clxv) LO T a b l e LO LU
refpirer. Ko/. V I I , 13 4 . Elle devient
en chaleur en hiver , & met bas au
mois de Mars.. . . Les portées font
de trois ou quatre. Ibid. 13 5 . Les
jeunes loutres font plus laides que
les vieilles. Ibid. Habitudes naturelles
de la loutre. Ibid. 13 6 . Elle
fait dans un vivier ce que le putois
fait dans un poulailler , elle y tue
beaucoup plus de poiiïon qu’elle
n’en peut manger. Ibid. 1 3 6& 1 3 7 .
L a peau de la loutre , prife en hiver
fait une bonne fourrure Ibid. L ’ef-
pèce n’en eft pas fort nombreufe.
Ibid.
L outre de l ’Amérique feptentrionale.
La fourrure en eft plus belle que
celle de notre loutre d’Europe. Vol.
V I I , 13 8 . Elle elt beaucoup plus
grande que la loutre d’Europe ;
mais au relie elle elt abfolument
femblable...........Les loutres & les
caltors font communément plus
grands, & ont le poil plus noir &
plus beau en Amérique qu’en Europe.
Vol. X I I I , 3 22.
L outre d’Egypte, eft le nom que
quelques Auteurs ont donné à
l’Ichneumon ou grande Mangoujle.
Vol. X I I I , 3 2 4 .
L o u v e , là chaleur ne dure que
douze ou quinze jours, elle commence
par les vieilles louves.... Les
mâles n’ont point de rut marqué,
ils pourraient s’accoupler en tout
temps ; ils palîènt fucceftivement
de femelles en femelles à mefure
qu’elles deviennent en état de les
recevoir; ils ont des vieilles à la fin
de Décembre & finiflèm par les
jeunes au mois de Février & au
commencement de Mars. Le temps
de la geftation eft d’environ trois
mois & demi, & l ’on trouve des
louvetaux nouveau - nés depuis la
fin d’Avril julqu'au mois de Juillet.
Vol. V I I , 4 3 . Les louves fe font
un lit pour mettre bas. Ibid. 44.
Elles produifent ordinairement cinq
ou fix petits , quelquefois fopt,
huit & même neuf, & jamais moins
de trois. Ibid. Manière dont la
louve défend & cache lès petits.
Ibid. 4 j .
L o .w a n .d o . Voyei O u a n d e r o u .
Vol X I V , 1 dp éx fuivantes.
L umière. L ’intenfité de la lumière
influe beaucoup fur la vifion ;
exemple à ce fujet................Raifon
pourquoi les lunettes d’approche
ne font pas à beaucoup près autant
d’effet que les microfoopes. Vol. III,
3 26. La trop grande quantité de
lumière eft très-nuifibie à l ’oe il, &
peut occafionner la cécité. Ibid.
334-
L y n x ( le ) & le loup-cervier font
le même animai. Vol■ I X , 2 3 1 .
LY MA D E S M a t i È R E S . MA clxvij
Deux races differentes dans le lyn x ,
l’une plus grande & l’autre plus
petite. Vol. IX , 2.32. Différences
du lynx du nord & des animaux du
midi , auxquels on a donné ce
nom. Ibid. 2 3 4 . Le lynx eft un
animal des pays froids & tempérés,
& ne fe trouve point dans les
. pays très-chauds. Ibid. C ’eft un
animal commun à l’ancien & au
nouveau continent. Ibid. 238. L e
lynx des Anciens qui voyoit à
travers les murs, eft un animal fabuleux.
Ibid. 240.. L e lynx a les
moeurs & même la propreté du chat.
Ibid. 24 t . Il a une efpèce de
hurlement à peu-près comme celui
d ’un loup. Ibid. Ses différences
d’avec' la panthère & Fonce. Ibid.
2 4 2 . Manière dont il ehaffe &
ftifit les autres animaux. Ibid..
M
M a c aq u e ( le ) eft Je toutes Tes
guenons ou linges à longue queue
celui qui approche le plus des babouins,.
. . . . . . Il eft d’une laideur
hitjeufe, l ’elpèce fe trouve dans
plu (leurs provinces de l’A frique, &
elle paroît comprendre plufteurs
variétés, (oit pour la grandeur,
loit pour la couleur; l’une de ces;
variétés çft i’animal que nous ^voiiâ-
• appelé Aigrette, parce q u ’il porte
un épi de poil droit & pointu au-
deflus de la tête. Vol. X IV , 190 &
1 p 1. L e macaque a une odeur de
faux m u f c , & eft fort mal-propre...
Ces animaux vont fouvent par
troupes. & s’entendent pour voler
des fruits & des légumes... Manière
dont ils pillent un champ ou un
jardin. Ibid. îp i & i 92.
M acaque & A igrette. Caractères
diftinétifs de ces eljpèces. Val. XIV,
I p-2 & 19 J.
M a c h l i s . Dans Pline, paroît être
un mot corrompu , <5c ne peut
lignifier autre ehofo que l'Élan-
Vol. X I I , 8 7 .
Mâchoire. L e grand aïongement
des mâchoires , eft la principale-
eaufo de la différence entre la tête-
des quadrupèdes & celle d el’homme.
Vol. IV , 1 7 7.
Madagascar. Cette ifë paraît avoir-
appartenu autrefois au continent d e
l’Afrique : raifon de cette vraifem—
blance Vol. 1, 39 7.
Ma d r é p o r e s , (les) les coraux,
les champignons, les cervaux que-
l’on trouve pétrifiés ou foffiles.
dans la terre , font encore en- plus
grand nombre que les coquilles,
quelques nombrsufts qu’elles foient.
Vol. I , 289. Il y a- dans-la mesr
Rouge des madrépores branchues^