o n de vie & fàifon de mort
dans les végétaux & dans plufieurs
animaux. Vol. XI I I , 6.
S A J O U S, ce font des fâpajous de
moyenne grandeur , dont il y a
deux variétés, lavoir le fàjou brun
& le fàjou g r is .... leur defcription,
leur naturel. . . . ils peuvent produire
dans nos climats : exemple à ce
fujet. Vol. X V , 3 7 & 38. Caractères
diftinéiifs de l’efpèce du fàjou.
Ibid. 39.
S a k i , grande efpèce de fàgoin.........
Caraéières diftinélifs de cette efpèce.
Vol. X V , 88 & 8p.
S a l a m a n d r e s . On trouve dans les
fàlamandres des oeufs & des petits
vivans ; elles ne font vivipares que
comme la vipère. Vol. I I , 3 1 1.
SANG. Circulation du fàng avoit été
foupçonnée & , annoncée avant
Harvey ; mais c ’eft lui qui l’a démontrée.
Vol. I I , 100, Première
origine du fàng dans le foetus & dans
le poulet. Ibid. 3 5 3 . L ’origine &
la formation du fàng du foetus font
suffi indépendantes du fàng de la
mère que le fàng du poulet dans
l ’oe uf eft indépendant de celui de
la poule qui le couve. Ibid. 355.
L e fang paroît plutôt dans le placenta
que dans le foetus. Ibid. 397.
Dans les premiers temps & même
jufqu’à deux & trois mois, le corps
du foetus 11e contient que très-peu
de fàng; il eft blanc comme de
l ’ivoire, & ne paroît être compofé
que de lymphe qui a pris de la
folidité. Ibid. 3p p . Il n’y a nulle
communication du fàng de la mère
avec le fàng du foetus. Ibid.
Sanglier. Différences du fànglier
& du cochon domeftique. Vol. V ,
l i t . La durée de la vie du fànglier
peut s’étendre jufqu’à vingt-
cinq ou trente ans. Ibid. 1 1 5. Les
petits fàngliers fuivent tous leur
mère julqu’à l’âge de trois ans. Ibid.
1 1 8. Le fànglier, fur-tout le mâle,
crie très - rarement ; mais dès qu’il
eft furpris , il fouflîe avec tant de
violence, qu’on l ’entend de très-
loin. Vol. Y , 1 ip . Les fàngliers ne
.font pas naturellement carnivores,
& cependant iis mangent de la
chair corrompue. Ibid. L e mâle,
dans le temps du rut, demeure ordinairement
trente jours avec la femelle.
Ibid. 120. Chaffie du fànglier.
Ibid. Il eft abfolument nécef-
faire de couper les parties de la
génération au fànglier dans le montent
qu on vient de le tuer , fàns
quoi fà chair 11e ferait pas mangeable.
Ibid. 1 2 1.
S anglier ( le ) du C ap -v e rd &
de quelques autres endroits a des
défenfès très - grofîès & tournées
comme des cornes de boeuf. Vol.
X I V , 328. Notice au fujet de
cet animal; fes défenfes du deffius
refîèmblent plus à des cornesdïvoire
qu’à des dents. Vol. X V , 148 &
14 p .
Sa n t é . Pourquoi la fànté de l ’homme
eft plus chancelante que celle
des animaux. Vol. IV , 4 9 .
S apajous & S acoins. On a eu
tort de les indiquer par les noms de
Singes, de Cynocéphales , de Kèbes
& de .Cercopithèques ; car de la
même manière qu’il ne fe trouve
dans le nouveau continent ni fîuges
ni babouins, ni guenons, il ne fè
/ / jS