Vol. X , 25. Cet animal craint le
fro id , & ne pourroit fubfifter fans
abri dans nos climats tempérés.
Jbid. 2 6. Comparaifôn du pécari
avec le cochon; ils paroiffent etre
anciennement iffus de la meme
fouche. Vol. X IV ,.3 66 Sc^6y.
P E LA G I æ ( Conchoe ) , c’eft ainfi
qu’on appelle les coquillages qui
habitent le fond de la mer, & qui
ne foi« jamais jetés fur le rivage.
Vol. 1, 290.
P e n t e . Origine de la pente des
montagnes. Vol. 1, 557. Pourquoi
les montagnes compofées de matières
calcinables n’ont pas une pente
auffi rapide que celles qui font compofées
de matières vitrifiables. Ibid.
• P É R O U . Remarques fur la forme
du terrain au Pérou. Vol. 1, 3 2 1 •
Hautes montagnes du Pérou : raifon
pourquoi l’on ne trouve point de
coquilles dans la plupart des hautes
montagnes du Pérou. Ibid. 533.
Quoique le Pérou foit fitué dans la
zone Torride , le thermomètre dans
les grandes chaleurs n y monte pas
fi haut qu’en France , parce que
c ’efl: un pays extrêmement élevé.
Vol. I I I , 51 ?•
PÉROUA^CA, ce nom peut fe rendre
par Belette à ceinture. Defçription
de cet animal ; fa peau fait une jolie
fourrure, Vol. X V , 143 & x 44.
PÉRUVIENS ( les ) étoient les .feuls
peuples de l’Amérique qui euffent
des animaux domeftiques. Vol. IX ,
84.
P e s a n t e u r . Cette force que
nous connoiflons fous le nom de
pefanleur, eft généralement répandue
dans toute la matière ; les planètes,
les comètes, le foieil, la terre, tout
eft fujet à fes loix, & elle lèrt de
fondement à l’harmonie de l’Univers.
Vol. 1 , 1 3 0 . Il n’y a point
'd ’hypothèlès à faire fur la direction
de la pefânteur.. . . Elle eft néceflài-
rernent perpendiculaire à la fitrface.
Ibid. 15 5 & 156.
Petit gris ( le) fe trouve également
dans les parties feptentrionales de
l ’ancien & du nouveau continent.
Vol. X , t 1 6. Ses reffémblances &
lès différences d’avec l’écureuil. Ibid.
Habitudes naturelles du petit gris,
qui font differentes de celles de l’écureuil.
Ibid. 120. les petits gris
fe raffemblent en troupes & tra-
verfént enfemble des rivières très-
Iargës fur des écorces d’arbres. Ibid.
Peur , paflion commune aux hommes
&auxanimaux. Vol. I V ,7 9 . Tableau
de cptte paffion dans l'animal. Ibid.
So.
PHALANGER, petit animal de
l’Amérique méridionale que nous
avons appelé Phalanger, parce qu’il
‘ a les
a les phalanges fingulièrement conformées
; il eft du nombre des
quadrumanes, & fon efpèce approche
de celle de la marmofe.,..
Caraéfères par lefqnels il en diffère...
Différences du mâle & de la femelle.
Vol. X I I I , 9 2 & 9 3 .
Ph AT agin , féconde efpèce de Lézard
écailleux. Vol. X , 180. C ’eft un
quadrupède vivipare , ainfi le nom
d e Lézard écailleux lui a été mal
appliqué. Ibid. 181 . Ses différences
générales d’avec les lézards. Ibid.
Différences particulières du phata-
gin & du pangolin. Ibid. 183. Le
phatagin eft bien plus petit que le
pangolin. Ibid. 184.
P hi l andr e . Voyei Sa rigue .
V al.X , 2 8 4 «y fuiv. Lesphilandres
peuvent être regardés comme les
repréféntans, dans le nouveau continent,
des makis qui ne fé trouvent
q u e dans l’ancien.. . . . Cependant
•on ne peut pas fuppofer qu’ils
viennent les uns des autres par
dégénération.. . . . Comparaifon des
philandres & des makis. Vol. X IV ,
368 & 3 69.
Philandre de Surinam. Notice &
defcription de cet animal, dont la
femelle porte fés petits fur le dos
& les environne de fà queue.
Vol. X V , 1 5 7 & 158.
Philosophie, négligée dont cefièclc;
Tome XK
les Arts qu’on veut appeler fcienti-
fq u es, ont pris fà place; les méthodes
de' calcul & de Géométrie,
celles de Botanique & d’Hiftoire
naturelle, les formules, en un mot,
& les Dictionnaires occupent pref-
que tout lé monde. Vol. 1, 52. Le
défaut de la philofophie d’Ariftote,
étoit d’employer comme caufes tous
les effets particuliers; celui de celle
de Defeartes, eft de ne vouloir
employer comme caufes qu’un petit
nombre d’effets généraux en donnant
l’exclufion à tout le refte..........
La philofophie fans défauts ferôit
celle où l’oit n’emploieroit pour
caufes que des effets généraux, &
où l ’on chercheroit en même temps
à en augmenter le nombre, en tâchant
de généralifer les effets particuliers.
Vol. I I , 52. Le but de la
philofophie naturelle n ’eft pas de
connoître le pourquoi, mais le comment
des chofés. Vol. V , 1 04.
Phoque, nom générique fous lequel
l’Auteur comprend , 1." le Phoxa
des Anciens qui fé trouve dans la
mer Rouge & dans la mer des Indes;
2.” le phoque commun que nous
appelons Veau marin , & qui fé
trouve dans notre Océan ; 3.0 le
grand phoque décrit & gravé dans
les Tranfàdlions philofophiques,
n.° XDLXIX; 4.° le très-grand
dd