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feuls climats méridionaux de l’A frique
& de i’Afie. Vol. I X , 5 6.
C ’eil après i’éiéphant le plus puiflànt
des animaux quadrupèdes ; là grandeur
& les dimenfions. Vol. X I ,
1 7 4 . II a les jambes beaucoup
plus courtes à proportion que celles
de l’éléphant. Ibid. 1 7 6. Ses qualités
individuelles & relatives. Ibid.
Ulàge de là corne. Ibid. Il a la
lèvre fupérieure mobile & terminée
par un appendice. Ibid. 1 7 7. Défi
cription de cet animal ; nombre &
figure de fes dents; ufage qu’il fait
de là longue lèvre. Ibid. 178. Sa
nourriture dans l’état de captivité.
Ibid. 1 8 0 & fuiv. Son naturel &
lès habitudes dans l’état de captivité.
Ibid. 1 8 2.. Delcription des parties
de la génération du mâle. Ibid.
184.. Il jette fon urine en arrière.
Ibid. 1 84 & fuiv. Delcription de
fà peau ; fon épaüTeur & là fermeté.
Ibid: 185. Rhinocéros qui
n ’ont qu’une corne & d’autres qui
en ont deux. Ibid: 186. II écoute
avec une attention particulière tous
les bruits qu’il entend. Ibid. 1871
Delcription & dimenfions des cornes
de cet animal. Ibid. L a corne
du rhinocéros eft fort eftimée des
Indiens. Ibid. 188. Son naturel
& fes moeurs dans l’état de liberté.
Ibid. 1 90, Il fe trouve dans tous-
LE RI
les pays méridionaux de l’Afrique
& de l ’A f ie , mais l’efpèce en eft
bien moins nombreufe que celle
de l’éléphant. Vol. X I , 1 9 1 . Il ne
produit qu’un petit. Ibid. Accroifi-
fement de la corne à mefure que
l’animal avance en âge. Ibid. A c -
croiffement de l’animal, & la durée
de fa vie. Ibid. 192.. Qualités médicinales
des différentes parties de
Ion corps. Ibid. 1 9 2 dv fuiv. Sa
nourriture dans l’état de liberté. Ibid.-
193. Combats du rhinocéros avec
l ’éléphant font imaginaires; ces animaux
ne fe font jamais battus que
dans les arènes de Rome, lorfqu on
les y a forcés. Ibid. Manière de les
chaffer & de les tuer. Ibid. 196. Le
rhinocéros a l’odorat bon & l’oreille
excellente, mais il a-les yeux mauvais.
Ibid. 1 9 7 . II ne rumine pas,,
quoique dans l’état de nature il ne
vive que d’herbes. Ibid.-
R i v i è r e s ( les ) dans leurs finuofités
fuivent exactement la direction correlpondante
des montagnes.............
Lorfque dans une vallée, la pente
de l’une des montagnes qui la borne
eft moins rapide que celle de l ’autre,
la rivière prend fon cours beaucoup
plus près de la montagne la plus
rapide. Vol. I , 32.2. Pour l’ordinaire
les rivières occupent le milieu
des vallées, ou plutôt la partie la
RI RO DES M AT I ÈRES. RU ccxxvi)
pTus baffe du terrain compris entre
les deux collines ou montagnes op-
pofees. Vol. I , 337 . Caufes naturelles
du changement de lit dans
les rivières. Ibid. 338. La furfàce
d ’une rivière en mouvement n’eft
pas de niveau .d’un bord à l’autre....
Selon les circonltances, le courant
qui eft dans le milieu eft confidé-
rablement plus élevé ou plus bas
que l’eau qui eft près des bords ;
expofitionde cescirconftauces. Ibid.
34 1 . Enumération du nombre
des rivières qui tombent dans les
grands fleuves. Ibid. 3 5 8 & 3 59.
Dans les rivières petites & grandes ,
les bords forment par - tout des
angles alternativement oppofe's.
Ibid. 4 5 1 .
Rosée ( la ) produit plus de limon
que l’eau des pluies. Vol. I , 233.
Roussette & Rougette. C e font
deux elpèces très-voifines. Vol. X ,
5 5 . Reffèriiblances & différences
de la rouflètte & de la rougette.
Ibid. 5 6. La rouflètte & la rougette
font toutes deux des climats chauds
de l’ancien continent. Ibid. 5 6.
Leurs reflèmblances & leurs différences
avec le vampire. Ibid. 5 7.
Leurs habitudes naturelles, & le
dégât qu’elles font. Ibid. 60. C e
font des animaux carnaflïers , &
qui mangent de tout, Ibid. 6 2 .'
Manière de les prendre en les enivrant
de quelques liqueurs fermentées.
Vol. X , 6 3. Elles vont ordinairement
en troupes & plus la nuit que
le jour. Ibid. Examen Sa deferip-
tion de la langue de la rouffette.
Ibid. 6 ; .
R uminans. Les animaux ruminans
ne ruminent pas encore*'lorfqu’ils-
tètent. Vol. IV , 462. lis ruminent
beaucoup plus en hiver, & lorf-
qu’on les nourrit d’aiimens fecs,
qu’en été pendant lequel ils paillent
l’herbe tendre. Ibid.
R um in a t io n . Explication phyfique
de la rumination. Vol. IV , 4 6 1 . La
rumination n ’eft qu’un vomiflèment
fins effort. Ibid.
Rut. L ’effet le plus général du rut
eft l’exténuation de l’animal, & dans
les efpèces d’animaux dont le rut
ou le frai n’eft pas fréquent & 11e
fe fait qu’à de grands intervalles de
temps, l’exténuation du corps eft
d’autant plus grande que l ’intervalle
du temps eft plus confidérable.
Vol. 1 1 , 7 2 . Temps du rut ; prefque
tous les animaux, à l’exception de
l’homme , ont des temps marqués
pour la génération ; le printemps
pour les oifeaux.. . . . Les chats fe
cherchent au mois de Janvier, au
mois de Mai & au mois de Septembre;
les chevreuils, au mois de ƒƒ 1