Vol. X V , 1 2 1 & 12 2. Caractères
.diftinétifs de cette efpèce. Ibid.
122 & i 23.
M i c r o s c o p e . Quels font les microf-
copes dont il faut f i firvir de préférence
pour faire des obfervations
fur les liqueurs féminales. Vol. I I ,
1 7 2 .
M i c r o s c o p i q u e s . Les objets m i -
crofcopiques que Leeuwenhoeck a
fait graver , font repréfentés beaucoup
plus grands qu’il ne les a vus.
Vol. I I , 1 7 2 .
M i n e de Cottelerg, étoit du temps
d ’A gricola profonde de deux mille
cinq cents pieds. Vol. I , 3 1 7 .
M i n é r a u x . Idée générale & def-
cription de la matière minérale. Vol.
11, 6. On peut réduire toutes les
fubftances minérales à trois claflès
générales, 1 .° à celles qui font parfaitement
brutes & qui ont été liquéfiées
par le feu , tels que le
roc v i f , le grès, les cailloux , les
fables, qui tous font des matières
vitrefcibles ; z .° les fubftances qui
paroiffent également brutes, & qui
cependant tirent leur origine des
corps organiles, tels que les marbres,
les pierres à chaux, les graviers,
les craies, les marnes, qui tous
ne font compofés que des débris
de coquillages, & dont la lubftance
eft calcaire : on doit aufli yajouter
les matières qui ne font que des ré-
fidus des végétaux ou d ’animaux
plus ou moins détériorés , pourris
ou conlumés, celles des charbons
de terre & les tourbes, &c. 3.° les
matières qui ayant été rejetées par
les volcans ont fouffert une fécondé
aélion du fe u , telles que les amiantes,
les pierres-ponces, les laves , &c.
Vol. X I I I , xj.
M i r a c l e s . Rien ne caraélérifi
mieux un miracle que l ’impolfibi-
lité d’en- expliquer l’effet par les
caufes naturelles. Vol. I , 19 9 .
M o c o c o ou Maki à queue annelée.
Voyeç Maki.
M o d e s t i e , eft le fiul fondement
de l’empire de la beauté. Vol. 11,
5 54-
MoléculeS organiques. II y a dans
la Nature une infinité de petites
parties . ou molécules organiques
vivantes, & dont la fubftance eft la
même que celle des êtres orga-
nifés. Vol. I I , 20. Ces molécules
vivantes font communes aux animaux
& aux végétaux, ce font des
parties primitives & incorruptibles...
Leur aflètnblage forme à nos yeux
des êtres organifés. Ibid. 24. Ex-
_ pofition de- la manière dont les
molécules organiques pénètrent les
corps organifés & opèrent la nutrition
, le développement & la
reproduction. F»/. 11,4 9 . L e luperflu
des molécules organiques eft renvoy
é de toutes les parties du corps
dans un ou plufieurs endroits communs,
où Iè trouvant réunies, elles
forment de petits corps , organifés
fentblables au premier. Ibid. E x plication
de la leparation des molécules
organiques d’avec les parties
brutes, & de leur renvoi de toutes
les parties du corps dans les réfir-
voirs féminaux. Ibid. 6 2 & 6 3.
Expériences qui démontrent qu’il
exifte des molécules organiques
vivantes dans toutes les matières
animales & végétales. Ibid. 2 5 y.
Les parties organiques vivantes font
en plus grande quantité dans les
liqueurs féminales des animaux,
dans les germes des amandes des
fruits, dans les graines & dans les
parties les plus fubftantielles de
l ’animal ou du végétal. Ibid. 2 58 .
L e s molécules organiques vivantes
ne le meuvent pas comme les animaux;
leur mouvement eft continu
& fins interruption, &c. Ibid. 2 7 3 .
L e s molécules organiques vivantes
fe trouvent non-lêulement dans la
fémence des animaux des deux
fexes, mais auflï dans la matière qui
s’attache aux dents , dans le chyle
& dans tous les réfidus de la nourriture.
Ibid. 2 8 4 ................Elles fe
trouvent en quantité dans les ex-
crémens lorfque l’eftomac eft dévoyé
, & fe trouvent en petite
quantité dans les excrémens durs :
raifon de cette différence. Vol. I I ,
2 8 5 . Les herbes ne contiennent pas
à beaucoup près une auffi grande
quantité, volume pour volume, de
molécules organiques que la chair
& les graines, & c ’eft par cette
raifon que l’homme & les animaux,
qui n’ont pas une grande capacité
d’inteftins, font obligés de Iè nourrir
de chair & de graines. Vol. IV , 4.40.
Les molécules organiques vivantes
font relatives & pour l’aélion & pour
le nombre aux molécules de la lumière.......
Pa r -to u t où la lumière
du Soleil peut échauffer la terre,
f i furfice Iè vivifie , fi couvre de
p verdure & fe peuple d’animaux.
: Vol. X I I I , vij.
M o n a x , eft le nom de la marmotte
de Canada, que quelques
Voyageurs ont appelée le Jîffleur ;
il ne paraît différer de la marmotte
des Alpes que par la queue, qu’il
a plus longue & plus garnie de
poils. L e monax du Canada , le
bobak de Pologne & la marmotte
des Alpes pourraient bien être tous
trois le même animal, c ’eft-à-dire
trois variétés de la même elpèce.
Vol. X I I I , 13 6 & 13 7 .
1 m