E t n a . On peut fouiller jufqu’a
foixante pieds dans les matières re-
jetéespar le mont Etna. Vol. I, 5 04.
Defcription de cette montagne ardente
& ' de fes éruptions. Ibid.
5° 5‘ ; _ '
É to ile s qui paroilfont & dilparoif-
font pour un temps ou pour toujours.
Vol. 1, 14 9 . . . . . • Aucune .étoile
lumineufo par elle-même ne tourne
autour d’une autre. Ibid.
Ê t r e s . II y a des êtres qui ne font
ni animaux , ni végétaux, ni minéraux
, & qu’oii tenterait vainement
de rapporter aux uns ou aux autres»
Vol. II , 2.62. Ii y a peut-être dans
la plupart des etres moins de parties
relatives, utiles ou nécelïàires, que
de parties indifférentes, inutiles ou
furabondantes. Vol. V , 1 04. Une
fucceffïon continuelle d’etres tous
femblables n’équivaut qu’à l ’exif-
tance perpétuelle d’un foui de ces
êtres. Vol. X I I I , 4-
Ê tre s organifés. Quoique les caufos
qui détruifont l’organifâtion des êtres
foient trèsrconfidérables, la caufa
qui la reproduit eft infiniment plus
puiliante & plus adive. Vol. I I ,
, 4 °-
ÉvÈNEMENS dans la Nature. Les
chofes les plus extraordinaires , &
qui arrivent le plus rarement, arrivent
cependant aufll néceflàjrement rjuç
les chofos ordinaires & qui arrivent
très - fouvent : dans le nombre infini
de combinaifons que peut prendre
' la matière, les arrangemens les plus
extraordinaires doivent fo trouver &
fo trouvent en effet, mais beaucoup
plus rarement que les autres. Vol.
I I , 40 2 .
E unuques (les) & tous les animaux
mutilés, grofliflènt plus que
ceux auxquels il ne manque rien ;
les hanches fur-tout & les genoux
des Eunuques groffiffent ; raifons
de çës effets. Vol. I I , 6 7 . Les Eunuques
auxquels on n ’a ôté que les
teftiçules, ne Iaiflënt pas de fontir de
l ’irritation dans ce qui leur relie , &
d’en avoir le ligne extérieur, même
plus fréquemment que les autres
hommes ; cette partie qui leur relie
n’a cependant pris qu’un très-petit
accroiflèment, car elle demeure à
peu-près dans le même état où elle
étoit avant l'opération ; un eunuque
fait à l’âge de fopt ans,, eft à cet
égard à vingt ans comme un enfint
de fopt ans ; ceux au contraire qui
n’.ont fobi l ’opération que dans le
temps de la puberté ou un peu
plus tard, font à peu près comme
les autres hommes. Ibid. 485.
E xamen des méthodes de botanique.
Vol. I , 13 dlfuiv. D e la méthode
de M. Linnæus, pour les apimaux
en général & en particulier pour les
quadrupèdes. Vol. 1, 3 y dX fuiv.
Examen de ce que nous pouvons
lavoir de fcience ou évidente ou certaine.
. . . de ce que nous ne pouvons
connoître que par conjeéture.........
& de ce que nous devons ignorer.
Ibid. 5 6 dX fuivantes. Examen des
avantages que peut produire l’union
des fciences mathématiques & phy-
fiques ; l’une donne le combien, &
l ’autre le comment des chofos. Ibid.
j 8 «y /vivantes. Des principes de la
philofophie Pythagorienne. Vol. II,
7 J & fuivantes. D u fyltème des
oeufs St des animaux fperinatiques ,
avec la démonftration de leur infof-
-filànce. Ibid. 1 5.5 dX fuiv.
Existen ce . La confcience de fon
exiltence , ce fontiment intérieur
qui conftiiue le moi, eft compofé
chez nous de la fenlàtion dé notre
exiftence aétuelle, & du fouvenir
de notre exiftence palïee___plus
on a d’idées, & plus on eft fur de
fon exiftence........... La confcience
d’exiftence des animaux eft moins
fûre & moins étendue que la nôtre...
Leur confcience d’exiftence eft {impie
; elle dépend uniquement des
fonlâtions qui les affèélent aétueile-
ment, & confifte dans le fontiment
intérieur que ces fonlâtions produi-
font. Vol. IV , j a Ù ' fuiv.
Tome XV.
E xpérienc e . Les réfultats de nos
fonlâtions combinés, ordonnés &
fuivis, font ce qu’on appelle l'expérience,
fource unique de toute
fcience réelle. Vol. I I , 7 7 . Précis
des expériences de Harvey, au fujet
de la génération dans les biches &
dans les daines. Ibid. 10 7 dX fuiv.
Précis des expériences de Malpighi,
au fujet de la formation du poulet
dans l ’oeuf. Ibid. 1 1 3 dXfuiv. Suite
d ’expériences au fujet de la génération.
Ibid. 1 6 S dX fuiv.
E x p l ic a t io n de la compolition de
la terre, depuis le centre jufqu’à la
circonférence. Vol. 1, 25 9.
E xposition du plan qu’Ariftote a
foivi dans fon Hiftoire Naturelle
des animaux. Vol. 1 , 4 5 dX fuiv.
D u plan de l ’Hiftoire naturelle de
Pline. Ibid. 48 & 49. D u fyftème
de Whifton, for La formation de la
terre. Ibid. 168. D u fyftème de
Burnet. Ibid. 180. D u fyftème de
Woodward. Ibid. 183. D u fyftème
de Bourguet. Ibid, 19 2 St 193.
D u fyftème de Leibnitz. Ibid. 195.
Des idées deScheuchzer. Ibid. 19 7 .
D e Stenon. Ibid. 198. Des idées
d ’Ariffote for la génération. Vol. I I ,
7 9 dXfuiv. Des.idées d’Hippocrate,
au fujet de la génération. Ibid. 92
dXfuiv. Des obforvations & du fyf-
xème de Harvey, for la générauon.
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