âva fojet du développement & de
l'atcroiflèment des êtres organifés.
Vol. I I , 4 1 . Idée nette & vraie du'
développement. Ibid. Le développement
ne le lait pas par la feule
addition aux fotfaces, mais par une
fufoeption intime, & qui pénètre
la maflè. Ibid. 4 2. L e premier développement
qui foccède immédiatement
à là formation du foetus,
n ’eft pas un accroiffement proportionnel
de toutes les parties qui le
eompofènt, plus on s’éloigne du
temps de la formation , plus cet ac-
croiflèment eft proportionnel dans
toutes fes parties. Ibid. 3 66. Dans
un corps organifé, il y a des parties
eflêntielles & principales, defquelles
dépend le développement desautres.
Ibid. 3 6 7 .
D i a p h r a gm e , eft le principal
organe du (êntiment intérieur. Vol. II,
532. Il paroît être le centre du fen-
timeht. Vol. V I I , 1 0.
D ï Ë U . Invocation à l 'Auteur de la
Nature.... Dieu de bonté, Auteur de
tons les êtres, Vos regards Paternels
embrafferrt tous les objets de la
création | mais l'homme eft votre
être de cho ix , vous avez éclairé fon
ame d’un rayon de votre lumière
immortelle ; comblez vos bienfaits,
en pénétrant fon coeur, d’un trait de
votre amour. Vol. X I I , i y & t é .
Difformité. Origine de nos idées
for la difformité des êtres. Vol. VIII
1 r'4.
D i s t a n c e , l’idée de la diftance ne
nous eft pas venue par le fèns de
la vue , mais par celui du toucher t.
démonftration à ce fujet. Vol. III |
3 1 4 . P ou rqu o i nous nous trompons
for la grandeur des objets,
qui font à de grandes diftances-, ou
que nous voyons du haut en bis
& du bas en haut. Ibid.
D i v i s i b i l i t é ( la j de la matière à
l’infini , n’eft qu’une foppofition
mal-fondée qu’on 11e peut appliquer
aux ouvrages de la Nature. Vol. II,
1 37.
D i v i s i o n . L a grande divifion des
productions de la Nature , en animaux
, végétaux é f minéraux, ne
contient pas tous les êtres matériels.
Vol. I l , 26 3 .
D o c i l i t é , fuppofè quelquànalogie
entre celui qui donne & celui qui
reçoit;- c ’eft une qualité relative qui
ne peut être exercée que lorfqu’elle
eft aélive dans le Maître & p'affive
dans le fojet. Vol. X IV , 40 .
D o m i c i l e . Animaux q u i fe font un
d omicile, font fopérieurs aux autres
par l ’inftintft. Vol. V I I , 75 & 76.
Doue , n ’eft précifément ni du genre
des finges, ni de celui des babouins,
n i de celui des guenons , mais
participe de tous trois ; il paroît faire
fa nuance entre les guenons & les
fâpajous . . . . H eft ia feule des guenons
qui aie du poil for les fefTes....
il paroît faire auffi la nuance entre
les orang - outangs & les guenons à
de certains égards. Vol. X IV , 258'
& 2 p p . L e doue eft très-aifé à d is tinguer
de tous les finges, babouins,-
guenons & ftpajous ; fa robe eft
Variée de toutes couleurs.. . . Sa défi
cription.. . . . . H fie trouve à la Co -
chinchine & à Madagafcar. Ibid. 2 p p
& 300. Caractères diftinèlifsde l’efi
pèce du doue. Ibid. 3 o r.
D o u l e u r s ( les ) de l'enfantement
font pour le moins auffi grandes
dans les fiufïês - couches que dans
fes accouchemens à terme. Vol. II,
417 . Intenfité de la douleur; faux
raifonnement des Philofophes à ce
fujet. Ibid. 5 82. Analyfe de fa douleur
phyfique. Ibid. 583. La douteur
dans le phyfique eft l’extrême
plutôt que le contraire du plaifir.
Vol. IV , 42.
Dromadaire, n’eft pas une efpèce
differente de celle du chameau , mais
une variété dans cette efpèce. Vol.
X I , 2 1 1. Le dromadaire ne porte
qu’une bofle for le dos , au lieu:
que le chameau en a deux. Ibid.-
La race en eft plus nombreulê &
plus répandue que celle du chameau.
Ibid. 2 1 4 . Énumération des pays
où l ’on trouve la race du dromadaire.
Ibid. 2 1 5 & 21 6. Le dromadaire
eft le plus fobre de tous les
animaux, & peut fe paffer plufieurs
jours de boire. Ibid. 2 1 6 & 217.
H a les pieds faits pour marcher
dans les fables, & ne peut fe foutenîr
dans les terrains humides & gliflànsï
Ib id. 2 1 7 .
D u G o N ou Dugong, nom de cet
animal aux îles Philippines ; il refi.
femble plus au morlê qu’à aucune
autre efpèce.. . . . Defcription de &
tête & de fes dents.___On a confondu
le dugon avee le lion marin f
mais ce font des efpèees très-différentes.
Vol. X I I I , 3 7 4 , L ’efpèce
paroît fe trouver dans lés mers méridionales
julqu’aux îles Philippines-*
Ibid. 376.
D u n e s . Formation des dunes. Vol. I ,
43 6 ; elles ne font pas c-ompofoes*
de pierres & de marbres comme le»
montagnes qui fe font formées dan»
le fond de la mer. Vol. I , fÊ 0
E
E au, ne'travaille point en grand dan»
l’intérieur de la terre, mais elle y fait
beaucoup' d’ouvrage en petit. . . . . .
elle concourt immédiatement à m
formation de plufieurs fobftances
F $