N è g r e s d’Angola, ( les ) Tentent
extrêmement mauvais. Vol. I I I , 407*
Il ne faut que cent cinquante ou
deux cents ans pour laver la peau
d’un Nègre, par la voie du mélange
avec le fing du Blanc ; mais
il faudrait peut-être un allez grand
nombre de fiècles pour produire
ce même effet par la feule influence
du cliriiat ; manière de faire cette
expérience. Vol. X IV , 3 1 3 & 3 14.
N e r f s . La fubftance nerveulë prend
de la folidîté dès qu’elle fè trouve
éxpolee à l’air , & c ’eft par cette
raifon qu’à toutes les extrémités du
corps, il y a des parties foiides,
telles que les ongles, les- cornes,
les becs , les dents r &c. Vol. I I ,
54 2 . Les nerfs font ce qui exifle
le premier, & les organes auxquels
il aboutit un grand nombre de
difïérens nerfs, comme les oreilles
ou les yeux qui font eux-mêmes
de gros nerfs épanouis , ils font
auflî ceux qui le développent le
plus promptement & les premiers.
Vol. I I I , 3 06 . Pourquoi il arrive
qu’un nerf ébranlé par un coup ,
o u découvert par une blefïiire,
nous donne fouvent la lènfition
de la lumière fans que l ’oeil y ait
part. Ibid. 355.
N o i r s . Race d’hommes noirs aux
Philippines. VA. I I I , 4 0 1 . Raifon
pourquoi il ne fè trouve point
d’hommes noirs en Amérique, &
pourquoi les parties de ce continent,
fituées fous la zone T o rride , font
. beaucoup plus tempérées que ces
mêmes parties de la zone Torride
dans l’ancien continent. Vol. I I I,
513.
N o m général, q u’on veut impofèr aux
animaux , tel que le nom quadrupède,
elt une formule incomplète,
une fomme de laquelle quelquefois
ils ne font pas partie. Vol. X IV , 1 7 .
N o m e n c l a t e u r s !( le s ) n’ont emp
lo y é q u ’une p a r t ie , comme les
dents ou les ongles p our ranger les
animaux, les feuilles o u les fleurs,
p o u r diftribuer les plantes, au lieu
de fe fervir de toutes les parties.
Vol. I , 2 0 .
N o r d . Paffigepar le nord; quelques
idées nouvelles à ce fujet. Vol. I,
21 5 î f fuiv. Palfige par le nord;
tous les Navigateurs qui ont tenté
d'aller d’Europe à la Chine par le
n o rd -e ll ou par le n o rd -ou e fl,
. ont également échoué dans leurs
■ entreprifes. Ibid. 4 09 .
N o u r r i t u r e . L ’influence de la
nourriture ell plus grande fur les
animaux, qui fe nourriflènt d’herbes
& de fruits que for ceux qui fe
nourriflènt de chair ; & par quelles
raifons. Vol. X IV , 3 2 1 & 3 « .
N o u s . Nous exiflons fins fivoir
comment, & nous penfons fans
fâvoir pourquoi. Vol. I I , 4.
N u a n c e s . La marche de la Nature
fe fait par des degrés ; nuancés? &
fouvent imperceptibles , elle pafïè
par des nuances inlenfibles de l ’animal
au végétal ; mais du- végétal
au minéral , fe pafïàge efl; plus
marqué. Vol I I , 2 6 3 .
N u i t . Caufe phyfique de la crainte
que i’ôbfcurité de la nuit fait ref-
fentir à prefque tous les hommes.
V ol III, 320.
N u t r i t i o n . Idées nettes & générales
de la nutrition dans ranimai & dans
le végétal.......... Elle s’opère par la
fufception des parties organiques
vivantes. Vol. I I , 4 4 .
O
O BJECTION la plus confidérable
qu’on puiffe fiire contre tous les
fyftèmes en général, au fujet de fa
génération. Vol. I I , 8 1 . Première
réponlè à cette objeétion. Ibid. 8 3.
O b s e r v a t i o n s for l’eau des
huîtres, for de l’eau o ù on avoir
fait bouillir du p o iv r e , for de l ’eau
o ù l’on avoit fimplementfait tremper
d u p o iv re , & fur de l’eau où l'on
avoit mis infufer de la graine d ’oeillet.
Vol. I I , 221.
O c é a n , a un mouvement confiant
d’orient en occident , qui fe fait
fentir, non-feulement entre les tropiques,
mais même dans toutes les
autres zones...Vol. I , 9 7 . L 'O céan
pacifique fait un effort continuel
contre les côtes de la Tartarie, de
la Chine & de l’Inde. L ’Océan indien
fait de même effort contre la
côte orientale de l’Afrique...............
L ’Océan Atlantique agit de même
contre toutes les côtes orientales de
l ’Amérique. Ibid. Les profondeurs
de l’Océan font inégales. . . . on
prétend qu’il y a des endroits où
les eaux ont une lieue de profondeur.
. . . les profondeurs ordinaires
font depuis foixante julqu’à cent
cinquante braflès. Les Golfes & (es
paffiges voifîns des côtes font bien
moins profonds & les détroits encore
moins. Ibid. 309. L ’Océan
a rongé les terres dans une étendue
de quatre ou cinq cents lieues fur
toutes les côtes orientales de l’ancien
continent........ .... Preuves ; de cette
afïèrtion. Ibid, 385 à" fuiv antes.
Il paraît que l'O c é an , par fon
mouvement d’orient en occident, a
gagné tout autant de terrain fur
les côtes orientales de l’Amérique,
qu’il en a gagné fur les côtes
orientales de i’Afie.........Ces deux
grands Golfes font fous les mêmes
b b i j