délimitent, c’eft vice dans la con-
formation,. . . . . Defcription des
défauts cfe nature dans les pareffèux
( l'unau & l’aï ) . . . . Habitude naturelle
réfultame de leur conformation
défè&ueulè. Val. X 111,3 8 &
39-
PAROLE, e(l le ligne le moins équivoque
de la penfée; elle met à l’extérieur
autant de différence entre
l’homme & l’homme qu’entre l’homme
& la bê te. Vol. I V , 8- 8.
P a r t i e s (le s ) fimples dans le
corps animal, paroiflènt être plus
eflèntielles que les parties doubles.
Vol. I l , 368. La tête & l'épine, du
dos font des parties fimples, dont
la poAcion eft invariable ; l’épine du
dos fort de fondement à la charpente
d u corps. . . . cette partie paraît une
des premières daus l’embryon . . . .
car la première choie que l’on voit
dans la cicatricule die l’oeuf, eft une
malle alongée, dont l’extrémité qui
forme la tête ne diffère du total de
la malle que par une elpèce: de
forme contournée & un peu plus
renflée que le relie ; ees parties Amples
qui paroiflènt lespremières font
eflentielles à l’exiftence, à to forme
& à la vie de l’animal. Jbid. 3 68 &
3 6 9 . Il y a. beaucoup plus de parties
doubles dans le corps de l’animal
que de parties fimples, & ees parties
doubles femblent avoir été produites
fymétriquement de chaque
côté des parties Amples par une ef-
pèce de végétation. Vol. 1 1 , 3 69.
Dans tous les embryons les parties
d u milieu de la tête & les vertèbres
paroiflènt les premières. Ibid. 370.
Les parties doubles tirent leur origine
des parties Amples; il réfide
dans ces parties fimples une force
qui agit également de chaque côté,
o u , ce qui revient au même, les
parties fimples font les points d’appui
contre lefquels s’exerce l’aétion
des forces qui produifent le développement
des parties doubles ; en
forte que i’aétion de la force par
laquelle s’opère le développement
de la partie droite eft égale à i’aètion
de la force par laquelle lè fait le
développement de la partie gauche,
& que par conféquent elle eft
contre - balancée par cette réaétion.
Ibid. 37».
P AS AN , c’eft le nom de la. gazelle
du hézoard ; fa. defcription. Vol.
XII, î i i .
F a s s i o n s ;, com m en t* parquets
Agnes les. palAons differentes lè
marquent fur le vilâge de l ’homme.
Vol. I f , y 3 2. bine pafiîon lâns
intervalle eft démence, & l’état de
démence eft pour faute un état de
mort; de violentes pallions avec
des Intervalles font des accès de
fo lie, des maladies de lame d’autant
plus dangereufes qu’elles font plus
longues & plus fréquentes; la lâ-
geffè n ’eft que la fomme des intervalles
de lamé que ces accès nous
laiffènt, &c. Vol. I V , 4.6. Une paillon
n’eft autre chofe qu’une fèn-
fàtion plus forte que les autres, &
qui fe renouvelle à tout inftant. Ib id ..
7 7 .
P a t a g o n s . Prétendus géans des
terres Mageilaniques ; doutes fur
l ’exiftence de ce peuple de géans.
Vol. I I I , j 09.
P a t a s , elpèce de guenon ou Ange
à longue queue ; defoription du
patas, fon poil eft d ’un roux prelque
rouge : il y a dans cette elpèce deux
variétés, la première eft le patas à
bandeau n o ir , & la féconde le
patas à bandeau blanc.... tous deux
ont une barbe. Vol. X I V , 208.
Caractères diftinctifs de cette elpèce.
Ib id. 2 10 & 2 1 1 .
Paupières. L a peau des paupières
e ft , comme celle du prépuce, plus
longue chez les Orientaux que chez
les autres peuples. Vol. I I , 480.
La plus grande partie des animaux
n’ont point de cils à la paupière inférieure
: dans l’homme & dans les
animaux quadrupèdes la paupière
fupérieure eft celle qui a du
mouvement, & la paupière inférieure
11 en a que très-peu : dans les
oilèaux & dans les amphibies , c ’eft
au contraire la paupière inferieure
qui a du mouvement, & les poift
fons n’ont de paupières ni en haut
ni en bas. Vol. I I , 52J.
P E C A N. Incertitude fur l’animal
auquel on a donné ce nom. Vol.
XI I I , 3 04.
P écari . Ses reflèmblances & lès
différences avec le cochon. Vol. X ,
2 1. Il ne peut lè mêler avec l’ef-
pece du cochon ; eflâis à ce lu jet.
Ibid. 22 . Il a lur le dos une fente
de deux ou trois lignes de largeur
qui pénètre a plus d’un poucé de
profondeur, par laquelle fuinte une
liqueur ichoreufè fort abondante &'
très - défagréable. Ibid. Habitudes
naturelles du pécari. Ibid. 23. Sa
chair n ’eft pas mauvailè à manger;
précautions qu’il faut prendre pour
qu’elle n’ait point d’odeur. Ibid. 2 4 ,
L elpece en eft tres-nombreufè dans
tous les climats chauds de l’Am é rique
méridionale. Ibid. Ils produifent
en grand nombre..........les
petits fuivent bientôt leur in è re ,&
ne s’en féparent que quand ils font
adultes. Ibid. L e poil ou plutôt les
foies du pécari font plus rudes que
celles du fânglier, & refTemblent
prefque aux piquans du hériffon.