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de C e rf du Gange. M.” de l’Académie
l ’ont indiqué par la dénomination de
Biche de Sardaigne. Vol. X I , 3 517.
Tient du ce r f & du daim tout en-
femble , fes différences & fes ref-
fembiances avec l’un & avec l’autre.
Ibid. 398 . Eft originaire des pays
chauds, & cependant il vit aifément
& fe multiplie dans les pays tempérés
lorfqu’ii eft foigné , & qu’on le tient
à l ’abri pendant l’hiver. Ibid. 4 0 1 .
O n n’a pas remarqué dans les ménageries
que l’axis fè foit-mele avec
le c e r f ou avec le daim , & qu’ils
aient jamais produit enfemble. Ibid.
B
B abiroussa , fes reflèmblances &
fes différences avec le cochon. Vol.
X I I , 3 7 9 . Defcription de fès dé-
fenfes ou dents canines. Ibid . 380.
Ses défenfes font d’un très - bel
ivoire , plus net , plus fin , mais
moins dur que celui de l’éléphant.
Ib id . Sa figure & fes habitudes naturelles.
Ibid. 381. S’accroche avec
fes défenfes pour dormir debout.
Ib id . 382. Nage fort légèrement &
long-temps. Ib id . Son climat; doute
fi la femelle manque des grandes
défenfes fupérieures qui fe trouvent
dans le mâle. Ib id . 383.
B a b o u i n , eft un animal qui appartient
à l ’ancien continent, & qui
BA
ne fê trouve point dans le nouveau.
Vol. IX , 94.. Définition du babouin;
c’eft un animal à queue courte, à
face alongée, à mufeau large &
relevé, avec des dents canines plus
o-rofTes à proportion que celles de
l ’homme, & portant des callofttés
fur les feffes. Vol. X I V , 5. Les
Anciens n’ont point èu de nom
propre pour défigner cet animal ;
Ariftote eft le feul qui l’ait indiqué
par la dénomination de Sirriia por-
caria. Ibid, Babouin, nom générique
qui comprend trois efpèces :
r L e papion ou le babouin proprement
dit : 2.0 Le mandrill .'3*
L 'ouanderou. Courte defcription de
ces trois babouins. Ibid. 6 . Il y en a
de petits & de grands. Voy-PAPION.
Ib id . 133 Ù -fu iv.
Barbaresque, petit animal appelé
vulgairement Écureuil de Barbarie,
fes reflèmblances & fes différences
avec le palmifte & l'écureuil Suiffo.
Vol. X , 128.
Baromètre, peut donner la hauteur
■ des montagnes très-exaélement, far-
tout dans les pays où fa variaiion
n’eft pas confidérable. V ol I, 3 10i
B a u r d -m a n n e t j e s , efpècc (le
guenon ou fm geà longue queue, dira
poil noir, avec une barbe blanche.
Voyei T a l a b o i n . Vol. XIV,
2 8 9 .
T a b l e
BE d e s M a t i è r e s . BE
BEAUTÉ , les idées que les différens
peuples ont de la beauté, font très-
oppofées, & les femmes ont plus
gagné par l ’art de fe faire defirer,
que par ce don même de la Nature.
Vol. I I , 554. Les femmes ont eu
de la beauté dès qu’elles ont fù fe
refpeéter afîèz, pour fe refufer à
tous ceux qui ont voulu les attaquer
par d’autres voies que par celles du
fentiment ; & du fèntiment une fois
n é, la poiiteflè des moeurs a dû
fuivre. Ib id . 2 54 & 255.
Ee h em o tH de l’Ecriture Sainte, eft
le même animal que l’hippopotame.
Vol. X I I , 22.
Bel et t e, eft très-commune dans
les pays chauds , & fort rare dans
les pays froids , ce qui eft tout le
contraire de l’hermine. Vol. V I I ,
225. II y a quelques belettes qui
deviennent blanches pendant l’hiver.
Ibid. Différence de la belette & de
l'herniine. Ib id . Elles ne s’appri-
voifènt point. Ibid. 2 2 6. Habitudes
naturelles de la belette & de l ’hermine.
Ib id . La belette met bas au
printemps, les portées font ordinairement
de quatre ou de cinq ; les
petits naiffent les yeux fermés. Ib id .
228. Elle a l’odeur très-forte. Ib id .
Belette & Hermine , font deux
efpèces diftinéles & féparées. Vol.
V I I , 225.
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B é l ie r , nature & qualités du bélier.
Vol. V , 4. Manière de connoître
fbn âge par les cornes. Ibid. 1 o.
Le bélier eft en état d’engendrer dès
l’âge de dix-huit mois, & à un an
la brebis peut produire ; mais il eft
mieux d’attendre que la brebis ait
' deux ans, & que le bélier en ait
trois, avant de leur permettre de
s’accoupler. Ibid. Un bélier peut
aifément fuffire à v ingt- cinq ou
trente brebis : qualités du bélier
qu’on deftine à la propagation. Ibid.
II y a des béliers fans cornes, &
ces béliers fans cornes font dans ces
climats, moins vigoureux & moins
propres à la propagation. Ibid. Le
bélier s .’attache de préférence aux
brebis âgées, & dédaigne les plus
jeunes. Ibid. 1 1.
B E R B É , il nous paroît que l’animal
appelé ber b é en G uinée, eft le même
que la foflâne. Vol. X I I I , 1 64.
Be r c e r , l’ufâgede bercer les enfàns
eft fltjet à des inconvéniens, & demande
des attentions. Vol. I I , 4 6 1.
B E S O I N ( le ) n’eft pas le defïr , il en
diffère comme la caufe diffère de
l’effet, & il ne peut le produire fins
le concours des fens.. Vol. IV , 2 1.
Béta il. -Raifort primitive de ce que
notre bétail eft fi clietif & fi différent
de ce qu’il étoit dans l’état
de Nature.. Ke/. XI, 29 5.
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