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Singularités dans la forme du .poil
du bubale & de l'élan. Vol. X I I ,
2 9 7 . Différences du bubale & de
l'élan. Ibid. Defcription particulière
de cet animal, par M .,s de l’A ca-
démie. Ibid. 2 9 7 ,2 9 8 & fiiv . II
y a dans cette eipèce des variétés
pour la forme des cornes & la
grandeur du corps. Ibid. 300. Son
climat & lés habitudes naturelles.
Ibïd.
B u B A l u S , n’eff point Te buffle,
mais un autre animal que nous avons
appelé bubale. Vol. X I , 28 6. Le
bubdlus des Latins que fai appelé
bubale, eft le même animal que
celui qui a été indiqué par M.'* de
l’Académie des Sciences , fous la
dénomination de Vache de Barbarie,
Ibid. 2 9 7 .
B u cu LA -CERV lNA , eft le même
animal que le bubale. Vol. X II, 29 3.
B uffle ( le ) appartient à l’ancien
continent, & ne s’eft point trouvé
dans le nouveau. Vol. I X , 82. II
n ’étoit connu ni des Grecs n i des
Romains , & a été apporté de l’A frique
, & des Indes en Europe
dans le léptième fiècle. Vol. X I ,
3 8 4 . Le buffle en Italie, eft de la
même efpèce que le buffle domef-
tique & làuvage aux Indes. Ibid,
2 8 8. L e buffle ne s’accouple, ni
»e produit avec la vache, & il y a
même de l ’antipathie entre ces deux
elpèftes. Vol. X I , 3 29. Son naturel,
fon tempérament, lés habitudes &
lés différences avec le boeuf. Ibid,
3 30 . Utilité que l’on en tire pour
le labourage, les voitures, &c. Ibid.
3 3 1 . Le buffle eft le quatrième des
animaux quadrupèdes dans l’ordre
degrofléur. Ibid. 3 3 2 . Il produit
dans les pays tempérés; la femelle
porte environ un an, & ne fait
ordinairement qu’un petit. Ibid, Les
buffles font plus traitables dans les
pays chauds que dans les pays tempérés!
Ibid. Ils aiment à lé vautrer
& même à féjourner dans l’eau.
Ibid. 33 J. Ils nagent facilement
& courent plus légèrement que le
boeuf. Ibid.
B u s e l a ph u s , eft le même animal
que le bubale. Vol. X I I , 29 5,
c
C A B I A I , animal de l’Amérique
méridionale , qui n’exiftoit point
dans l ’ancien continent. Vol. IX ,
88. Ses différences & fes reflént-
blances avec le cochon. Vol. XII,
38 3 . Sa deléription , fa grandeur,
là figure, &e. Ibid. Il a des mens
branes entre les doigts des pieds,
& habite fouvent l ’eau, où il nage
avec grande facilité. Vol. XII, 3 8 $*
Sa nourriture & lés autres habitudes
naturelles. Vol. X I I , 3 8 5. II produit
en grand nombre. Ibid. 3 8 d. Il
ne fe trouve que dans l’Amérique
méridionale. Ibid. 388. Le cabiai
ne reflêmble à l’extérieur à aucun
autre animal, quoique par les parties
intérieures, il relfemble au cochon
d’Inde. Vol. X IV , 3 6 5 .
Cachicame , eipèce de tatou , qui
a neuf bandes mobiles fur le dos ;
là defcription & lés caractères Ipéci-
fiques. Vol. X , 2 1 6 .
Caffres. Defcription des Cafifres.
Vol. I I I , 4 7 7 .
Ca il l o u , lé change naturellement
en argile par un progrès lent & in-
fenfible, ou plutôt en bol & en
limon : preuves de cette aflértion.
Vol. I , 2.62 St 2 d 3. En grande
maflé & en petite malle. Ibid. 2 7 5 .
Ca lcin able ,Ies matières calcinables
lé diflolvent toutes par l’eau-forte.
Vol. I , 238 & 2 39 . Les minières
calculables perdent au feu plus du
tiers de leur poids , & reprennent la
forme de terre làns autre altération
que la délùnion de leurs parties.
Ibid. 261.
C alc u l s , pierres qui lé forment
dans la veille des animaux , font
d’une fubftance & d’une compo-
fition toute différente de celle des
bézoards. jVol. X I I , 2 4 S .
C a l é c u t . La mer a beaucoup gagné
lùr la côte de Calécut. Vol. I, 592.
C a l l it r ic h e , nom dérivé du Grec
Callitrix, c ’eft la guenon qu’on appelle
communément letSinge vert....
Sa deléription. . . . Les pays où il
fe trouve, &c. Vol. X IV , 2 7 2 ér
Suivantes. Caraétères diftinétifs de
cette eipèce. Ibid. 2 74 .
Ca l l i t r i x , en Grec lignifie beau
poil, & on a appliqué ce nom à la
guenon avifmge à longue queue, dont
le poil eft d’ùn beau vert, le ventre
d’un beau blanc & la face d’un
beau noir. Vol. X IV , 1 1.
C a l l o s i t é s fur la poitrine des
chameaux , des lamas & fur les feflès
des babouins & des guenons ; leur
origine, & comment elles font produites.
Vol. X IV , 3 2 3 & 3 2 6.
C a l m a r , la liqueur léminale du
calmar, & même la laite qui la
contient lé forme & s’oblitère tous
les ans. Vol. I I , 7 1 .
CALMUQUES. Tartares Cafmuques,
paffènt pour être les plus laids-de
tous les hommes. Vol. I I I , 3 8 1 .
C am p ag n o l , l’efpèce en eft encore
plus nombreulé que celle du mulot.
Vol. V I I , 3 69. Habitudes naturelles
du campagnol. Ibid. Ils font de très-
grands dommages aux blés. Ibid.
Différences du campagnol & dui
rat d ’eau. Ibid. 3 70 . Ils produifént
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