degrés de latitude, & ils font suffi
à peu près de ia même étendue.
. Vol. I , 4 0 4 . Indications. des endroits
de l'Oc éan , où le mouvement
d’orient en occident efl le
pins fenfibie. 7bV. 4 34 .
O c e l o t , animal d'Amérique -, féroce
& carnaffier ,.du même genre que
le jaguar & le couguar. . . . . D e fcription
du mâle & de ia femelle,
leur grandeur , leur naturel, les.
difïerens noms qu’on leur a.donnés ,
dans leur pays natal.. . . . . Erreur à
cet égard. Vol. X I I I , 2.3 ù'-fuiv.
L ’ocelot nous a paru être celui de
tous les animaux à peau tigrée,
dont la . robe eft la plus belle & la
plus élégamment variée.........Celle
de l’ocelot mâle eft plus belle que
celle de: la femelle. Ibid. 2 4 1 .
L ’ocelot eft cruel, & en même temps
timide; il préfère le fàngjtla chair...
Rien ne peut adoucir fort., naturel
fé ro c e ,. . . . Il ne produit ordinairement
que deux petits. Ibid. 24 3 ,
& 244,
O d o r a t . Dansdes.animaux, le. fens-,
de l ’odorat eft un organe, univerfel
de fèntiment ; c’eft un oeil qui voit
les objets , non - feulement où. ils .
font , mais même par-tout où ils .
ont été ; c’eft une. organe, de. g çû t,..
par lequel l’animal fàvoure, non-
feulement ce qu’il peut toucher. &
faifir, mais même ce qui eft éloigné
& qu’il ne peut atteindre ; c ’eft
le feus, par lequel il eft le plus tôt,
le plus fbuvent & le plus fïirement
averti ; par lequel il a g it, il fe
détermine; par lequel il reconnoît
ce qui eft convenable, ou. contraire
à p .nature.; par- lequel enfin il
aperçoit., fent & choifit ce. qui-
peut fatisfairc fon.appétit. Vol. IV,
j.o.
(Econ om ie m Econ om ie animale.
Bremière. div-ifion de l'économie
animale ; parties qui. agiffent toujours
& continuellement, telles que le
coeur, les poumons, & c ; & parties
qui n’agifîènt pas continuellement,
telles.que les fens & les membres.
Vol. IV , 6. Pourquoi la fcienee de
l'économie animale a jufqu’ici fait
fi peu de progrès. Vol. V I I , 24.
(EI L ( 1’ ) appartient à lame plus
qu’aucun autre organe........C ’eft de
fens de. l’elprit.cSt.la langue de l’intelligence.
Vol. I I , 520. L ’oeil
peut être regardé comme une.con-
tinuation. du - fais. intérieur ; ..ce n’eft
qutun gros, nerf épanoui, un pro*
longement de, l’organe dans lequel
réfide le fèns intérieur d e l’animal,
& il n’eft pas douteux qu’il n’approche,
plus qu’aucun autre fens de
la nature de ce fens intérieur,.. Vol-
I V , 2 6.
OE u fs. Formation & accroiflèment
de l ’oeuf, jufqu’à fbn exclufion hors
du corps de ia poule. Vol. II-, 9 9 .
Les oeufs n’exiftent pas dans les femelles
vivipares. Ibid, i 62 & 16 3 ,
Les oeufs doivent être regardés
comme des êtres, qui fans avoir la
puifîànce de (e reproduire comme
les animaux & le s ’végétaux ,. ont
cependant une efpècë de vie & de
mouvement intérieur. Ibid., 263.
Explication précife & fuccinéle de
L’accroifîèment des oeufs. Ibid. 2 6 4 .
L ’oeuf a une efpèce de v ie & d’or-
ganifàtion, un accroiflèment, un
développement & une forme qu’il
prend, de lui-même,., & par fes
propres forces ; il ne vit pas comme
l ’animal ; il ne végète pas comme
la plante ; il ‘ ne fe reproduit pas
comme, l’un & l’autre.; cependant
il croît ,, il agit à l’extérieur, & il
<:,s’organifa Ibid. L ’oeuf eft un être
qu’on doit confidérer à,part & en
lui-même , parce qu’ibarrive également
à fon entier, développement
& à. la. perfection de fon organi-
fâtion,,foit qu'il foit fécondé o u ’
non. Ibid. Les oeufs font des matrices
portatives, que l’animal jette
au dehors. Ibid. 288.- Les oeufs,
au lieu, d’être des p a r t ie s q u i fè
trouvent généralement dans toutes-
Içs femelles,.ne font que des parties.-
que la Nature a employées pour
remplacer la matrice dans les femelles
qui font privées de cet organe.
Vol. I I , 288. L ’oeuf que la
poule pond vingt jours après avoir
reçu le c o q , produit un poulet,
comme celui qu’elie aura pondu
vingt jours auparavant. Ibid. 3 7 5
ét. 3 7 6 . L ’oeuf attaché à l ’ovaire eft;
dans les femelles ovipares , ce qu’eft
le corps glanduleux dans les tefti-
cules des femelles vivipares; la ci-
catricule de l’oe u f fera, fi l’on veut,
la cavité de ce corps glanduleux,
dans lequel réfide la liqueur fémi-
nale de la femelle. Ibid. 3 7 7 . Raifon
pourquoi le poulet 11e fè développe
pas dans les- oeufs qui ont été fécondés
plufieurs jours avant la ponte.
Ibid , Les oeufs lorfqu’ils ont été
couvés ou gardés contiennent une
afïèz grande quantité d’air ; pro-
duélion de cet air, avec l'explication
des effets qui y ont- rapport.
Ibid. 395,-
(E ufs des Poisons, Explication fùc-
cinéle. du développement & de
l’accroifTement de l’oeuf des poifîons -
à écailles. Vol. I I , 26 5.
O iseaux. La plupart des Qifeaux
ne fè joignent pas - par une vraie
copulation; ils ne-font, pour ainfi-,
dire, que., comprimer la femelle.
Vol. I I , .3.1 1 .L a plupart des oifèaux -
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